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3,62

sur 427 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Christopher et sa mère emménagent dans la ville de Mill Grove, cherchant à fuir leur passé.
Attendant sa mère à la sortie de l'école, qui a du retard faute d'un accident survenu sur la route, Christopher va être attiré dans les bois et disparaît pendant six jours, pour être retrouvé sain et sauf
Durant ces 6 jours, le garçon se met à parler avec un ami invisible, qui lui demande de construire une cabane dans la forêt avant noël, cabane qui est en fait une porte sur un monde imaginaire hostile.

Tout est assez prenant, on retrouve limite du S.King dans l'histoire avec une écriture plus fluide.
Tout est donc fait pour être un super livre, mais c'est sans compter qu'on a une pléthore de scènes redondantes qui viennent gâcher toute une dynamique et vous lassent une fois les 300 premières pages lues, en sachant qu'il en reste 450 de plus avant d'arriver au bout.
Dommage pour ce loupé, dont je constate que beaucoup d'avis de lecteur le mentionnent également.
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Ce pavé de près de mille pages m'attendait depuis l'année dernière. Des frissons, un chef d'oeuvre : telles sont les promesses du roman sur la couverture du roman. Je me mets dans l'ambiance d'Halloween et je me plonge dans ce livre. Les promesses sont-elles à la hauteur de mes attentes ?

Pour le chef d'oeuvre, je n'irais pas jusqu'à là. En revanche, J'ai clairement été immergée dans cette ville de Mill Grove, en Pennsylvanie, comme dans un huis clos. Car tout ce qui va se passer dans ce roman, ne se passe que dans cette ville et c'est bien l'intérêt principal de ce roman. Puisque cette ville a un passé lourd : la disparition d'un enfant il y a 50 ans. Jamais cet enfant n'a été retrouvé et le mystère hante encore la ville et s'en trouve meurtrie. L'histoire se répète car Christopher, 7 ans, récemment installé avec sa mère dans cette ville va avoir un comportement très étrange après avoir disparu quelques jours dans la forêt de Mill Grove. Tout l'entourage proche de Christopher va pâtir du retour de Christopher et le lecteur doit jongler avec une dizaine de personnages que l'on découvre au fur et à mesure. Beaucoup disent que le style de roman se rapproche de ceux de Stephen King ; mais pour moi, dans les romans du maître King, je me retrouve souvent perdu avec tous les nombreux personnages (et j'ai d'ailleurs énormément de mal avec les digressions de King). Ici, dans ce roman, on suit facilement qui est qui, et pas de digression, on va droit au but.

Pour la deuxième promesse, les frissons, mon avis est largement plus lapidaire puisque j'ai très rarement des frissons avec des romans. Il y a un retournement de situation vers les 300 dernières pages qui auraient pu me surprendre et me donner des frissons, mais en réalité, j'avais deviné ce « rebondissement » bien avant que j'en arrive à ce point.

J'ai apprécié la lecture de ce roman mais lorsque le mystère était entier. Une fois qu'on arrive au stade du monde imaginaire, j'ai eu beaucoup de mal à ne pas décrocher. Clairement, les 200 dernières pages sont de trop. L'auteur a voulu en faire trop et les scènes sont répétitives. de base, je n'aime pas les romans d' « action » mais j'arrive tout de même à apprécier des scènes de ce genre lorsqu'elle ne traîne pas trop. Là, on est clairement dans un suspense de fin de roman, qui s'étire, si bien que je me suis complètement détachée de ce qu'il pouvait se passer par la suite. J'ai survolé quelques chapitres à la fin. Je l'ai terminé il y a quelques heures, et je suis incapable de me rappeler de la fin. Signe qu'en réalité, je me contrefous clairement de ce que les personnages sont devenus.

En bref, ça aurait pu être une bonne lecture si l'auteur n'avait pas poussé la résolution du mystère entourant cette ville. le roman est captivant durant les 500 premières pages mais il faut s'accrocher par la suite. J'en garderais tout de même un bon souvenir, parce que ces enfants qu'on suit sont très attachants et surtout parce que j'ai consacré presque 3 semaines à le lire, après une bonne panne de lecture.

Lien : https://letempsdelalecture.w..
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L'AMI IMAGINAIRE, Stephen Chbosky 🏚

C'est un demi abandon et je m'explique :

🏚Cette pavasse de quasi 1000 pages, a été entamé avec un certain enthousiasme, malgré un style un peu étrange au premier abord (beaucoup de courtes phrases), j'appréciais la mise en page, les différentes polices d'écritures selon les situations et les dialogues.
Les nombreux détails me font penser que ce livre pourrait vraiment fonctionner en film et je pense que j'aurais peut-être beaucoup plus apprécié.
On voit aussi que l'auteur s'est inspiré de Stephen King dans l'ambiance et dans traitement de l'Enfance.

❌Les petits problèmes qui m'ont fait lire les 350 dernières pages en diagonales, sont, premièrement qu'il y a pas mal de moments (et de mots) répétitifs et que ces moments tournent un peu en rond… et deuxièmement que l'on commence à peine à avoir des réponses à la fin de la 490ème pages...

Finalement j'ai fini par comprendre qu'en lisant la fin des chapitres j'avais la réponse à l'avancement de l'histoire bref,
j'avoue qu'à un moment j'en avais un peu marre sachant que je m'attendais à autre chose de l'histoire, (je pensais que Chris serait beaucoup plus dangereux au vu du synopsis ) bref cette dernière a fini par ne plus m'intéresser.
Lien : https://www.instagram.com/kh..
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Attiré par ce genre d'histoire et par une couverture à la Stephen King, après lecture malheureusement ma déception n en a été que plus forte. du coup je suis très embêté pour en faire une critique.
Ce "pavé" de près de 1000 pages ! est un mélange d histoires pour ados, saupoudré de scènes violentes plutôt pour adultes, ainsi qu une foule de détails pas toujours utiles.
Je ne sais donc pas dans quelle catégorie placer ce livre.
La seule chose que je puisse en dire c'est qu après une centaine de pages je me suis fermement ennuyé et qu il m'a fallut une dose de courage et d acharnement pour terminer cette histoire.
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Mouais. Autant le début est excellent, avec une ambiance oppressante qui va crescendo. Mais au bout d'un moment, euh...ça part complètement en free-style, au point que ça en devient même confus par instants. Il s'agit cependant peut-être d'un parti-pris de l'auteur pour renforcer le côté "folie cauchemardesque" de son histoire.

C'est à n'en pas douter un excellent livre, très original, dans le genre fantastique/horreur qui plaira certainement à beaucoup mais cet aspect quelque peu brouillon et au final très porté sur la religion m'empêche de le porter aux nues, surtout que je ne suis pas certain d'avoir bien compris la fin, malgré mes efforts.

Je sors mitigé de cette lecture donc, ce n'est pas la claque que j'espérais.








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Lecture mitigée pour un roman de qualité fort inégale. Très honnêtement, si vous avez envie de dévorer un pavé, passez votre tour. Il y a bien mieux pour investir votre temps de lecture déjà précieux au vu du peu de temps que la plupart d'entre-nous peut y accorder et par rapport à la masse de romans disponibles.

Je ne comprends pas du tout les critiques lues qui encensent ce roman : il est long, pas forcément bien écrit, beaucoup de coquilles, le rythme est inégal, l'intrigue est pas terrible et c'est hyper long pour le peu que ça raconte.

Non sérieusement, lisez plutôt un bon Stephen King !

Le récit est tellement tiré en longueur que j'ai sauté des passages en lecture rapide. Il aurait pu être amputé de facilement 200 à 300 pages car le "dénouement" (un tiers du livre hein quand même) ne ressemble plus à rien tellement ça part dans tous les sens.

Le style maintenant : c'est simple, trop simple, on dirait que c'est écrit pour les adolescents (peut être que ça l'est?) et l'horreur à force d'être répétée devient lassante. L'auteur n'a pas réussi à me garder en haleine sur le dénouement car c'était TROP LONG, inutilement LONG.

Et les personnages ? Une mère trop parfaite, un fils trop parfait, des potes sympas mais qui à la fin du récit ne servent plus à rien. Quelques personnages secondaires attachants mais sans plus. Je suis vraiment déçue d'avoir passé autant de temps sur ce livre.

C'aurait pu être une bonne lecture : moins de longueurs, un dénouement plus court et mieux construit, des personnages moins caricaturaux et plus réalistes, de l'horreur un peu plus explicite (c'est pour adulte ou pas ?), un style un peu plus travaillé.. Ce roman a trop de défauts à mon goût.

A partir d'ici ça spoile :



Verdict : vu le nombre de pages et la médiocrité globale, j'aurais préféré m'abstenir de lire ce pavé.
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Christopher et sa mère Kate emménagent dans la petite ville de Mill Grove, en Pennsylvanie, espérant y trouver la paix. Mais Christopher disparaît pour revenir six jours plus tard, apparemment indemne. En apparence seulement : le garçon se met à parler avec une créature invisible, il se guérit de sa dyslexie, et se met en tête de construire une cabane dans la forêt toute proche. Il réussit à convaincre ses quatre copains de l'aider. La cabane enfin construite, Christopher découvre qu'elle est une porte vers le monde imaginaire...

Stephen Chbosky est présenté comme le disciple de Stephen King. Comme lui, il prend le temps de camper une atmosphère, et de montrer la belle relation qui unit Kate à son fils. le récit tient encore la route quand Christopher découvre un étrange personnage qu'il surnomme le "gentil monsieur", qui lui ouvre les portes du monde imaginaire, qui n'a rien de féérique mais tout de l'enfer. Mais tout se gâte ensuite, avec l'arrivée de multiples personnages dont on ne comprend pas s'ils sont morts ou vivants, bienveillants ou maléfiques, des rebondissements sans queue ni tête qui donnent l'impression que l'auteur a rédigé son roman sans construction aucune, au fur et à mesure de l'inspiration. Il ajoute des épisodes dont on se demande quel est leur intérêt à part rallonger une sauce qui à la longue perd toute consistance jusqu'à devenir parfaitement insipide. Là où Stephen King maîtrise la construction en crescendo d'un récit et sait tenir son lecteur en haleine, Stephen Chbosky se noie dans une histoire malhabile et délirante, qui s'achève sur un happy end brutal et peu crédible.
Lien : http://usine-a-paroles.fr/le..
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SPOILERS Je serai bien en pleine de donner un avis sur ce Livre tellement j'ai à la fois adoré (au début) et détesté (à la fin). C'est ce genre de livre génial qui nous déçoit à l'extrême par leur fin parce qu'on va vers un truc illogique, nul, mal écrit. C'est d'autant plus rageant.Tout le début était très immersif et fascinant : mélange d'horreur, de fantastique, de mystère et d'étrange. Avec des scènes horribles et glaçantes très cinématographiques avec beaucoup d'actions.Jusqu'au moment où on nous dit que l'enfant est devenu Dieu parce qu'il a construit une cabane dans un arbre sur la demande d'un sac en plastique, où j'ai commencé à avoir des doutes. S'en est suivi un dégonflement énorme car les pages s'enchaînaient avec des scènes redondantes avec sans arrêt les mêmes phrases et les mêmes situations sans que ça n'apporte rien à l'histoire.Et le déroulé allait de pire en pire, au point d'aller toujours plus loin dans le délire mystique de Dieu. Il y avait à la fois l'aspect apocalyptique d'une ville envahie par une grippe mysterieuse et des gens qui semblaient tous de plus en plus possédés... et de l'autre ce délire mystique qui venait gâcher tout.Jusqu'à la révélation finale. Qu'ouï-je ? le gentil monsieur n'était finalement pas le gentil mais le méchant ? Hin c'était le diable ? Hin c'est lui qui manipule tout le monde depuis le début dans le but de fuir et d'être libre ? Quoi, la femme qui siffle présentée comme la pire des pestes (qui répète tout le temps les memes phrases comme un robot, genre, si elle avait dit clairement les choses le livre aurait fait 30 pages), c'est une gentille et c'est Ève ? Autant dire que je n'ai rien compris aux propos de l'auteur et à la dimension métaphorique ou mystique de l'histoire. Pour moi ça ne s'apparente qu'à un immense gâchis. c'est comme fabriquer entièrement un Paris-Brest et puis au final tout défoncer avec une batte de baseball. Si encore on avait des explications claires ? Non.Au passage, on appréciera (sarcasme) le trope du handicap supprimé par magie. Bah oui, le gosse dyslexique est guérie par le diable qui supprime sa dyslexie et le dote d'une connaissance illimitée sur tout et tout le monde, ravissant sa mère qui a enfin un enfant normal !... pourquoi ? Validisme quand tu nous tiens! Quand on fait un perso handi, forcément l'objectif est qu'il soit guérit à la fin. Soit par magie. Soit par l'Amour. Désolée de décevoir mais ça n'arrive jamais dans la vie !D'ailleurs, on appréciera aussi le passage final où l'enfant pardonne le diable. Parce que Dieu est Amour. L'enfant c'est dieu vous comprenez donc dieu est amour. AH ! 700p pour recevoir un sermon ?!Je n'ai pas compris le leitmotiv qui revient sur 400p comme quoi Dieu est un assassin. Qu'a voulu dire l'auteur ? C'est quoi le message qu'il voulait faire passer ? Mystère.Autre passage incompris: cette femme enceinte par immaculée conception, qui reste enceinte malgré que le méchant pas gentil est vaincu, alors que tout le monde guéri des plaques de boutons et de la démence paranoïaque ? Pourquoi ? C'est quoi le message de l'auteur encore ? Parce qu'on fait une f***** alors on a bien mérité d'être enceinte et l'4vortement c'est mal ? Je sais pas ?Dernière chose : le sujet de la maltraitance envers les enfants. C'est bien représenté, c'est bien écrit, les mécanismes sont bien illustrés. C'est extrême et dérangeant, bon... ok.... Mais pourquoi tous les enfants semblent subir ça ? Et le propos sur ce sujet qui revient régulièrement : si on est maltraitant, est on condamné à maltraiter nos enfants ? Est ce une question de choix ou est ce qu'on n'y peut rien ? Qui a été le premier a maltraiter au tout début et pourquoi ? Que voulait il dire par là ? Oui ? Non ? Sachant qu'il met en scène la solution par la violence extrême des victimes. Salvateur oui, mais ça reste sans suite puisque tout le monde survi comme par magie. C'est pour le décorum ? le sensationnalisme (parce qu'une mère qui traite son enfant comme un chien en le mettant dans une niche, ça stimulera le cerveau du lecteur qui trouvera ça horrible)? Était ce le diable qui poussait les maltraitant à maltraiter et donc ça excuse tout et tout le monde devient bon et gentil ? Fini la niche et l'inc4ste ? Par ce que Dieu est Amour (ou un assassin, je sais pas, il y a comme une contradiction)On nous fait le coup de l'indice caché avec des lettres majuscules. Puis plus tard, on nous colle des majuscules sans que ça n'est plus aucune sens, à part perturber la fluidité de lecture... c'est peutêtre juste une figure de style. Ou il y a une explication que personne n'a trouvé.Après une expédition sur internet, j'ai pu remarquer que je n'étais pas la seule déçue, ni la seule à ne pas avoir compris ce livre. le mystère reste donc entier.Si vous avez des réponses à mes interrogations, vous pouvez m'expliquer en commentaire ou en DM. Après tout, j'ai appris aujourd'hui que visiblement mes troubles du spectre autistique impactent ma compréhension de lecture...
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Croisé par hasard au détour d'une allée, le résumé m'a carrément attiré. J'avoue que ce livre reste quand même une sacré briquasse, et j'ai pas mal hésité avant de le sortir. Et bien, si j'avais su, je ne me serais pas arrêté.

Non pas que le livre soit nul, loin de là. Mais je l'ai trouvé long, très long. Ce pavé avait raison de me faire peur, puisque j'ai eu l'impression de tourner en rond.

Le sujet était pourtant intéressant, j'ai aimé ce coté fantastique, tout est bien mis en place et permet au lecteur de se sentir intégralement immergé dans cette réalité décalé. Mais il manquait de profondeur pour que j'accroche plus avec ce livre.

En bref, si le roman avait fait quelques pages de moins, je pense qu'il m'aurait vraiment plu, mais pour moi il était beaucoup trop long ...
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Grande déception pour ce livre qui m'avait vendu du rêve.
Ça s'annonçait pourtant bien, j'ai beaucoup aimé le début du livre, l'ambiance, les personnages, l'intrigue, il y a un bon rythme, plusieurs choses m'ont surprises en bien... Même si plusieurs choses commençaient à me gaver, notamment les gosses qui sortent de chez eux toutes les nuits sans se faire chopper une seule fois par leur parents? juste non.
Et les multiples mentions de froot loops et bat cat, ça fait un peu trop placement de produit à mon goût.
On arrive à ce que j'ai franchement détesté, toutes les parties du roman où il est question de religion, les 400 dernières pages qui se traînent en longueur, les rebondissements de situations où tout le monde est miraculeusement sauvé à la dernière seconde, j'en pouvais plus des répétitions de scènes et de mots (si je revois des gens boîtes aux lettres où des cerfs, je hurle).
Le final est dans mon top 5 des pires fins de livres lus cette année
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