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4,25

sur 1418 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Je n'ai pas lu les livres avec le personnage de Ludivine Vancker, mais cela ne m'a pas empêchée de comprendre toute la torture psychologique qu'elle a traversée dans les précédents opus, puisque l'auteur y revient quelque peu, mais sans noyer le lecteur. C'est une reconstruction et un nouveau départ qui coïncide avec une nouvelle enquête durant laquelle c'est un tueur en série qui doit être débusqué.
Malgré quelques longueurs, dans les passages où l'introspection est très présente, pour permettre de faire face à l'horreur la plus immonde, j'ai passé un très bon moment. Et j'ai retrouvé ce que j'avais aimé chez l'auteur avec la trilogie du mal.

Les scènes de crimes sont très visuelles, bien décrites, ainsi que les lieux bien dépeints avec quelques informations sur le bassin minier et ce que sa fermeture a pu occasionner. Où des lignées entières de mineurs ont été touchées de plein fouet par le chômage et ses dérives. Tout cela sert de toile de fond à une intrigue bien plus dense dont l'histoire remonte aux origines ancestrales de l'Homme dans toute sa turpitude et sa violence, et où les tueurs en série et leur psychologie ont une place de choix.

Une intrigue, au fil conducteur, très intéressant, d'ailleurs tellement inenvisageable qu'il ne peut sortir que d'un esprit un peu barge, ce n'est bien entendu pas l'auteur que je vise… Quoi qu'il faille avoir une sacrée dose d'analyse, de réflexion sur le monde et un recul plus qu'indispensable pour ne pas se laisser submerger par ses propres visions.

Si parfois, on a l'impression de toucher du bout des doigts la solution, c'est mal connaître l'auteur, qui aime jouer avec nos nerfs, nous torturer, pour mieux balancer les révélations.

Cela faisait un moment que je n'avais pas lu un livre de Maxime Chattam. Le dernier a été « le signal » avec lequel je n'avais pas accroché, le lien avec Stephen King était bien trop présent. Même si, l'intention de l'auteur était de rendre hommage, à un auteur dont il est friand. J'ai évité « L'illusion » pour les mêmes soucis relevés par certains lecteurs.

« La constance du prédateur » laissait présager une bonne dose de noirceur et je n'ai pas été déçue. Je dois dire que je me sens réconciliée avec l'auteur, grâce à des personnages bien brossés et à une intrigue rondement menée.

C'est glauque, c'est parfois immonde, c'est diablement bien construit et j'ai retrouvé ce que j'aimais dans « la trilogie du mal » dont j'attends encore une suite ! Monsieur Chattam à quand le retour de Brolin ?
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Nous retrouvons Ludivine loin de la section de recherche, de Paris et de ses crimes sordides. Elle s'est accordée quelques jours de vacances à quelques mois de sa nouvelle vie et carrière au sein des profilers, le département des sciences du comportement.

Une découverte des plus sordides au fin fond d'une mine abandonnée va accélérer les choses et notre protagoniste se voit muter du jour au lendemain dans ses nouvelles fonctions.

Voilà le point de départ du roman.

Cette nouvelle enquête démarre donc par la découverte d'un charnier dont les victimes exclusivement féminines semblent avoir été momifiées par le temps. Plus nous avançons dans le roman et plus sombre devient l'enquête. Pas de temps morts, le rythme est millimétré afin que le lecteur reste en éveil chapitre après chapitre. Il faudra attendre les dernières pages pour souffler et pour se poser des questions sur cette lecture rude mais tellement crédible, dans un monde où la violence, l'horreur, le mal sont en constante progression.

La plume de l'auteur est toujours aussi plaisante malgré la noirceur de l'histoire racontée. Chattam sait choisir ses mots pour nous transporter au plus près de l'action et de nous faire frissonner avec ses personnages.

La note de fin de l'auteur sous forme de confidence sur "le prix qu'il a dû payer" pour écrire ce roman est touchante et appréciable.

Coup de coeur !
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Un nouvel opus avec la dernière héroïne de Maxime Chattam, Ludivine Vancker. J'ai lu les trois précédents et mon enthousiasme avait décru au fil de mes lectures pour finir par une grosse déception avec "L'appel du néant". Petite précision, si vous ne les avez pas lus, cela ne gênera absolument pas la compréhension de cette nouvelle intrigue.

Nous retrouvons donc la jeune femme qui vient d'être nommée au Département des Sciences du Comportement où elle officie en tant que "profiler". J'ai bien aimé le tandem qu'elle forme avec sa cheffe Lucie. Leur première enquête commune les conduit dans l'est de la France, dans une mine désaffectée, où des cadavres de femmes assez anciens viennent d'être découverts. Premier contact avec une violence sans nom qui pourtant, n'est que le début d'une longue descente dans les profondeurs du Mal. Âmes sensibles, s'abstenir !
Tout ce qui tourne autour de la psychologie du tueur et qui est l'essence même du nouveau boulot de Ludivine, cette manière de décortiquer chaque élément pour remonter aux origines, c'est une approche fascinante. Maxime Chattam a fait un travail formidable. Comment peut-on entrer dans la tête d'un tueur en série de façon aussi juste ? Je reste admirative. "La Constance du prédateur" est un véritable page-turner. On avance aux côtés des enquêtrices pas à pas avec au-dessus de nos têtes un compte à rebours mortel.
Je dois avouer tout de même, alors que je ne suis pas novice dans ce genre de lecture, que vers la fin, j'avais une certaine appréhension à reprendre ma lecture, gagnée par la nausée. Je vais haïr encore plus l'odeur de la javel... Cela reste une réflexion toute personnelle, j'ai cerné mes limites. Quant aux amateurs avertis de ce genre de lecture, ils ne pourront qu'apprécier ce thriller fort bien construit auquel j'accorde un 18/20. Je suis ravie d'avoir retrouvé l'auteur de ses débuts qui m'avait tant séduite avec sa "Trilogie du Mal", il n'est jamais aussi bon que lorsqu'il fait du Chattam pur et dur.
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On dit de Nicolas Feuz, procureur et auteur de polar neuchâtelois, qu'il est le Chattam suisse. Ayant lu tous ses livres, il était grand temps que je fasse connaissance avec son modèle ! C'est chose faite grâce à Netgalley et Audiolib qui m'ont permis de découvrir ce roman. Trois autres le précèdent, mais on peut très bien lire cette aventure de Ludivine Vancker sans les connaître.

Ludivine Vancker vient d'être mutée à sa demande au service des sciences du comportement, ce que les Américains appellent le profilage. Elle désirait ce changement, mais ne s'attendait pas à ce que ce soit si rapide. Elle a à peine le temps de rencontrer sa nouvelle cheffe, Lucie Torès, une femme à la forte personnalité, qu'elles doivent se rendre en Alsace où un photographe amateur d'urbex a trouvé un charnier dans un puits de mine abandonné depuis des années. Les enquêteurs retrouvent dix-sept femmes violées et assassinées depuis les années quatre vingt. Leur stupeur est grande lorsque l'ADN prélevé sur la scène de crime se révèle être identique à celui qu'on vient de trouver sur le corps de deux autres femmes tuées à Bordeaux. Comment un tueur en série peut-il sévir depuis tant d'années sans se faire prendre en France ? Toutefois ils ne sont pas au bout de leurs surprises car il y a un charnier encore plus ancien. Chloé a disparu depuis plus d'une semaine et la police est persuadée qu'elle est détenue par ce monstre. Ludivine n'a plus qu'une obsession, la sauver, mais le temps presse.

J'ai beaucoup apprécié la version audio, le narrateur, Sylvain Agaësse est plus qu'excellent pour donner vie à tous ces personnages. le général à l'accent provençal est particulièrement réussi, tout comme les bruitages qui accentuent l'aspect flippant de cette histoire. Les angoisses de Chloé et son évolution psychologique durant sa détention sont très convaincantes, tout comme le stress de Ludivine prête à tout pour la retrouver alors que se collègues la considèrent comme morte.

Le processus qui conduit des enfants maltraités à devenir des psychopathes est bien connu, et il est très bien exploité par l'auteur qui nous livre un thriller particulièrement noir avec cette famille dont le but est de produire un criminel parfait, ce qui a bien failli réussir. A la fin du roman, l'auteur nous explique comment il entre dans la tête de ses personnages et sa difficulté à accompagner ce montre durant des mois. Cette partie est très intéressante, comme toujours quand un auteur parle de sa façon d'écrire.

Ludivine et Lucie sont des femmes fortes, la première est moins expérimentée et se laissera parfois déborder par ses émotions, ce qui lui fait commettre une bavure, mais ses failles la rendent plus humaine dans cet univers impitoyable. L'auteur parle aussi de ces régions qui ont été dévastée par la perte de leurs industries, les crises se sont succédé offrant un terreau fertiles aux individus déviants.

Certaines scènes sont très violentes mais je connaissais cette particularité de Chattam, et je ne suis pas vraiment une âme sensible. J'ai beaucoup aimé ce thriller très noir qui m'a donné envie d'en lire d'autre de cet auteur prolifique.

#LaConstanceduprédateur #NetGalleyFrance
Lien : https://patpolar.com/
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Au fond d'un puits d'une ancienne mine sont retrouvés plusieurs corps, en partie momifiés par l'atmosphère du lieu. Les premières constatations indiquent qu'ils sont là depuis plusieurs dizaines d'années. Ce ne sera malheureusement pas le dernier charnier retrouvé. Vont s'ajouter à ça la découverte de corps qui seraient en lien avec ces découvertes.

Dans ce sombre thriller signé Maxime Chattam nous retrouvons l'enquêtrice Ludivine Vancker, désormais en poste au sein du Département des Sciences du Comportement de la gendarmerie. Avec sa cheffe Lucie Torrens, femme charismatique qui a su d'une blessure personnelle durant sa jeunesse se forger un esprit fort, elles vont travailler main dans la main avec la SR de Strasbourg et de… Paris ! L'ancienne équipe de Ludivine.

M. Chattam continue sa plongée dans les méandres obscurs de la perversité humaine. Un bon retour aux sources que ce thriller policier, après quelques romans où l'auteur ajoutait un côté fantastique à ces intrigues.

La constance du prédateur est un livre qui plaira, sans doute aucun, aux lecteurs ayant découvert Maxime Chattam avec la Trilogie du Mal. Même si le livre ne m'a pas transcendé, j'ai apprécié cette nouvelle plongée dans les ténèbres et ne fais pas exception à la règle de ces lecteurs du début.
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Bonsoir amis lecteurs,
Aujourd'hui je vous propose le nouveau livre de Maxime Chattam: « La constance du prédateur . »Un thriller, redoutable, très sombre où nous suivons la traque d'un tueur en série habité par des pulsions monstrueuses et sadiques. On retrouve Ludivine Vancker ( « La conjuration primitive », « La patience du diable » et « L'appel du néant »), une profileuse du département des sciences du comportement, mais l'enquête est indépendante. L'auteur nous entraîne dans un récit poignant sans temps morts et aux rebondissements multiples.
La psychologie des personnages est minutieusement analysée, le lecteur entre dans la tête du psychopathe et le résultat est terrifiant. L'atmosphère est à la fois glauque, glaçante et malsaine. Voici un thriller addictif et magistral mené d'une main de maître . du grand Chattam ! Un très gros coup de coeur !
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J'attendais depuis plusieurs mois la parution du dernier Chattam mainte fois repoussée
Alors c'est avec un grand engouement que je me suis empressé de l'acquérir dès sa sorti
Évidemment plus on attend et plus on est exigeant, la barre était donc haute et j'attendais L'auteur au tournant
Et il a comblé mes espérances avec cet ouvrage que j'ai dévoré
Ludivine quitte donc précipitamment la SR de Paris pour intègre en urgence le département des sciences et du comportement auquel elle avait postulée, suite a la découverte d'un charnier qui daterait des années 80
Accompagnée de sa nouvelle cheffe de service Lucie Torrens, elles vont aller de découverte macabre en découverte macabre et recenser des dizaines de corps, féminins pour la plupart.
Fait troublant, le mode opératoire du tueur en série est plus que singulier et il laisse en plus son ADN dans chaque victime.
Encore plus troublant, La découverte récente de nouveaux corps laisserait présumée que notre tueur s'amuse depuis une centaine d'années maintenant.
Comment cela est il possible, notre meurtrier est il immortel, quel réponse peuvent apporter nos deux enquêtrices pour aider la cellule criminelle à la résolution de cette enquête hors du temps
Entre thriller et policiers Chattam nous livre un ouvrage des plus aboutis, jamais dans le gore ou le voyeurisme mais avec certains passages des plus trash dans l'esprit d'un tueur des plus tourmenté, et pour cause, mais ça vous devrez aller au bout de l'ouvrage pour le découvrir
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Maxime Chattam est un de mes auteurs préférés. Il nous emmène toujours du côté sombre de l'humanité. Ici il s'agit du tome 4 avec le personnage de Ludivine Vancker. A mon avis, pas besoin d'avoir lu les romans précédents pour comprendre l'histoire, l'auteur fait des rappels par petites touches et de façon très subtil.
Ludivine Vancker est en pleine mutation professionnelle, puisque maintenant elle va travailler dans le département des sciences et du comportement, c'est à dire profilers. Très vite une nouvelle enquête arrive, elle n'a pas le temps de suivre la formation, car il s'agit d'une enquête hors norme, un cold case vieux de 40 ans. 17 corps de femmes sont retrouvés dans un puits minier de l'Est de la France. Les anciens collègues de Ludivine sont également appelés en renfort. On suit l'enquête avec Ludivine et sa nouvelle collègue et cheffe Lucie Torrens sur la traque d'un tueur en série dénommé Charon.
Le personnage de Ludivine est attachant. C'est une femme forte avec du caractère mais qui a aussi ses failles, ses faiblesses. Au fil des différents romans, elle devient de plus en plus attachante, elle s'humanise, elle accepte ses faiblesses. Dans ce roman elle laisse parler ses émotions.A travers son personnage on a une description précise du travail d'enquêteur et de la psychologie.
Le style d'écriture est clair et fluide. Les chapitres sont courts et rythmés. le suspense monte en intensité au fil des pages, de même que la noirceur et l'horreur,la description des violences est très présente. L'auteur nous montre toute la perversité de la nature humaine. En quelques mots et lignes, l'auteur a su retranscrire l'ambiance des bassins miniers. L'intrigue est bien construite, même si quelques ficelles restent classiques.
Un très bon roman. J'ai pris beaucoup de plaisir à cette lecture.
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Ludivine Vancker va rejoindre le département des sciences du comportement sur les chapeaux de roues suite à une découverte macabre et hors norme. Avec son ancienne équipe ils vont devoir comprendre quel est le lien entre cette découvert et le corps de deux jeunes femmes récemment tuées. 

J'avoue qu'en matière de thriller je suis très bon public, je trouve que ce sont de véritables page-turner et celui-ci n'a pas dérogé à la règle! Dès le prologue l'auteur donne le ton et nous n'avons qu'une envie comprendre ce qui s'est passé mais aussi le lien avec l'enquête sur laquelle Ludivine va enquêter. Il est certain que l'auteur nous plonge dans le méandres de l'âme humaine, c'est noir voire gore à souhait. Peut-être certains retournements sont trop gros mais cela ne m'a pas gêné, plusieurs fois nous avons l'impression d'approcher de la vérité sans pour autant la découvrir totalement. Je rencontre Ludivine et son équipe à travers cette enquête et cela ne fut pas dérangeant, on comprend que la jeune femme est fragile et qu'elle est en phase de reconstruction, des allusions et rappels sont faits au fil de la lecture qui nous permettent de mieux appréhender son personnage. La psychologie des différents personnages est finement analysée et cela sonne juste. 

Très bonne lecture pour moi, j'ai dévoré ce roman qui est vraiment addictif! Certains lecteurs trouveront peut-être qu'il y a trop de rebondissements  ou que c'est trop noir mais pour ma part ça fonctionne! 
Lien : https://leslecturesdemamanna..
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C'est avec un réel enthousiasme que je retrouve Ludivine Vancker et ses collègues de la SR (Section de Recherches) de Paris. Mais au bout de quelques pages je découvre que Ludivine va être mutée au Département des Sciences du Comportement (DSC). Adieu les collègues de la SR, et let's go pour de nouvelles aventures !

Oui… et non. Si Ludivine intègre bel bien le DSC (à sa demande), l'affaire à laquelle ils vont se frotter s'annonce tellement énorme que la SR de Paris va être appelée en renforts. Une sorte de transition en douceur, plutôt qu'une rupture nette. Bien joué Maxou !

Si Ludivine va retrouver ses anciens collègues (Segnon, Guilhem, Magali et Franck), elle va aussi et surtout devoir travailler de concert avec sa supérieure hiérarchique, la chef d'escadron Lucie Torrens et s'adapter aux méthodes d'investigations du DSC.

J'ai apprécié de retrouver le personnage de Ludivine Vancker débarrassée (plus ou moins) de ses anciens démons, le couple qu'elle forme avec Marc semble avoir un effet positif et apaisant sur sa personnalité.

J'avoue avoir eu un énorme coup de coeur pour le personnage de Lucie Torrens. Elle mériterait presque que Maxime Chattam lui consacre au moins au roman… mais bon, il fait ce qu'il veut, c'est un grand garçon (et vu les idées sombres qui lui passent par la tête, vaut mieux pas lui chercher des noises).

Superbe (la modestie ne m'étouffe pas) transition qui m'amène à dire quelques mots de l'intrigue. Sans mentir c'est peut-être l'une des plus machiavéliques parmi les nombreux thrillers que j'ai lu ces dernières années. Vous n'avez pas fini de vous triturer les méninges pour démêler pareil écheveau.

La violence est omniprésente mais au service de l'intrigue, et encore je trouve que l'auteur a été plutôt soft vu la perversité de Charon, le tueur en série qui va donner bien du fil à retordre au DSC et à la SR parisienne. Si violence il y a, c'est plutôt le contexte imaginé par l'auteur qui fait froid dans le dos ; dans le genre plongée au coeur de ce que l'humain a de plus pourri et pervers, on peut difficilement faire pire dans l'innommable…

En refermant ce roman vous réaliserez à quel point le titre colle parfaitement à l'intrigue.

Ce roman confirme ce que l'on avait déjà pressenti ces dernières années, Maxime Chattam excelle quand il fait du Chattam pur jus… pas quand il cherche à imiter les autres (je fais ici référence aux romans le Signal et Illusion qui ne m'ont vraiment pas convaincu).
Lien : https://amnezik666.wordpress..
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