Un père idéal

J'avais beaucoup aimé Un employé modèle et c'est avec une envie rassurante de passer un bon moment que j'ai entamé ce livre pendant un long vol de 12 heures.

Le départ est entraînant, mais très vite on se retrouve témoin de la lutte qui livre l'auteur contre lui-même. Il lutte pour nous livrer un livre aussi bon que son premier roman. Sa détermination et sa persévérance sont louables car il peine à planter le décor, les personnages sont lisses, les situations ubuesques, et les tentatives de nous enfermer dans un carcan psychique sont totalement infructueuses...

Du coup mon vol est long, très long, car je ne prends pas l'envol.

Dommage!

Deuxième livre de cet auteur que je termine et cette fois c'est une grosse déception ! Je ne retiendrai rien de cette lecture ... aucun intérêt sinon nous divertir un peu ^^ ce qui n'est déjà pas mal ... je vous l'accorde ! Mais je m'attendais à retomber dans cette ambiance anxiogène que j'ai ressenti à la lecture de nécrologie ... Un braquage de banque qui tourne mal. Edward perd sa femme et la voix du monstre à l'intérieur de lui se réveille ... L'écoutera t'il ? je vous laisse le découvrir mais il est temps pour moi de passer à autre chose !

intrigue abracadabrante et pas franchement passionnante... grosse déception par rapport à "Un employé modèle" du même auteur

Cet opus est mon 2e livre de Paul Cleave que j'avais plutôt bien apprécié avec Nécrologie.
Ici, le texte est un one-shot mais on retrouve quelques références à ses précédents ouvrages. Rassurez-vous, il se lit facilement sans avoir lu les précédents.

J'avoue ressortir assez mitigée de ma lecture car j'y ai noté de nombreuses incohérences qui m'ont un peu chiffonnée.
Le scénario est plutôt pas mal, quoique à la thématique assez classique (un homme perd sa femme dans un braquage et tout l'enjeu du livre tient dans sa potentielle vengeance) mais agrémentée d'une donnée supplémentaire : le père du personnage principal étant un tueur en série actuellement en prison.

Pas de retournement de situation extraordinaire mais quelques situations rocambolesques, parfois peut-être un peu too much, à la limite de l'éclat de rire tant les scènes sont "grosses". J'ai presque hésité à penser que ce roman était parfois une parodie de thrillers, avec un humour noir très british.
C'est dommage car, si j'adore l'humour noir, ici je pense que ce n'était pas vraiment la volonté de l'auteur, et éclater de rire en pleine tuerie, ça fait perdre le texte en crédibilité...
Par ailleurs, je ne l'ai pas trouvé assez page turner à mon goût, j'ai trouvé que le rythme était lent et que le texte s'essoufflait vite.

Un point positif tout de même : Paul Cleave se détache toujours dans le paysage littéraire des thrillers avec ses romans se passant en Nouvelle-Zélande (son pays).

Bref, un texte qui ne restera pas dans mes annales...

Malheureusement, une belle déception ! « Un père idéal » sonne comme « un employé modèle », mais avec les défauts en plus. Ou alors, l'effet de surprise passé, ici, on ne retient que les défauts. Paul Cleave ne change rien à son écriture, mais ici le roman sonne faux et ne tient pas la route. L'intrigue est fragile et les multiples rebondissements à la mords-moi-le noeud ne permettent pas de la solidifier. Pire, elle manque cruellement de crédibilité et il n'y a rien de pire pour un thriller de manquer de crédibilité.
Quant à l'écriture, elle manque cruellement de profondeur, de détails. Les personnages sont plats et quelconques. On ne s'identifie pas, on ne s'attache pas.
Bref, un thriller jetable pour moi ! Vite lu, vite expédié !

Lien : http://jldragon.over-blog.co..

Ayant adoré Un employé Modèle, c'est avec beaucoup d'enthousiasme que j'ai démarré Un père idéal.
Les deux titres sont faits sur le même modèle, les deux couvertures sont du même ton... Bref, je l'attendais depuis longtemps!
Mais déception réelle malheureusement. Même si certains aspects du personnage, qui sombre de plus en plus dans cette interminable chute vers le mal et le sang pourrait apporter quelque intérêt à l'ouvrage, moi j'en ressens surtout une accumulation non stop de pseudos malheurs/horreurs/drames et rien de plus.
Pour ce père idéal, c'est une descente aux enfers, (ou un retour aux sources, c'est selon), mais c'est tout.
J'aurais aimé plus de nuances et de subtilités dans l'histoire, mais cela ne retire rien, absolument rien, au don qu'a l'auteur, à raconter cette entrée en folie à la première personne.
En résumé, pas une perte de temps mais pas inoubliable et pas indispensable à mon goût.

On m'avait dit beaucoup de bien de ce livre, ne lésinant pas sur les compliments : « excellent », « addictif », « génial ».



J'ai été plus que déçue !!!

Même si l'idée de fond est très intéressante (l'instinct de sérial-killer est-il héréditaire ?), le développement qui en est fait est assez plat et manque d'originalité. Un histoire que j'ai l'impression d'avoir déjà lue 50 fois. (...)
Lien : http://www.lavisdedeidre.org..

C'est le premier livre de l'auteur que je lis, j'en ai d'autres dans ma pal.
C'est l'histoire d'Edward Hunter, comptable, mari, père d'une petite fille, qui perd sa femme tuée par des braqueurs de banque. Il n'a plus de famille, son père est un tueur en série de prostituées en prison depuis 20 ans et qu'il n'a jamais revu.
Et bien, notre petit Edward souhaite se venger des tueurs de son épouse.
Et là, ça part en vrille, autant c'est ennuyant par moment, autant c'est too much par d'autres et donc pas crédible.
En conclusion, je n'ai pas aimé ce livre mais je lirai ses autres livres qui sont dans ma pal pour ne pas rester sur cet avis

Paul Cleave m'avait séduit avec son premier roman noir saupoudré d'un humour corrosif : un employé modèle.

C'est donc avec un enthousiasme prononcé que je me suis mis à la tâche...
Perdu... C'est too much! Noir c 'est bien mais la c'est l'overdose : le narrateur découvre à neuf ans que le hobby de son père est de zigouiller des prostituées. Après son arrestation, sa mère va se suicider et sa soeur va mourir d'une overdose après avoir fait le trottoir pour subvenir à ses besoins. Tout pourrait s'arrêter la si 20 ans plus tard, la femme de notre héros ne se faisait pas abattre lors d'un braquage d'une banque... Cher lecteur, nous ne sommes qu'à la trentième page de ce livre qui en compte 400 et la descente aux enfers ne fait que commencer...

Un peu de mesure aurait été souhaitable, les rebondissements sont tous prévisibles et on ne s'attache à aucun personnage...

J'aurais pour ma part préféré qu'il prenne totalement le contre pied de son premier roman plutôt que de pousser cet exercice de style à son paroxysme.

Dans le style roman sombre je préfère de loin la route ou sukkawn Island (d'ailleurs on retrouve quelques similitudes avec cet ouvrage). Il n'y aura pas de troisième tome pour moi!

Déçue... Je n'avais pas lu son précédent roman, mais je me suis laissée tenter par le sujet qui me semblait assez original. Quelle déception! Je me suis ennuyée ferme la première moitié du livre, et même si la seconde moitié était bien meilleure, le mal était fait - si l'on peut dire! Puis, il faut reconnaître que j'ai été gênée par la sensation que l'auteur avait écrit son livre en vue d'une adaptation cinématographique plutôt que comme une fin en soi (exemple: la description de la scène où Hunter se fait attaquer par les deux voyous, scène classique de films d'action). Dommage...