Il m'appelle son remède, son havre de paix, sa liberté mais Landon est tout l'inverse pour moi. Il est mon point faible, ma kryptonite, ma cage. Alors que je le tire vers le haut, il m'entraîne vers le bas. J'ai du mal à comprendre que l'amour ressemble autant à une bataille. Et si Landon est en train de la remporter, je suis en train de mourir au combat.
Landon et moi sommes brouillons, meurtris, complexes et sublimes.
C'est le problème, lorsqu'on est angoissé et dépressif: de temps en temps, on est contraint de porter des masques pour protéger ceux qu'on aime de notre souffrance. Les masques les protègent de la douleur qu'on ressent.
En vérité, la douleur s’amoindrit lorsqu’on la libère. Sinon, elle vous ronge de l’intérieur.
Les jours de pluie sont faits pour les pulls trop larges et les livres énormes.
Les choses les plus importantes sont souvent les plus difficiles à atteindre, mais ça en vaut la peine.
Après des années de tentatives et d’échecs, je commence à savoir naviguer, mais il n’empêche que mon bateau subit la houle de temps en temps.
- Comment va ton coeur ?
- Il bat encore.
L’amour, ce n’est pas ça. L’amour ne fait pas mal. En tout cas, il n’est pas censé blesser.
Lorsqu’on porte un masque trop longtemps, il commence un jour à se fissurer. Puis il se brise pour de bon.