Tu étais, tu es et tu seras toujours mon Jazz. Tu es chaque temps, chaque note, chaque mesure. Tu es les paroles, l'harmonie, et la mélodie.
J'ai appris qu'être fort, c'est réussir à se lever chaque matin alors que notre monde s'écroule autour de nous.
Tu es la musique dans un monde silencieux, et mon cœur bat parce que tu es là.
- Le jazz, c'est, heu... le jazz me rappelle que lorsque je suis seul, je ne suis pas vraiment seul.
On ne voit pas la musique, on la ressent. La musique ne voit pas la couleur. La musique transcende tous les stéréotypes.
“- Qui aurait pu penser que les choses pouvaient être douloureusement belles.”
-N’arrête pas, dit-il en souriant.
-De faire quoi ?
-De rire. C’est le son que je préfère entendre.
Je me demandai si elle savait à quel point elle me rendait nerveux, sûr de moi et craintif, tout à la fois.
— On ne peut pas espérer guérir si on prétend que les fêlures n’existent pas.
Il se remit à regarder à travers la vitre et je continuai à le regarder fixement.
Et c'est là que c'est arrivé.
Si petit, si ténu, si réel.
L'amour.