Carnages

Carnages c'est l'histoire de ces jeunes qui pètent un plomb et qui tuent tout le monde dans leur lycée.

Quand l'enquêteur Lamar sera mis sur la première affaire, tout semble simple. Un jeune, ayant des soucis personnels et scolaires, décide d'amener une arme dans le lycée, tue toutes les personnes qui se mettent sur son passage et se suicide ensuite.

Mais quand ces tueries se multiplient en si peu de temps, est ce un mouvement sur le net ou ces jeunes ont ils un objectif commun?

Tout ce que nous apprend ce livre c'est que les apparences sont souvent trompeuses.

Une bonne mise en bouche pour moi qui n'ai jamais lu un Chattam.

Une nouvelle qui fait froid dans le dos!

Un matin, un jeune lycéen entre dans son établissement et déclenche une fusillade avant de se suicider. 14 victimes, plusieurs dizaines de blessés... un carnage ! le coupable semblait pourtant sans histoire : un adolescent solitaire mais non-violent. Pourquoi a-t-il fait cela ?
Lorsque qu'une seconde tuerie de masse a lieu dans un autre lycée puis une troisième en peu de temps, Lamar commence à douter : cela ne peut pas être une coïncidence. Pourquoi 3 lycéens sans histoire ont-ils décidé en peu de temps de tuer leurs camarades ?


Maxime Chattam propose un récit très court qui se lit d'une traite. La thématique est bien choisi avec ses tueries de masse qui ont malheureusement bien trop souvent lieu aux USA. Suspens, rebondissement, action, enquête.. meme si c'est court, tous les ingrédients sont réunis pour une lecture agréable.

Hâte de lire un autre Maxime Chattam.

Étant un grand fan de cet auteur il me fallait continuer à lire ses livres. Voilà qui est fait et comme je les lis par ordre de parution, il me semble qu'il me reste plus que la série autre-monde, et les deux dernières séries parues.

Dans ce petit livre, l'histoire se déroule à Harlem Est, Il est quasi huit heures et demi du matin dans le hall d'un lycée, peu de temps avant la sonnerie des premiers cours, un adolescent charge une arme et fait un carnage dans les couloirs, partout, en tirant sur tout ce qui bouge. L'inspecteur Lamar envoyé sur les lieux du drame découvre le corps du tireur sauf que d'autres tueries de ce jours se déroulent dans d'autres lycées. Lamar va tout faire pour arrêter les coupables mais plus son enquête va avancer plus il va découvrir que les apparences peuvent êtres trompeuses.

Un livre lu d'une traite tellement j'étais à fond dans l'histoire si captivante, addictive, remplie de suspens et de rebondissements avec des personnages attachants. Ma prochaine lecture de cet auteur la saga autre-monde.

Il est 8h28, un 18 novembre, à Harlem Est, quand un lycéen, Uzi à la main tire sur tout ce qui bouge. Six minutes pour une tuerie. Un inspecteur aux allures de basketteur arrive sur les lieux. L'affaire semble simple, atroce, mais simple. Puis d'autres fusillades ont lieu dans plusieurs lycées... Que se cache-t-il vraiment derrière ces massacres ?

En moins de 100 pages, Maxime Chattam crée une histoire impeccable où le carnage se répand comme une trainée de poudre dans New York. J'ai beaucoup aimé le personnage principal de Lamar Gallineo, lieutenant de police, et c'est avec plaisir que je le retrouverais dans une plus longue aventure. Carnages est efficace et son seul défaut serait d'être trop court...
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Petit livre pour un grand sujet, celui des tueries de masse aux Etats-Unis, et en particulier dans les écoles. Sujet qui reste malheureusement toujours d'actualité quinze ans après.
Maxime Chattam a une écriture efficace et arrive à bien retranscrire des émotions et des situations. Aucun moment de répit que ce soit pour le lecteur comme pour les personnages. Si je devais lui donner un défaut, ce serait sur eux, Lamar et Leslee sont un peu trop flics de séries US à mon goût. En revanche le criminel qu'il recherche est lui plutôt malin, c'est ce qui fait que ce court roman fonctionne. La fin ouverte laisse présager de la suite, du pire. Ce n'est pas un coup de coeur mais on n'en est pas loin.

L'histoire commence dans un lycée au coeur d'Harlem. Lucas, Mary, Lisa et les autres commencent leur journée au lycée Village Academy. Il est 8h28. Une personne entre armé d'un pistolet mitrailleur Uzy et c'est le début du carnage. Six minutes plus tard, il y a 14 morts et de nombreux blessés. On retrouve l'auteur des faits (une jeune homme de 17 ans) suicidé dans une pièce avec pour témoin un adolescent enfermé avec lui. "Que peut-on espérer d'un monde où la jeunesse devient folle?"

L'enquête commence, l'inspecteur Lamar Gallineo est mis sur l'affaire. Un policier de 2 mètres, afro-américain. Cependant, l'affaire se complique... Les carnages continuent d'abord dans un lycée du Queens ensuite à Williamsburg. Les auteurs de ces massacres sont des jeunes en apparence sans histoires et solitaires. Alors, qui sont-ils vraiment? Pourquoi? S'agit-il de manipulation?

Comme à son habitude, Maxime Chattam m'a totalement emmenée dans son histoire. Une nouvelle brève mais percutante. Il y a de l'action, le personnage de Lamar est un flic comme je les aime, qui a du mordant. Et ce dénouement est à la hauteur de mes espérances!

À tous les amateurs de Chattam, ne passez pas à côté de "Carnages", c'est un livre captivant!
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J'ai choisi Carnages non pas pour son thème, bien qu'il m'intéressait, mais d'abord pour sa brièveté ayant envie d'un livre court entre deux lectures plus imposantes. Mais plus important, je m'étais dit que si Maxime Chattam arrivait à nous offrir une histoire convaincante en moins de 100 pages alors ce serait indéniablement un auteur que je prendrais plaisir à suivre.

Ne désirant pas m'improviser maîtresse du suspense, je préfère vous livrer d'emblée mon avis à savoir que j'ai beaucoup aimé ma lecture. Elle m'a d'abord déconcertée car je m'étais imaginée que l'écrivain allait sonder les états d'âme des lycéens pour nous permettre de comprendre comment certains pouvaient en venir à tuer leurs camarades. Alors oui, nous allons découvrir le pourquoi du comment mais pas sous l'aspect « enquête psychologique » auquel je m'attendais.

Carnages aborde ces tueries en milieu scolaire à la manière d'une enquête policière des plus classiques menée, en partie, par un policier nommé Lamar Gallineo. le livre est trop court pour que nous puissions réellement nous attacher à lui, du moins je n'y suis pas arrivée, mais ce personnage permet d'aborder le racisme anti-noir toujours d'actualité aux États-Unis.

Si j'ai deviné assez rapidement une partie du mystère qui entourait la multiplication des fusillades dans des lycées, je n'avais pas anticipé leur motif. Avec du recul, cela était pourtant assez évident ! J'aurais sûrement préféré que l'auteur se creuse un peu plus la tête pour nous offrir une raison originale. Mais il est vrai que cela aurait au final pu dénaturer le reste du livre.

Une fois la dernière page tournée, je n'ai pu que reconnaître que ma crainte d'un livre tellement court qu'il en serait bâclé était complètement infondée. Avec Carnages, l'auteur nous a au contraire offert une enquête intéressante avec sa dose de suspense et de fausses pistes.


En résumé, Carnages fut un très bon choix pour commencer ma découverte de Maxime Chattam. En moins de 100 pages, l'auteur nous a livré une enquête qui tient la route et qui m'a surtout donné envie de découvrir ses autres romans.

J'adorerais que l'auteur décide maintenant de reprendre le livre mais cette fois-ci en abordant plus particulièrement la psychologie des personnages.
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Mon premier Chattam !
Court, nerveux, rapide. Pas de temps mort pour ce petit thriller/polar ou cette grosse nouvelle.

Un récit imagé : page 18 : Une odeur fraîche, mélange de fer et de celle qu'on respire dans une boucherie - celle du sang -, se mêlait au parfum piquant quanvaient les coups de feu. Il avait fallu en brûler, des cartouches, pour imprégner à ce point le corridor, s'étonna Lamar. On commence sur une note gaie, "fraîche", puis on ne parle pas de temps tout de suite de sang, on l'introduit par "boucherie" ; un parfum piquant de cartouches brûlées : oui, une odeur qui pique dans un environnement clos, car cette odeur s'échappe très vite !
Page 21 : En moins de dix minutes, il avait vidé une cemi-douzaine de chargeurs d'Uzi, soit environ deux cents balles. Très précisément 198. et ce sont des cartouches, pas des balles.
Page 49 : Un Desert Eagle est plus couramment utilisé en .357 Magnum, le .44 est beaucoup plus rare ! On trouve aussi du .50 AE.

Bon, vous vous doutez bien que ne trouvant rien à dire ou redire sur ce petit thriller... j'ai pris quelques renseignements auprès d'un spécialiste pour écrire quelque chose, sur les armes évoquées dans ce livre !

En bref : un auteur découvert. A poursuivre (= faire un tour (quand ?) dans ma PAL). le style est rapide, incisif.


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Une série de carnages dans des lycées de New-York. Toujours le même scénario. Un élève solitaire, identifié dans un premier temps uniquement grâce à sa tenue, flingue tout le monde puis finit par se suicider.
Mais quelque chose cloche et un (bon) flic finira par découvrir le fin mot de l'histoire.
Un roman très bref mais terriblement efficace. Ici on ne se perd pas en conjonctures et on va à l'essentiel. Tant dans la description des carnages que dans le déroulement de l'enquête.
Les personnages sont intéressants et cohérents. L'ensemble, bien écrit, donne une histoire tout à fait plausible dans laquelle on se plonge très facilement.

C'est ce qui s'appelle un roman court mais efficace. C'est sur que compte tenu du format, l'auteur ne s'est pas encombré de détail de psychologie, d'ambiance.
Mais cela n'a que moyennement fonctionné avec moi (décidément les formats trop courts ne sont pas mon truc).
Au surplus, je trouve que pour un format aussi court il y a trop de thèmes évoqués; sans spoiler, le problème des armes aux Etas Unis avec les fusillades dans les établissements scolaires, et un autre que je ne citerai pas ici car cela donnerait trop de réponses au dénouement, mais du coup effleuré.