La fonction première de ce roman est de raconter une histoire fictive, celle d'Emma, pour servir de devoir de mémoire quant aux événements de la Seconde Guerre mondiale. « C'est un livre sur l'après, sur la mémoire, écrit Jean Molla dans la postface de Sobibor, où la petite histoire croise les chemins de la grande. » Évoquant la fonction de la littérature, l'auteur affirme : « Nous sommes condamnés à nous interroger. »
L'édition scolaire qui a servi d...
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