Ce texte publié dans la collection dédiée à la littérature slave chez Verdier est à déconseiller aux âmes sensibles.
Chalamov y décrit les conditions de sa détention dans les camps du Goulag puis de son assignation à résidence, sous la forme de récits ou fragments qui dans l'édition de 2003 occupent 1536 pages ... je n'ai pas pu le lire dans l'ordre ni dans son intégralité, par crainte de sombrer dans une profonde dépression mais je reviendrai visiter cette oeuvre majeure de la littérature slave par petites touches.