La Vieille Roseraie : ainsi le livre aurait dû s'appeler (car il ne s'agit bien pas vraiment d'épines ici, comme dans une fable où il faudrait craindre la sorcière, ni même d'encre, comme celle des encres et estampes japonaises ou de Chine, des lettres françoises, mais bien de) : La Rose, la vraye, la seule, Unique et Véritable : dans toutes ses Formations, Transformations, Formes (Épiques et Dystopiques), Métamorphoses (Images, Franchises, Risves, Secrets), Forces et Vérités; Et toutes constellées : en images, dans les prés. À celà, rien ni nul besoin d'ajouter, car la Rose, noire, diurne est toute constellée.
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