Allumer le chat

Barbara Constantine m'a plongé au coeur d'une histoire de famille ou les protagonistes se croisent et se mélangent. Les personnages sont une fois de plus attachants, chacun au caractère bien trempé. Ils vivent tous des événements tragiques et loufoques, racontés avec beaucoup d'humour, qui m'ont à la fois fait sourire et émue.



L'auteur nous dépeint des tranches de vie parfois très sombres, mais sa plume lui permet de donner même aux sujets les plus dures une note de légèreté et de dérision.

C'est ce que j'aime chez elle, sa façon d'aborder des choses de la vie avec à la fois un recul teinté d'humour mais une grande lucidité à faire froid dans le dos. de plus, les chapitres sont très courts, passant d'un personnage à un autre, ce qui adonné beaucoup de rythme à ma lecture.



L'histoire est simple, mais aussi tiré par les cheveux parfois, car les personnages sont amenés à se croiser dans des circonstances parfois incroyables. Mais je pense que c'est là le style de l'auteur, sa marque de fabrique, j'ai reconnue la même trame que dans son livre "A Mélie sans mélo", ce même vocabulaire parfois familier.



Un roman à la fois divertissant et très drôle, mais qui traîte tout de même de sujets durs comme la mort et le deuil, la violence, l'abandon... Un style totalement décalé qui permet d'aborder le tout avec beaucoup de légèreté mais une grande lucidité.
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Des 4 romans de Barbara Constantine, je pense que c'est celui qui m'a le moins plu, attention c'est tout de même un réel plaisirs de lire cette femme.
L'histoire est très agréable, et se lit facilement. les personnages sont extras et terriblement attachants. J'ai juste un peu tiqué sur certains passages grossiers.

Allumer le chat donc mais pourquoi ce titre ? «Allumer quelqu'un» voulait dire l'aguicher mais maintenant ce serait plutôt le critiquer, l'attaquer violemment. Ici, c'est le bon et brave mais très bourru grand-père Raymond qui veut sans cesse tirer avec son fusil sur le chat Bastos parce qu'il semble le narguer, qu'il le trouve pédant et suffisant et c'est vrai qu'il est malin ce chat et qu'il ne se laisse jamais avoir !
Allumés d'ailleurs, ils le sont tous dans cette famille.
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"Allumer le chat" est un roman de personnages, tous plus ou moins liés.

Raymond et Mine sont les grands-parents de Rémi qui est le fils de Josette et Martial qui est l'amant de Edith qui devient la maîtresse de Josette...et toute une série de personnages hauts en couleur!

Chacun raconte un morceau de l'histoire, des morceaux de vies reliées les unes aux autres, une histoire qui est un enchaînement d'événements anodins et cocasses et d'événements dramatiques et sérieux.

Le roman est à la fois drôle et loufoque, dramatique et émouvant. La quatrième de couverture cite Daniel Picouly : "Bonne nouvelle! Les Deschiens ont fait un enfant à Queneau. [...]"


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Court roman sans autre prétention que de divertir, Allumer le chat se lit d'une traite, tout comme il finira sans doute, tout aussi rapidement aux oubliettes...

On suit les "aventures" loufoques et totalement déjantées  d'une famille et de son voisinage. On y découvre des trahisons, des morts, des retrouvailles, des reversements de situations rocambolesques, sans queue ni tête, qui provoquent quelques sourires tout au plus.

Des personnages attachants et hauts en couleurs, qui m'auront procuré une lecture assez divertissante au final, mais qui ne me laisseront pas un souvenir impérissable.

Fortement conseillé, j'ai donc emprunté "Allumer le chat" de Barbara Constantine".
Un style bien particulier qui m'a surprise et quelque peu désarçonnée au début. Un fil conducteur et une galerie de portraits, on passe de l'un à l'autre, du suivant au précédent....mais on finit par s'habituer et une fois, le train prit en route, c'est un défilé de personnages haut en couleur avec des liens de famille, de voisinage. Chacun a son histoire et pourtant ces histoires se regroupent. Un village bien du terroir avec tous les éléments qu'il faut : des commérages, des histoires, des secrets, de l'amour, de la tendresse ; de la colère, du drame, de l'humour, du sexe ...le tout sous écriture fluide et sans tabou.
Hormis, ce style "haché" ce roman se lit facilement et rapidement.
En revanche, même si le chat Bastos a son histoire et que j'en conviens, il réchappe aux plombs de Raymond, je n'ai toujours pas compris pourquoi il a les honneurs avec ce titre.

C'est l'histoire de grands parents, d'un petit fils, d'une femme malheureuse en couple, d'un con, d'une célibataire qui couche avec le mari de sa meilleure ami, d'une fratrie, d'un cantonnier.... Un livre où des tas de voix de personnages colorés se mélangent. Un fouilli très joli.
Comme tous les Barbara Constantine, ça ne prétend pas changer le monde, ça décrit juste la vie de gens ordinaires à qui il arrive des choses un peu moins ordinaires. le mot clé, c'est la vie. Ce sont toujours de jolies odes à la vie que Barbara Constantine écrit. Alors, pour lutter en quelques heures contre la petite sensation de mal être de début d'hiver, ça se tente.

Livre choisit pour le chat en couverture ! Une lecture agréable sans prise de têtes : comme dans une série TV on passe de personnages en personnages avec des histoires qui se croisent parfois. Une petite dose d'humour, d'émotions et cela donne un livre divertissant.

Une tranche de vie quotidienne de plusieurs protagonistes. À vrai dire je ne sais même pas comment le résumé. le livre se mit vite mais j'étais très vite perdu : toutes les 3 pages, on change personnage principal. Si bien qu'on fini par ne plus savoir qui parle ou qui à fait quoi.

Pris pour le titre. Romantico-trash. C'est drôle, cousu de fils blancs et crade. Un bon moment, lu en fin d'été dans le hamac sous le sapin.