Passeurs de mort

J'adore Fabrice Colin. Qu'il écrive une saga familiale pour ados avec les Mendelson, qu'il nous offre un livre plus intimiste avec La Poupée de Kafka ou qu'il parte dans un délire avec Radiohead avec Big Fan. Je suis une inconditionnelle. Je suis loin d'avoir lu beaucoup de chose de lui mais j'essaie de rattraper mon retard dès que je peux. C'est comme ça que j'ai eu envie de lire Passeurs de mort.

Le personnage d'Angel est très sympathique, elle va de l'avant, prend des initiatives et malgré la peur qu'elle peut ressentir elle n'hésite pas à foncer droit dans les ennuis.
Et il y a ce petit truc en plus qui m'a fait sourire, le fait que son Gimini Cricket soit représenté par le personnage de Jack – Est-ce qu'Angel était prédestinée à rencontrer la mort ?

L'histoire tient plutôt bien la route : cette multinationale de la mort, ces registres, ces agents de terrain, une famille désignée par la mort elle-même avec des capacités hors du commun pour tout superviser, c'est plutôt bien trouvé.

Petit bémol, c'est un peu dommage que dans le roman on ne s'attarde pas un peu plus sur ce côté fantastique. Il y a pas mal d'idées mais sur certains points je suis restée sur ma faim. J'aurai aimé en savoir un peu plus sur tous ces mystères.

Concernant le style, c'est vif et direct.
Dès le 1er chapitre l'écriture à la 1ère personne nous interpelle et on n'a plus qu'une envie tourner les pages et tourner les pages pour savoir comment l'histoire va se dérouler.

J'ai passé un très bon moment avec ce livre. Roman d'aventure, roman initiatique d'une certaine manière, roman policier à vous de choisir …..

J'ai hâte de me replonger dans un nouveau Fabrice Colin.
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À la mort de son oncle, Angel reçoit un héritage un peu particulier : un manuscrit et de drôles de lunettes. Pour en comprendre le fonctionnement, la jeune fille doit se rendre à l'hôpital où son oncle était soigné. Un infirmier, Nabir, pourra l'aider. Munie des lunettes, Angel comprend qu'elle peut voir les personnes accompagnant les défunts vers l'au-delà.

Désireuse d'en savoir plus, elle se lance dans des recherches et croise alors le chemin de la famille Cooper : des pouvoirs étranges, une atmosphère pesante, de lourds secrets familiaux, ... Voilà Angel plongée dans une aventure fantastique qu'elle n'aurait jamais pu imaginer ! Elle qui rêve pourtant d'intégrer une fac de littérature...

Munie des lunettes de son oncle, Angel et, avec elle Fabrice Colin, nous entraîne dans une équipée hors du commun : là voilà dotée d'un étrange pouvoir ! En même temps, elle se place sans le savoir au centre d'une histoire de famille compliquée et plutôt périlleuse.

Dès lors, le rythme s'accélère, les événements s'enchaînent, ... mais Angel persiste : elle se rend bien compte des risques, de sa situation face à sa propre famille, à ses employeurs mais veut à tout prix mener à terme cette aventure. C'est une battante, elle se sent liée à son oncle et refuse de renoncer.


Avec cette héroïne tenace, Fabrice Colin nous offre une lecture captivante, tout en action et en rebondissements, dans un univers soigneusement construit.
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Une lecture jeunesse qui n'est pas parvenu à me toucher. La plume est fluide et permet de s'immerger totalement dans l'ambiance du récit, cependant les longueurs ont un peu gâché ma découverte. Je pense que je tenterai à nouveau de lire un ouvrage de cet auteur mais je suis passée à côté de celui-ci...
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A la mort de son oncle, Angel reçoit un bien étrange héritage : une paire de lunettes de soleil. Mais comme le tonton était un scientifique un brin fantasque, Angel se doute bien que ces lunettes sont un brin spéciales. En effet, la jeune fille ne va pas tarder à découvrir que grâce à un bouton on/off située sur la monture, elle peut assister au passage de la vie à la mort. Un fonctionnaire tout de gris vêtu vient chercher l'âme du mourant/mort. Après moult péripéties, Angel se rend compte que cette opération est gérée par une entreprise, Chronos Inc, elle-même dirigée par une famille désignée par la Mort en personne. Avec bien sûr extra pouvoirs à la clé. Mais dans la famille, je demande la brebis galeuse, qui détient la clé de l'Immortalité, avec tous les dangers que cela occasionne. Dès lors, une course poursuite s'engage pour empêcher Melvil d'agir.

Quand on lit un roman de Fabrice Colin, la première question qu'on se pose, c'est "Mais où va-t-il chercher tout ça ???". Mais on ne se la pose pas très longtemps, car on est happé par l'histoire et les personnages avant même la page 10. Quoi, même la Mort est une "big corporation" ? Même quand on choisit le suicide, c'était prévu ? Pas de libre-arbitre, alors ? Donc voilà, un roman idéal pour les YA ! Ca va à 100 à l'heure, en laissant le temps de réfléchir au Pourquoi du Comment du Parce que. Des personnages au caractère bien trempé, au double visage aussi. Plus, une réflexion sur le rôle de l'écrivain, témoin d'une réalité irréelle, et qui offre son expérience à autrui via une oeuvre de "fiction" (aussi présente dans "Blue Jay Way"). Bref, ça se dévore.La preuve, je l'ai lu en trois jours, à la plage, alors que je ne lis quasiment JAMAIS à la plage (trop occupée à taper la discute avec ma famille ou à marcher dans l'eau).

Lors de la mort de son oncle, Angel 17 ans, se rend à New York pour son enterrement et se fait remettre un étrange paquet accompagné d'une lettre par son exécuteur testamentaire. Dans le colis une paire de lunettes qui vont lui permettre de voir l'âme des morts juste décédés et leur passeur.
Elle va se retrouver embarquée, par son oncle mais aussi à cause de sa curiosité et de son envie d'aventure, dans une histoire qui la dépasse. Elle frôle la mort plusieurs fois, c'est le cas de le dire...
Il y a beaucoup de mystères dans cette histoire et de nombreuses péripéties. Les personnages sont assez fouillés, comme toujours avec l'auteur. On a envie de comprendre le fin mot cette histoire originale et inventive. Malgré tout quelque chose ne prend pas complètement, même si je n'ai pas réussi à trouver quoi

Une histoire aussi fantasque que la couverture qui la représente. Si elle se laisse lire très facilement et si son thème est assez original, elle part tout de même d'une manière très bizarre, trop loufoque pour moi. Je suis une grande fan de fantastique, mais là, je n'ai pas trouvé l'ancrage dans le réel que je trouve nécessaire. Plus on avance dans la lecture plus ça part en live.

J'ai fini par abandonner ma lecture et ses personnages auxquels je n'ai pas plus accroché non plus...
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Une histoire sympathique, gentille mais qui ne restera pas en tête.Les personnages manquent de densité pour s'y attacher totalement et l'histoire est par moment un peu brouillonne. Un roman plus destiné à de jeunes ados.

Une couverture très explicite où l'on retrouve les fameuses lunettes rouges, l'oeil écarquillé de surprise que l'on suppose être celui de Angel et l'électrocardiogramme qui fini à l'horizontale.

Les titres aussi sont soulignés avec ce motif de fin de vie, joli effet.

Une histoire surprenante dont je ne voyais pas la finalité ce qui a maintenu mon attention.

Très vite nous avons des explications sur cette drôle d'expérience menée par le tonton. Donc ce n'est pas pour tester ces lunettes que la jeune fille est embarquée dans cette aventure. Alors j'ai commencé à m'interroger : est-ce que la mort du tonton est naturelle ? Cherche t-il a revenir d'entre les morts ? Veut-il communiquer avec sa nièce depuis l'au-delà ?

Ce roman est aussi un voyage initiatique pour Angel. La jeune fille va passer des étapes décisives et devenir adulte, faire des choix…Va-t-elle y parvenir ? Va-t-elle connaître la fin du chemin ? Est-ce le but de ce récit ? Elle va flirter avec la mort c'est tout ce que je peux dire…

Les personnages ont tous quelque chose de singulier pour ne pas dire très étranges, ils m'ont bien plus pour la plupart justement pour leur côté atypique.

Le mystère sous forme de chasse au trésor, grâce aux lettres savamment concoctées par l'oncle m'ont un peu laissé sur ma faim. Elles dévoilent beaucoup de choses.
J'ai préféré lorsque le récit bascule et nous en traîne à la suite des personnages dans des intrigues où la suspicion change les données. Qui pourchasse qui et pourquoi ?

Ce roman jeunesse se lit assez vite et le petit côté fantastique donne une autre dimension à l'intrigue. J'ai bien aimé mais je pense que je vais explorer dans la vaste bibliographie de Fabrice Colin...
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http://livressedeslivres.wordpress.com/2014/04/18/passeurs-de-mort-fabrice-colin/
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Et si la mort était la production d'une firme secrète et gigantesque ? Si chaque individu possédait quelque part un dossier sur lequel figureraient la date et le lieu de son décès ? « Impossible ! » diront les esprits rationnels. Alors chaussez vos lunettes rouges pour découvrir une dimension mortellement terrifiante !

Fabrice Colin, l'auteur à la plume virtuose et insatiable, développe un monde parallèle au nôtre, dans lequel évoluent les Narconautes, invisibles à l'oeil nu, mais bel et bien présents auprès des mourants. Leur but ? Accompagner les âmes des défunts vers l'Au-delà. Ici, pas de tunnel ni de lumière, non, seulement un agent en costume gris qui sort son téléphone lorsque vous poussez votre dernier soupir, et vous donne ensuite les instructions nécessaires à votre passage vers l'Ailleurs. Ce fonctionnement nécessite un nombre conséquent d'employés, puisque l'on considère que près de 180 000 personnes meurent chaque jour.

Comment et pourquoi Angel Crawford, du haut de ses dix-sept ans (mais pourtant encore très attachée à la voix imaginaire de sa conscience – qui se manifeste à travers Jack, un porte-clés à l'effigie du personnage issu de L'Étrange Noël de Monsieur Jack), a-t-elle été mêlée à cette incroyable découverte ? En faisant preuve d'indiscrétion et d'audace, certes, mais surtout en recevant un curieux héritage de son oncle George : une paire de lunettes rouges permettant de voir « l'Intervalle », cette dimension dans laquelle les Narconautes accomplissent leur mission. Il n'en faut guère plus pour que l'adolescente – en quête d'inspiration et de sensations fortes pour le roman qu'elle rêve d'écrire – se lance à corps perdu dans une quête insensée.

L'héroïne quitte rapidement le cocon familial pour mener sa propre enquête, et on s'étonne parfois de la liberté que ses parents lui octroient, alors même qu'elle n'est pas majeure. L'histoire se déroule sur le continent américain, aussi le fait que la jeune fille soit en droit de conduire un véhicule par exemple, peut-il se justifier. En revanche, certains éléments semblent convenus, ou trop faciles : Angel n'a aucune difficulté à se faire embaucher comme jeune fille au pair (sans aucune expérience, ou peu au vu de son jeune âge, en une demi-journée elle croule déjà presque sous les propositions !). le premier tiers du roman ne m'a pas semblé addictif, cependant la suite des événements fait monter le suspense, et dès lors qu'on en découvre davantage sur la mystérieuse famille Cooper, Passeurs de mort devient un page-turner.

Entre récit fantastique et thriller, Fabrice Colin ancre néanmoins son histoire dans le monde contemporain : les héros ne sortent jamais sans leur Smartphone, s'arrêtent régulièrement dans des McDonald's et Starbucks, et les références littéraires et cinématographiques ne manquent pas ! Les ados s'y retrouveront donc aisément, et les jeunes adultes aussi ! ;-)
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