La constance du prédateur

- Adieu Monsieur Chattam, je vous abandonne à vos atrocités, comme je quitte d'autres auteurs contemporains. Etait-il nécessaire de raconter autant d'horreurs, de décrire avec autant de détails viols, tueries et autres tortures? Avons-nous besoin de lire ça , même si c'est "bien écrit" ? Trop c'est trop pour moi! J'avais beaucoup aimé les volumes de "Autre monde" et je vous avais apprécié dans d'autres romans aussi, mais là, c'est fini! Adieu monsieur Chattam. Je retourne aux "classiques" où même Simenon captivait ses lecteurs et il y avait aussi meurtres et violences mais juste suggérées et c'était mieux ainsi!

Fan dès la première heure, force est de constater que Chattam est bien loin de son talent avec, pour la deuxième fois, un roman fade, insipide et rempli d'erreurs . Dommage je me serai presque attendue à retrouver la Ludivine de la conjuration primitive, au final, je retrouve un vague roman policier lissè à la Musso.