Artemis Fowl, tome 7 : Le complexe d'Atlantis

Il descendit de son Ski-Doo avec la raideur d'un cow-boy dont le cheval serait mort et qui aurait été obligé de conduire son troupeau pendant trois jours en montant la plus grosse de ses vaches.

Par exemple: "cinq c'est l'allégresse, quatre j'ai mal aux fesses"

De temps en temps, il m'envoie des messages d'insultes. Je lui renvoie des petites vidéo qui me montrent en train de rire. Ça le rend fou.

Il fut un temps où Artemis voyait des choses que nul autre pouvait percevoir, mais à présent, il voit des choses qui n'existent pas...

Il descendit de son ski-doo avec la raideur d'un cow-boy dont le cheval serait mort et qui aurait été obligé de conduire son troupeau pendant trois jours en montant la plus grosse de ses vaches.

« - Il vaudrait mieux pour vous que ce ne soit pas un jeu, Artemis. Si vous ne souffrez pas d'une véritable psychose, vous allez le regretter.
- Oh, je suis fou, c'est vrai. J'ai de nombreuses psychoses, dit joyeusement Orion. Trouble de la personnalité multiple, démence délirante, trouble obsessionnel compulsif. Je les ai toutes mais, surtout, je suis fou de vous.
- C'est une assez bonne réplique, marmonna Foaly. Il n'y a aucun doute, ce n'est pas Artemis... »

Avoir quelqu'un qui vous parle directement dans l'oreille est déjà agaçant en temps normal, mais quand cette personne déverse un flot de niaiseries romantiques pendant que le détenteur de l'oreille se débat avec les commandes d'une capsule de vingt ans d'âge lancée à pleine vitesse, cela devient plus qu'agaçant - c'est tout simplement dangereux.

Le peintre fit une chute de trente mètres et atterrit sur le dos de son frère. Les deux frères avaient déjà tendance à se disputer et cet épisode inattendu n'arrangea rien.

_On pourra se moquer de vous plus tard ? demanda Mulch. J'ai beaucoup de matière.
_Plus tard, répondit Artemis.

peut-être même à établir une sorte de camp