La dernière guerre, tome 1 : 49 jours

Je résume : du fantastique, de la fantasy, de la SF, Fabrice Colin nous concocte ici un mix addictif, un roman prenant, fluide et plein d'imagination. J'ai hâte de lire la suite, surtout vu le joli Cliffhanger de fin ! (Il y a même du post-apo, que demande le peuple ?)

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Je me suis arrêtée à la moitié du roman. Il n'était pas spécialement mauvais, mais il n'avait rien non plus pour m'inciter à poursuivre ma lecture. Les personnages ne sont vraiment pas attachants et franchement, l'intrigue de départ n'est pas assez solide pour tenir l'intérêt du lecteur bien longtemps. du même auteur, j'ai nettement préféré Bal de givre à New York.

Loin d'être le meilleur ouvrage de Fabrice Colin, "49 jours" est tout de même un sacré bouquin.
Les idées - comme toujours- sont excellentes, l'univers est beau, riche et original.

Néanmoins, on constate un certain manque de cohérence. L'intrigue est complexe ce qui est bien, mais pas toujours parfaitement maitrisée et certaines incohérences gènent un peu le récit.
Le héros est aussi un peu plat. Enfin, il est sympathique mais pas viscéralement attachant. C'est d'ailleurs le cas de la plupart des personnages. Intéressants sans être intenses.

"49 jours" reste cependant une intrigue très prenante qu'il est difficile de lâcher une fois qu'on y est plongé. Et le style encore une fois est impeccable. Les images, les mots, sont sublimes.
Très bon moment en somme. J'attends la suite.

Je m'attendais à une réflexion métaphysique sur la difficulté de choisir, or l'histoire est tout autre ! J'ai poursuivi par curiosité, car un roman imaginant le quotidien des défunts, c'est rare et original. Mais au fil de la lecture, la perspective d'un conflit paraissait de plus en plus inévitable, tant dans l'Intermonde que sur Terre (déjà grandement anéantie) et je ne raffole pas de ce genre de développement. Déjà que je ne la trouvais pas au début du roman, mais alors on perd aussi complètement l'idée « mais ce choix n'implique pas que moi » (4e de couverture). Bref, plus rien ne retenait le livre entre mes mains.

C'est mon premier livre de fantasy, un genre sur lequel j'avais des a priori plutôt négatifs. Et pourtant, j'ai accroché dès les premières pages ! L'auteur nous conte une belle histoire, dans un monde situé quelque part entre la fin de la vie terrestre et l'au-delà. Il nous tient en haleine par des rebondissements réguliers et son phrasé est assez agréable à lire. Dès que mon emploi du temps me le permet, je dévore le second tome !

Un livre qui n'a pas été à la hauteur de mes espérances.

Le début de l'histoire m'a accroché tout de suite. Floryan meurt dans un attentat et il arrive dans un univers mystérieux. J'ai beaucoup aimé la découverte de l'endroit qui m'avait l'air très beau et prometteur, mais l'auteur ne s'attarde pas. L'être qui vient à sa rencontre, Elohim, est merveilleux et je me suis dit que j'allais passer un moment fantastique et intriguant.

Mes attentes n'ont pas été comblé. Elohim n'a été qu'un passages et je me suis ennuyée. Floryan découvre l'univers et des autres personnages. J'ai l'impression de piétiné, de ne pas avancer. Il me manquait peut-être ( surement !) du rythme. Les découvertes du jeune garçon, ne m'en met pas plein les yeux. Je les ai même trouvé assez logique et sans surprise. Il me manque le petit plus qui m'émerveille.

Les personnages ne m'ont pas plu, non plus. Scarlett, la toute nouvelle copine de Floryan, est profiteuse, superficiel et je ne l'aime pas du tout. Je l'ai trouvé sans intérêt. Les personnages n'ont rien à lui envier, ils sont tous dans le même goût : cachottiers et dissimulateurs viennent en plus noircir le tableau. L'histoire avance très lentement et je n'ai pas réussi a percer tous leurs mystères.

Finalement, une lecture qui traîne en longueur et qui me déplaît fortement. Je ne prends pas plaisir à lire ce livre que j'abandonne très vite.
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Incertaine.

Si je quitte ce roman incertaine c'est en grande partie parce que le tome 1 m'a fascinée, captivée et que je reste incertaine quant au devenir de cette saga.

D'une manière générale :
- La couverture est sympathique.
- L'écriture fluide.
- le langage courant.
- L'enchaînement des actions cohérentes.
- le rythme soutenu mais agréable.
- En revanche après lecture je m'interroge sur le résumé en 4ème de couverture que je trouve quelque peu à côté de la plaque !

Le contenu :
- Ce roman déborde d'énergie, d'idée, et c'est une réussite.
- Si durant les premiers chapitres j'ai découvert un Floryan imbu de lui et immature, au fil des pages l'homme se révèle et l'auteur réussie remarquablement cette transition.
- L'intrigue est complexe, multiple mais exécuté avec brio. Rien n'est fige et l'auteur à le grand mérite de répondre aux therories qu'il sème.

En bref :

J'ai passé un excellent moment et espère que le tome 2 sera à la hauteur de mes espérances.

Je recommande ce livre.

Bonne lecture à tous.

Je reste encore abasourdi de ma lecture de ce roman. Avant toute chose, si vous avez été conquis par le résumé, sachez que le contenu est encore plus énorme ! Encore plus grandiose ! Je n'aurais pu imaginer une telle histoire, cela va être difficile de vous montrer à quel point j'ai adoré ce livre sans rien vous spoiler.

Avec sa plume, Fabrice Colin fait ce qu'il veut de nous. Son style d'écriture est simple et efficace mais son talent réside surtout dans le le fait qu'il jongle entre les passages lents et les passages très rythmés avec une efficacité déconcertante. Il m'a fallu 4 jours pour finir ce premier tome, mais que ce fut dur de travailler la journée ! Cette histoire était ancrée en moi, je ne pouvais pas m'empêcher d'y penser. Je voulais connaître la suite, je le devais ! Tout le long de ma lecture, j'étais à la place du héros. Je ressentais les mêmes sentiments que lui: impatience, amour intense, illumination ou encore impuissance… Des sentiments très forts mais incroyablement réels. Comme si j'étais frappé par une évidence, je devais finir ce livre, je devais connaître la suite des événements. Je n'ai jamais ressenti cela pour un livre.

L'histoire commence directement par la mort de Floryan, le héros. On est tout de suite dans le bain et on va de révélations en révélations. Les chapitres sont courts et s'enchaînent rapidement, la description n'est pas très présente, les rares éléments descriptifs sont vus à travers les yeux de Floryan le narrateur et c'est très réussi dans le sens où l'on découvre tout en même temps que lui.

Floryan est un jeune de nos jours, il vit sa vie un peu égoïstement, mais la mort lui offre une seconde chance et lui ouvre les yeux. A travers ses yeux, Fabrice Colin nous offre une vision de la vie après la mort originale et de nombreuses questions sur le temps en général mais aussi sur les passé, le présent le futur…

Si vous étiez à la place de Floryan que feriez vous ? Resteriez vous la même personne ? Deviendriez vous meilleur ? 49 jours est un énorme coup de coeur pour moi, et je me maudis de ne pas l'avoir découvert plus tôt ! Je recommande absolument cet ouvrage.
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En lisant ce succulent résumé, je ne m'attendais pas du tout à ça. C'est fou comme notre cerveau est capable de s'imaginer des choses en ne lisant que quelques mots d'un résumé. de suite je peux le dire, cette lecture n'est pas un coup de coeur, mais j'ai tout de même beaucoup apprécier voire adorer plonger dans cet univers tout nouveau pour moi.

Je ne pourrais pas vous en dire beaucoup, car le plus petit des détails se révèle être un spoil, et le spoil c'est mal. Fabrice Colin, auteur que je ne connaissais pas avant de lire ce livre, sait manier la langue Française pour crée des suspens de folie. le narrateur est Floryan, un jeune homme de 2012. Pas de suspens sur son cas : il meurt dès le début. Mais son histoire va se dérouler au-delà de cette mort si brutale.

On débarque – en même temps que Floryan – dans un pays totalement étrange, sorti tout droit d'un roman à la Tolkien. Très féérique, rien que dans les descriptions très succinctes du romancier. Nous sommes les yeux de Floryan. On s'adapte à sa nouvelle vie en même temps que lui. Il faut se mettre à sa place : une « vie » après la mort, il y de quoi se poser des questions ? C'est irréel et pourtant, Floryan a cette chance.

Ma curiosité est très vite piquée au vif. Dès les premières pages, je n'ai pas pu me défaire de l'histoire. Je voulais toujours en savoir plus. le style d'écriture de Fabrice Colin m'a envoutée, me happais sans fin. La fin de chaque chapitre appelle à lire directement la suite. Si bien qu'il m'était difficile de lâcher ce pavé. Un univers créé de toute part, l'auteur sait comment tenir ses lecteurs en haleine.

L'épilogue me laisse dubitative, extrêmement curieuse, en quête de réponses. Bien que ce genre littéraire ne soit pas ma tasse de thé, j'aime découvrir d'autres choses. Et cette lecture en fait partie. Je m'attèle donc à la lecture du tome 2, espérant y trouver les réponses que j'attends.

En conclusion, si vous êtes féru de SF, d'univers irréel, cette lecture est pour vous. Un style d'écriture parfait, maniant la langue avec justesse. Fabrice Colin a réussi me tenir en haleine.
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Floryan meurt dans un attentat à la bombe dans un métro parisien et se retrouve dans une sorte de pays magnifique où un "ange" (Elohim) lui donne 49 jours pour choisir entre le Royaume et le Nihil. Floryan peine à se faire à sa nouvelle condition mais il rencontre alors d'autres personnes qui se sont réfugiées dans une sorte de petit paradis pour ne pas avoir à choisir...

Passé le tout début du roman, assez "banal" (l'ange, le paradis, l'enfer, rien de bien nouveau sous le soleil), je me suis bien laissée embarquer par l'aventure de Floryan qui découvre qu'il peut voyager dans le passé. Fabrice Colin a une imagination débordante qui nous entraîne dans un pays aux possibilités infinies mais j'ai néanmoins ressenti une sorte d'ennui dans le dernier tiers du livre. Peut-être que trop d'imagination m'a déboussolée... C'est un peu dommage car ce roman est bien écrit et vraiment plein d'idées. Une suite est attendue, qui peut se révéler intéressante car la fin de ce volume est assez bien fichue. A voir...