Sans toi , ô mon très cher ,.je ne serais qu'un cancre , qu'un crétin, si je vis c'est à toi que je le dois .
Pour m'encourager, il m'avait même fourni, un jour, un argument dont je lui étais reconnaissant. Il était propre à m'aider dans ma guerre contre la chair sauvage, victime de juvéniles instincts, condamnés par l'Eglise parce que bestiaux : "Vous qui êtes royaliste, n'oubliez jamais que si Mirabeau avait été chaste, la monarchie eût été sauvée !"