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Je ne sais que penser de ce livre... la narratrice est une chatte qui sait communiquer avec les hommes via un ordinateur ou une tablette. Elle possède une culture littéraire et scientifique, peut citer Descartes... un langage soit CHATier soit de CHArretier. Original, farfelu... je lirai le tome2 pour voir si l'histoire se développe, car sur ce plan c'était un peu léger à mon goût.
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Concernant la couverture, je la trouve jolie et sympa. On y retrouve la patte des éditions Palémon dans sa composition, mais aussi des éléments de l'histoire, comme le chat (enfin la chatte), le tampon pour le titre de la saga, et Quimper.

Concernant la plume de Gérard Chevalier, pardon de Catia, je l'ai trouvée fluide, simple et agréable, pleine d'humour également. C'est une belle découverte. J'ai adoré les "remerciements" au début de l'ouvrage, ainsi que le fait que la narratrice s'adresse au lecteur. ^^

Nous avons donc là une narratrice atypique au sein d'un roman policier, puisqu'il s'agit d'un chat. Ou plus exactement d'une chatte angora de quatre ans prénommée Catia, une surdouée capable de prouesses que je vous laisserai découvrir par vous-même, même si elle a un souci avec la notion de temporalité (et complexe un peu dessus). Elle est passionnée de littérature, de philosophie, de poésie, amoureuse de sa Bretagne natale et de son humain Erwan. Elle a aussi des idées bien arrêtées sur le genre humain (souvent à l'emporte-pièce) et une assez haute estime d'elle-même. C'est ce qui amène beaucoup d'humour dans le livre. Mais elle a beau se sentir supérieure de plusieurs façons, il n'en reste pas moins qu'elle sait montrer de l'empathie lorsque cela est nécessaire.

Catia vit donc avec Erwan, ancien policier, licencié pour avoir voulu dénoncer la corruption de son chef. Il est maintenant journaliste d'investigation, mais n'a pas abandonné son projet d'avoir gain de cause concernant son supérieur. Pleine d'amour pour son humain, Catia n'en occulte pas moins ses défauts : les femelles qui défilent et qu'il choisi avec mauvais goût et le fait qu'il aime boire un verre (voire plus) avec ses amis, dont Yvon, un ancien collègue.

Nous allons donc entrer dans la vie commune de Catia et d'Erwan, ce dernier étant complètement gaga de sa jolie fi-fille, sans pour autant connaître ses capacités extraordinaires. Comme je vous l'ai dit, il y aura beaucoup d'humour dans ce texte, principalement véhiculé par le caractère et les pensées de Catia. Mais il y aura aussi un peu de suspense, de la réflexion et un peu d'action également.

Même si on rentre dès les premières pages dans le vif du sujet avec une "visite" de l'appartement d'Erwan et de Catia, l'histoire est plutôt centrée sur la féline, sur son caractère, ce qu'elle aime (ou non), sur ses ressentis... du coup, j'ai trouvé que l'enquête était un peu reléguée au second plan et assez simple, juste utilisée comme faire valoir pour notre minette qui n'hésite pas à sortir griffes et crocs lorsque cela est nécessaire. En soi, c'est un premier tome, donc ce n'est pas réellement dérangeant.

Vous trouverez dans ce livre de nombreuses références littéraires et philosophiques. Bon, je ne vais pas prétendre que je les connaissais toutes, je ne vais pas abuser, mais j'ai apprécié celles que je connaissais, comme pour Demain les chats de Bernard Werber, par exemple.

Concernant la fin, je l'ai trouvée mignonne, bien qu'un peu tirée par les cheveux poils concernant Rose. Catia a beau être supérieure aux autres chats, je trouve quand même délirant de lui confier cette mission...

En résumé, j'ai passé un bon moment entre les pages de ce livre plein d'humour qui fait sourire et fait du bien au moral (même quand celui-ci va déjà très bien lol). La narratrice féline est parfois pleine de morgue, d'autres fois d'empathie, souvent d'humour, mais toujours fidèle et pleine d'amour pour Erwan, son humain. le côté policier est certes écrasé par Catia, mais je suppute que cela est dû au fait que c'est un premier tome. Je lirai la suite avec plaisir pour m'en assurer. ;-)
Je recommande ce roman aux amoureux des chats ainsi qu'à ceux qui veulent passer un moment léger qui fait sourire.
Lien : http://booksfeedmemore.eklab..
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Cosy Crime chez Collectif Polar;
Le Chat Pitre de Sophie, aidé de Ge sa Porte Flingue et porteplume pour l'occasion nous offre son petit billet.
Catia, la chatte d'un journaliste d'investigation quimpérois, commente l'enquête qu'elle mène aux côtés de son maître.
Pour autant Erwan vient de faire entrée dans sa vie Annick, et ça, ça va pas être possible pour notre Catia, jalouse comme une chatte ! Mais heureusement, Erwan est plutôt un collectionneur qu'un amoureux transi. Et après Annick, ce sera … Bien oui, quoi ? Catia tient à rester la maitresse de la maisonnée…
Mais Catia a toujours une solution pour tous, surtout quand Erwan son bipède, un ex flic reconverti en journaleux, doit mener à bien une enquête sur son ancien patron véreux qui le surveille en retour craignant d'être démasqué… Vous voyez c'est un peu une intrigue qui se mord la queue. Mais c'est pas grave car c'est tendre, drôle , et malicieux. Bref un petit polar pour les amoureux des chats 🐱 🐱, surtout qu'il semblerai que se soit bien Catia qui dicte à notre auteur ces aventures cocasses et plutôt savoureuses
La lecture de cosy crime est facile et agréable. C'est frais et impertinent, un vrai antidote impayable contre la morosité ambiante.
En prime notre périple bourré d'humour et de situations burlesques nous embarque au coeur de la Bretagne empreinte de légendes…et en déambule avec plaisir entre les monts d'Arrée et dans les vieilles rue de Quimper.
Lien : https://collectifpolar.blog/..
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J'ai aimé le style, l'écriture du chat (narratrice, c'est une chatte), l'humour, les clins d'oeil à la culture, l'impertinence mais je n'étais sans doute pas d'humeur pour une telle vacuité du récit. du coup, je n'arrive pas à savoir si j'ai aimé ou non ce bouquin tellement je l'ai trouvé à la fois drôle et insignifiant. Cela dit, c'est la première fois qu'un récit "écrit" par un chat me plaît (je salue le talent de l'auteur qui ne nous a pas fait un récit bébête comme j'ai pu en voir passer d'autres, mais qui nous a pondu là un discours pétillant d'intelligence !). Si vous aimez la gent féline, laissez vous tenter, vous garderez le sourire jusqu'à la dernière page.
Lien : https://www.babelio.com/list..
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Le chat qui chassait les nuisibles.
Catia est née dans les Monts d'Arée, à la campagne. Sa mère a été séduite par un obsédé sexuel et honteusement abandonnée avec sa progéniture. Heureusement, Erwan l'a adoptée et depuis, tous deux coulent des jours heureux à Quimper. Enfin heureux, c'est vite dit. Erwan a été renvoyé de la police pour avoir tenté de dénoncer les malversations de son chef et a du se reconvertir en journaliste d'investigation, tout en peaufinant son dossier sur l'infâme Peltier. Erwan a beaucoup de qualités mais quelques défauts, selon Catia : il papillonne et ses « femelles » ne sont pas toujours du goût de Catia (qui doit rester le seul et unique amour de sa vie, cela va sans dire !) et il ne refuse jamais de boire un verre (ou plus, beaucoup plus) avec ses copains, notamment Yvon, ex collègue et toujours ami. Ah, j'ai oublié de préciser que Catia est une chatte ! Mais pas n'importe quelle chatte, un animal d'une intelligence supérieure et particulièrement évoluée qui sait lire et qui sait écrire via un clavier d'ordinateur, un téléphone ou une tablette ! En découvrant le savoir faire extraordinaire de sa petite compagne, Erwan, revenu de sa surprise, ne mesure pas encore l'aide qu'elle va lui apporter dans sa croisade anti-ripoux.
C'est le premier polar écrit par un chat que je lis et sans doute pas le dernier tant l'expérience s'est révélée (très) souriante !
Le ton est donné dès les toutes premières pages, avant même le premier chapitre, avec les « pas de remerciements de Catia », suivis des remerciements du « correcteur », Gérard Chevalier, qui prend tout de même la précaution de décliner toute responsabilité quant au texte, les assertions, positions et jugements (souvent à l'emporte pièce !) étant du seul fait de l'auteure !
Du côté enquête, rien de transcendant mais ce n'est pas là l'essentiel !
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Miaou, bordel ! c'est le cri de guerre de Catia, une chatte pas comme les autres, quand les humains ne l'écoutent pas assez. Car à force de côtoyer son humain préféré, Erwan, journaliste d'investigation, Catia a appris le langage des hommes et l'utilisation d'un ordinateur pour communiquer. Quand son maître est mis en danger par son ex patron, commissaire ripou, elle décide de jouer le tout pour le tout et de lui révéler ses capacités. Catia va alors devenir une alliée de poids pour tenter de faire tomber l'infâme personnage.

Miaou, bordel ! m'avait déjà attirée par son titre pas comme les autres et son pitch plutôt original, mêlant enquête policière, amour des félins et régionalisme breton. Mais quand j'ai trouvé ce livre dans la bibliothèque d'un camping (breton bien sûr !), il m'a suffi de lire les premières pages pour être définitivement prise au piège et avoir envie de connaître la suite. Gérard Chevalier a su adopter le bon ton pour nous faire croire à son histoire, narrée par Catia et racontée du point de vue d'un chat. le monde humain vu par cette chatte surdouée (ce n'est pas moi qui le dis c'est elle !) est passé au prisme du comportement félin et c'est souvent franchement désopilant : Catia ne comprend pas pourquoi son humain absorbe des boissons à l'odeur répugnante (du pastis...), pourquoi il doit travailler pour payer leur pâtée ou ce qu'il trouve d'agréable à se frotter la bouche constamment avec celle de son humaine chérie. Si on ajoute à cela, le caractère éminemment capricieux de la féline et sa volonté d'être traitée avec les égards dus à son rang et à son intelligence, on se régale en découvrant ses réactions au fil des pages.

Pour le reste, l'intrigue reste assez simpliste et vite bouclée, construite autour d'un flic ripou qui n'a rien pour plaire mais elle s'accélère franchement vers la fin et réserve suffisamment de rebondissements et d'action pour que les pages se tournent toutes seules. L'auteur mêle à tout ça quelques phrases en breton et de belles descriptions des Monts d'Arrée qui donnent une petite touche couleur locale bien sympathique (même si j'ai un peu regretté de ne pas découvrir un peu plus en détail Quimper où est situé l'essentiel de l'intrigue). Certes il y a quelques maladresses ou passages un peu trop appuyés ou répétitifs mais le tout est franchement réussi et original.

Une petite lecture sans prétention mais fort sympathique qui change des romans régionaux ou policiers habituels et bien sûr un vrai bon moment pour les amoureux des chats, sans aucune mièvrerie ou anthropomorphisme ce qui fait du bien. A découvrir si vous en avez l'occasion, il y a au total 8 tomes à ce jour et je compte bien poursuivre l'aventure avec Catia et Erwan !
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Catia , adorable minette quimpéroise, nous ravit du début jusqu'à la fin….
Très performante dans tous les domaines, mais surtout en informatique, elle donne des leçons à son maitre, l'aident dans ses investigations…..
Son humour, son langage nous font rire, nous en oublions nos soucis et si vous aimez les chats, ne résistez pas à ce premier live des aventures de Catia
Ce livre m'a été offert par une amie, et vraiment je la remercie
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Depuis quasi toujours, je ne lis que des récits policiers.

Depuis quelques années, je ne lis que des récits écrits en langue française (pour être certains de lire les mots de l'auteur et non ceux du traducteur).

Depuis toujours, j'apprécie l'humour sous toutes ses formes.

Enfin, j'apprécie tout particulièrement les personnages récurrents dans la littérature.

Aussi, je ne suis jamais contre découvrir un nouvel enquêteur récurrent issu de la plume d'un auteur de langue française.

Et je ne boude jamais les auteurs trempant leurs plumes plus dans l'humour que dans le noir (quoiqu'il puisse faire les deux)…

Par contre, je n'ai jamais été très attiré par les chats. Si je ne leur ferai jamais de mal, si j'en ai même élevé un pendant près de vingt ans, je leur préfère les chiens, question de feeling…

Pour autant, que je tombe, par hasard, sur le premier opus d'une série de romans policiers mettant en scène un chat enquêteur, je me dis : pourquoi pas ?

Le fait que les retours de lecteurs sont plutôt dithyrambiques finit donc par me convaincre de me laisser tenter par « Miaou, Bordel ! », un roman signé Gérard Chevalier et ce d'autant plus que je trouve le titre plutôt efficace.

Erwan est journaliste, ancien policier viré après avoir été piégé par un supérieur véreux. Il a pour compagnie, outre les femmes de passages, la belle et douce Catia, une petite chatte amoureuse de son maître et suprêmement intelligente.

Quand elle surprend un inconnu en train de pénétrer dans l'appartement, de fouiller tous les tiroirs et de placer un micro, elle décide de prévenir Erwan en lui révélant l'une de ses facultés incroyables, celle de savoir écrire… en tapant sur un clavier d'ordinateur…

Bon, par quoi commencer ?

Peut-être par la 4e qui nous promet un roman laissant la part belle au suspense ? Il faudra alors m'expliquer où se situe le suspense dans ce roman dont l'intrigue très linéaire n'offre aucune place aux rebondissements ni aux tensions…

L'auteur décide de faire d'une chatte son héros et sa narratrice. Pourquoi pas, en cela rien ne me gêne, d'autres auteurs avant lui ont fait parler toutes sortes d'animaux.

On appréciera alors (ou pas) la narration à la première personne et l'utilisation d'un langage châtié (jeu de mots).

Le récit est parsemé de notes de bas de page dont certaines, expliquant le désaccord des éditeurs, de la correctrice ou autres avec l'auteur (la chatte) sont plutôt sympathiques.

Le gag récurrent (running gag) autour de l'impossibilité du chat à saisir la notion de « temps », mais à toujours utiliser l'expression ou le mot lui-même est assez amusant quoiqu'il finisse par devenir lourd au bout d'un moment.

Que le chat sache écrire, cela ne me gêne aucunement et il faut bien avouer que cela simplifie la tâche à l'animal pour communiquer avec son maître.

Par contre, l'auteur pousse la plaisanterie un peu loin en faisant de sa chatte une experte en informatique, une philosophe accomplie, une lectrice des grandes oeuvres de la littérature, une auditrice de la Grande Musique et bien d'autres choses encore.

Cet excès frise alors la naïveté tirant souvent le récit vers de la littérature jeunesse ce qui n'est pas, me semble-t-il, la volonté du véritable auteur ni la ligne éditoriale de l'éditeur.

Cette impression est d'ailleurs renforcée par les diverses rencontres de Catia avec d'autres êtres humains ou félins et par les comportements de chacun envers elle.

Car tout le monde a l'air d'accepter bien facilement de se trouver face à un chat capable de comprendre et d'écrire un français parfait en développant des idées que la plupart des humains seraient incapables d'émettre.

L'intrigue, comme je l'ai déjà dit, se résume à sa portion congrue avec un ancien policier cherchant à se venger de son supérieur véreux qui, de son côté, le fait surveiller par ses hommes de peur qu'il ne sorte un dossier compromettant.

Reste alors une plume pas désagréable aidée par une narration à la première personne en langage parlé (ce qui facilite les choses), quelques traits d'humour bien sentis et… puis voilà.

Car il me semble que Gérard Chevalier n'utilise pas le potentiel de son idée de base.

D'abord, en poussant le bouchon un peu trop loin.

Ensuite, en exposant les capacités de son chat un peu trop facilement. L'intrigue, l'histoire, l'ensemble, auraient gagné, à mon sens, en intérêt si seul Erwan avait été mis au courant.

Puis, par une naïveté dont l'histoire peine à se détacher du fait de mauvais choix ou de facilités ou, encore, de la volonté de Gérard Chevalier de s'amuser avant tout – cela donne un peu l'impression que l'auteur s'est dit que cette histoire ne serait jamais publiée alors qu'il pouvait se laisser aller.

Enfin et surtout à cause d'une intrigue simpliste et linéaire dans laquelle le chat ne sert finalement pas à grand-chose si ce n'est à révéler au journaliste la surveillance dont il fait l'objet.

Et, j'éviterai de parler des scènes de beuveries qui, non seulement font un peu cliché pour des Bretons, mais qui, en plus, sont un peu lourdingues.

Au final, à partir d'une idée sympathique, Gérard Chevalier nous livre un récit policier qui n'a pas grand-chose de policier avec comme héros un chat qui sait écrire, philosopher, compter, expert en informatique, j'en passe et des meilleurs. Bon, léger et naïf.
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Si vous recherchez un roman policier réaliste, si pur vous tout doit être cartésien, si vous n'aimez pas les chats, passez votre chemin, cet ouvrage n'est définitivement pas pour vous.

Si vous aimez l'humour un peu décalé, si la façon dont les personnages évoluent au long de l'enquête prime sur la solution, si vous aimez la fantaisie, alors, ne boudez surtout pas votre plaisir, surtout si vous aimez les chats.

Un roman pas totalement original car l'utilisation d'un chat (Une chatte plutôt, pardon Catia !)comme personnage n'est pas nouvelle. Par contre, la façon dont l'auteur fait vivre cette chatte est plein de fraîcheur, de légèreté, d'humour. Au fil des lignes il nous entraîne auprès de cette chatte au caractère bien trempé... au caractère de chat.

Une délicieuse friandise.
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Un roman amusant avec une enquête policière très légère.
Toute l'histoire est basée sur la perception de la chatte Catia qui comprend tout, sait lire surtout de la philosophie et communique avec ses maîtres. J'ai dû mal avec les animaux qui parlent humain, c'est ce qui m'a fait moins apprécier l'histoire. Après c'est distrayant et humoristique.
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