AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,06

sur 32 notes
5
4 avis
4
5 avis
3
2 avis
2
0 avis
1
0 avis
Époustouflant
Avant toute chose, merci à Alfaric et Gwen21 pour m'avoir fait découvrir cette série.


L'aigle de Sharpe, premier tome d'une série de 24 en VO dont seulement 6 sont traduits à l'heure actuelle, est aussi le premier roman de l'auteur.


S'agissant d'un roman d'action et de guerre sur fond historique, petite note : La bataille de Talavera de la reina s'est déroulée le 27 et le 28 juillet 1809 dans la province de Tolède, durant les guerres napoléoniennes d'Espagne. La quasi totalité des faits relatés dans ce roman, comportement des forces espagnoles, déroulement des combats sont exacts. Même si Sharpe et son bataillon sont évidemment des éléments de fiction, ils auraient pu exister.


Le lieutenant Sharpe a 32 ans, dont 16 passés sur les champs de bataille. Il est issus du rang, chose assez rare dans les armées de sa majesté. Confronté à un colonel aussi incompétent qu'ambitieux, il va devoir montrer toute sa valeur sur le champ de bataille pour échapper à la vindicte d'un supérieur revanchard.
Les servitudes de la guerre font qu'avant d'être français, les ennemis de Sharpe sont britanniques et pour qu'ils soient dangereux ils faut qu'ils soient ses supérieurs. On retrouve cette tendance dans la série des Bolitho de Kent, son pendant maritime.
Mais Sharpe est un pro, dangereux, efficace et charismatique. de l'admiration de ses hommes et de sa compétence il saura faire face et s'élever.


Je n'avais pas retrouvé cette engouement pour un roman d'action militaire depuis mon premier Bolitho et dans un autre registre mon premier Honor Harrington de Weber, si en plus on ajoute une pincée de Fantômes de Gaunt d'Abnett, et des héritiers de l'empire de Weber, on a Sharpe.
(Historiquement parlant : Bolitho (1968) (inspiré de H.Hornblower), Sharpe (1981), Weber (1993 et 1996), Abnett (1999))
Oui, on ne parle que de ce que l'on connaît bien et faire ces comparaisons peuvent paraître incongrues mais mon ordre de lecture m'y incite.


Le style est simple et terriblement efficace. L'action est omniprésente. Les détails de la vie quotidienne des soldats ajoutent du réalisme. Les descriptions des combats sont précises, tranchantes, sanglantes. Sharpe n'est pas lisse, même si ses forces l'emportent sur ses faiblesses.
Une lecture totalement addictive.


En un mot : Engagez-vous.
Commenter  J’apprécie          11222
Où l'on fait connaissance de Richard Sharpe, officier britannique du 95 d'Infanterie, et héros de 22 romans d'aventure du britannique Bernard Cornwell.
Homme de condition modeste, Sharpe a trouvé dans l'armée une nouvelle famille et s'illustre sur les champs de bataille, tant par son courage que par ses qualités de stratège et de meneur d'hommes.
Lucide, Sharpe ne se fait aucune illusion quant à ses possibilités d'avancement car il est dans l'impossibilité financière d'acheter une charge de capitaine. de plus, son franc parler et son sens de la justice lui causent des ennuis avec sa hiérarchie. Ainsi apparaît « el fusilero Sharpe », le rebelle au coeur noble et généreux.

En Espagne, l'écrivain Benito Pérez Galdós avait évoqué dans ses Episodes nationaux la Guerre d'Indépendance (Bailén, Gerona …) en mêlant personnages historiques et personnages de fiction.
La série des Sharpe nous permet de nous plonger dans la guerre du côté des Britanniques, et le moins que l'on puisse dire, c'est que dans ce premier roman, les Espagnols sont vaguement présents, mais jugés très incompétents. Quant aux Français, ils sont un ennemi sans visage, à battre coûte que coûte.
Nous sommes en juillet 1809, à la veille de la bataille de Talavera de la Reina, qui se déroule les 26 et 27 juillet près de la ville de Tolède et qui signera le désamour entre les Espagnols et leurs alliés britanniques.
L'enjeu de cette confrontation est de taille pour Sharpe qui doit laver son honneur et prendre sa revanche. Il rêve de s'emparer de l'aigle impériale, l'étendard de la Grande Armée protégée jusqu'à la mort par les Français.

Avec L'aigle de Sharpe, le lecteur vit son baptême du feu. Il s'entiche du fougueux lieutenant, fait connaissance de ses amis, déteste ses ennemis, suit ses mésaventures sentimentales avec une belle Portugaise inaccessible, et participe à la vie quotidienne d'une armée suivie d'une cohorte de civils (lingères, cantinières, prostituées, femmes de « confort», enfants…)
La série s'annonce prometteuse, savant mélange d'épique et de romanesque, où la description saisissante des batailles côtoie la romance la plus agréable. Quant aux libertés prises avec la grande histoire, Bernard Cornwell s'en explique en fin de volume. de toute façon, on s'en moque un peu, et on regrette même que Richard Sharpe ne soit qu'un personnage de fiction.
Commenter  J’apprécie          413
Mon Dieu, par où commencer !

Que dire, en vérité, d'un livre qui vous tient éveillée toute la nuit et d'un héros, Richard Sharpe, qui, tel un amant infatigable, va faire l'amour à votre imagination sans relâche, pendant des heures, et vous laisser totalement épuisée, heureuse et reconnaissante pour les moments intenses qu'il vient de vous faire vivre ?

Vous pensez peut-être que j'exagère, que j'en fais beaucoup ? A peine.
Car je suis tombée littéralement amoureuse du capitaine Sharpe et ce en quelques instants seulement. D'ailleurs, j'avoue n'être absolument pas pressée de m'en désamouracher.

Mais qui est donc le capitaine Sharpe ? Et bien, imaginez un excellent compromis entre William Wallace et Indiana Jones, ça y est, vous le visualisez ? Imaginez ensuite que ce soldat endurci de 32 ans a déjà seize ans de service derrière lui dans les armées de Sa Majesté le roi d'Angleterre et que présentement, à savoir en 1809, il est très occupé à repousser les forces impériales que Napoléon a envoyées en Espagne pour conforter son frère Joseph sur le trône hispanique qu'il lui a tout récemment octroyé. Imaginez un homme aussi compétent qu'ambitieux, un homme qui malgré la violence de son existence et une naissance obscure très éloignée des cercles de gentlemen, s'est construit son propre code de l'honneur au gré des affrontements et a su s'attacher l'estime et la confiance de sa compagnie jusqu'à l'abnégation, un homme qui ne recule devant aucune audace au combat (ni auprès des femmes) et nourrit la légitime espérance de voir son dévouement au duc de Wellington, le célèbre général en chef de l'armée britannique, récompensé par une glorieuse ascension sociale. Voilà, vous commencez à découvrir qui est Richard Sharpe.

Scènes de bataille flamboyantes, développement des stratégies politiques et militaires des belligérants, récits de la vie quotidienne des soldats, exaltation sans cliché (si, si, c'est possible, Richard Sharpe n'est pas un parangon de vertu, il fait aussi des choses pas très jolies) de l'esprit de cohésion d'un régiment, descriptions saisissantes des horreurs des champs de bataille, plongée en profondeur dans les méandres structurels complexes d'une des plus puissantes armées d'Europe où les intérêts personnels le disputent souvent au sentiment national... Il y a tout cela et bien plus entre les pages de ce magnifique roman d'aventures !

Après ma nuit blanche de lecture passionnée, happée par l'écriture efficace et très accessible de Bernard Cornwell, je me suis jetée sur Youtube pour visionner l'adaptation TV en VO, une série de seize épisodes ovationnée par le public britannique et qui a assuré une bonne part de sa notoriété à Sean Bean, parfait en tête d'affiche. Ma conquête était achevée...

En synthèse, vous comprendrez qu'après une nuit en compagnie de Richard Sharpe et un 15 août en compagnie de Sean Bean, je suis devenue une totale addicted ! Les autres tomes de ses aventures sont gentiment en train de rejoindre ma PAL, en VO ou en VF car, malheureusement, l'éditeur Nimrod n'a pour l'instant fait traduire que 6 opus sur les 24 existants.
Commenter  J’apprécie          3712
Les guerres Napoléoniennes vues côté anglais, comme si vous y étiez

Ce roman propose une passionnante immersion dans les combats terrestres lors des Guerres Napoléoniennes (ici au Portugal et en Espagne, en 1809), vues côté anglais. La reconstitution historique est solide, le côté militaire et aventureux prenant, les personnages attachants, les antagonistes délicieusement haïssables, l'écriture fluide, agréable et rythmée. Si vous aimez les grandes fresques historiques (le cycle compte… 24 tomes !) et que le tonnerre des canons, l'odeur de la poudre, le claquement des sabots de la cavalerie et l'aboiement des mousquets font battre plus vite votre coeur, voilà une lecture éminemment recommandable. Et elle l'est également si vous êtes un adepte de Flintlock Fantasy ayant la volonté de remonter aux sources littéraires du genre.

Retrouvez l'argumentaire complet sur mon blog (secondaire).
Lien : https://legrandbazardapophis..
Commenter  J’apprécie          203
La saga des « Sharpe » de Bernard Cornwell est la série phare de cet auteur considéré aujourd'hui comme l'un des plus grands écrivains anglais de romans historiques (il est entre autre l'auteur de « La saga du roi Arthur » et d'une autre série consacrée à l'Angleterre sous la domination saxonne au Moyen-Age). On découvre ici une Europe ravagée par la guerre et mettant à contribution toutes les forces disponibles pour contrer Napoléon et ses armées. Si d'autres grands romans historiques comme "Les aventures de Jack Aubrey" ou "Capitaine Hornblower" nous avaient déjà donné une vision de ce conflit par le biais de la marine anglaise de l'époque, B. Cornwell choisit ici le point de vue de l'infanterie. On suit ainsi le début des aventures du lieutenant Richard Sharpe et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elles ne manquent pas de piment!

Comme toujours dans les romans de B. Cornwell l'action est au rendez-vous et le rythme très soutenu. de même on retrouve sa rigueur et le sérieux de ses recherches tant « L'aigle de Sharpe » fourmille de détails sur cette fameuse campagne de Talavera (Espagne, 1809). L'utilisation d'un certain nombre de termes techniques liés à l'armement, aux manoeuvres des troupes ou aux stratégies martiales peut cependant ralentir quelque peu la lecture et noyer ceux qui seraient peu familiers de ce genre de considérations. Cela mis à part on suit avec intérêt le parcours de ce Richard Sharpe, personnage attachant, compétant mais un peu rebelle. A noter que ces romans ont fait l'objet d'une adaptation télévisée il y a quelques années déjà avec Sean Bean dans le rôle principal.
Commenter  J’apprécie          130
Tout d'abord merci à Fnitter, sa critique et ses citations qui m'ont permis de découvrir ce nouveau héro d'un genre que j'adore, le roman de guerre historique.
Tel un Hornblower, un Bolitho ou un Jack Aubrey, Richard Sharpe est soldat britannique combattant pendant les guerres napoléoniennes. Nous suivons la carrière d'un homme solitaire, sorti du rang et ne devant rien à personne, au prise avec les aléas de la guerre d'un coté et confronté à l'incompétence de ses pairs ou supérieurs de l'autre.
Le rythme soutenu, la précision des faits historiques relatés ainsi que le réalisme de combats produisent un effet boulimie. Et tel un drogué en attente de sa prochaine dose, me voilà, piaffant d'impatience, à attendre la livraison du prochain volume!! Une seule inquiétude : avoir terminé les 6 tomes déjà traduit en français avant que les 18 suivants ne le soient!!!
Commenter  J’apprécie          104
Merci à Gwen21 de m'avoir prêté ce premier tome d'une longue saga, dont le héros, Sharpe, a apparemment fait des ravages dans son coeur de lectrice. Hélas, il n'a pas chamboulé le mien, mais ce n'est point sa faute. Je resterai fidèle à un autre...

J'aime bien les romans historiques et les héros solitaires, ce livre me paraissait donc tout indiqué. L'histoire se situe durant les guerres napoléoniennes, plus précisément en 1809 à Talavera, Espagne.

Richard Sharpe est un ténébreux lieutenant dans l'Infanterie anglaise qui a la confiance des ses hommes et du duc de Wellington, rien que ça. C'est qu'il lui faudra du soutien pour résister à la perfidie et l'incompétence ,du colonel Simmerson, des troupes espagnoles et à la jalousie d'un autre officier, neveu du colonel.

Mis à part ces quelques péripéties, qui sentent le "déjà vu", le ton général est dominé par la guerre, D'horribles affrontements se transformant en boucheries. Et moi la guerre, je n'aime pas. Ou à petites doses.

C'est à dire que je souffre toujours du syndrome O'Brian. J'avoue.

Si on me dit : Angleterre, Napoléon, guerre, je pense, illico presto, à Aubrey et Mathurin. Sans eux, aucun autre roman n'a d'intérêt. Et Sharpe ne peut soutenir la comparaison avec mes deux héros favoris.

Il succombe un peu trop facilement à la gent féminine, manque de finesse et d'humour. Certes, ce jeune vétéran est un meneur d'hommes accompli, efficace et intelligent, redoutable combattant mais il n'a pas réussi à me séduire.

J'en suis bien désolée d'autant que l'on sent que Cornwell est un connaisseur de cette période. Mais le champ d'action restreint de ce roman m'a rebutée.

Ceci dit, je n'exclue pas de visionner la série tv avec Sean Bean, un acteur que j'apprécie particulièrement.

Et puis j'ai réalisé que mon tandem de marins me manquait. Je vais peut-être bien retourner à bord de la Surprise, tiens...

Allez Richard, sans rancune, je te rends à ta plus grande admiratrice, sans regrets...

PS : je n'avais jamais rien lu de Cornwell, même pas la saga du roi Arthur. Je devrai m'y coller. Peut-être.

second PS : Traduit par Franck Mirmont et adapté par Véronique Duthille. Qu'entend la maison d'édition par "adapté" ?

Lien : http://lectures-au-coin-du-f..
Commenter  J’apprécie          104
Le lieutenant Richard Sharpe est une perle rare, d'abord il sert dans le prestigieux 95e régiment de fusiliers, une unité d'élite. Ensuite et surtout, il fait partie de la poignée d'officiers de Sa Majesté Britannique sortis du rang. Un exploit à une époque ou les promotions s'achètent ! Hélas pour lui, il lui est impossible de s'élever plus haut, car si Richard Sharpe ne manque ni de courage ni de sens du commandement, la fortune lui fait défaut.
La chance aussi visiblement, car il se retrouve affecté au régiment du South Essex, commandé par le colonel Simmerson, un noble arrogant persuadé d'être un génie militaire...alors qu'il n'a jamais mis les pieds sur un champ de bataille. On ne peut pas faire plus opposés que ces deux personnages et entre eux l'hostilité est immédiate.

Lors d'une simple mission d'escorte, le régiment se retrouve attaqué et ne doit sa survie qu'a Sharpe. Mais le mal est fait, le South Essex a perdu son drapeau, capturé par les français. Pour les tuniques rouges c'est le déshonneur. Pour Sharpe c'est encore pire, car Simmerson lui fait porter la responsabilité de cet échec, ce qui pourrait bien signifier la fin de sa carrière militaire. La seule solution pour lui de laver son honneur serait d'accomplir une action d'éclat, un acte de bravoure. Si le régiment a perdu son drapeau Sharpe est bien décidé à lui en offrir un nouveau, et pas n'importe lequel car il ne vise rien de moins qu'une aigle du drapeau de la Grande Armée !

On suit donc Sharpe, sa bande de fusiliers et le reste du South Essex (plus précisément la compagnie légère du régiment) au quotidien pendant la campagne Talavera. On l'accompagne des champs de batailles au ruelles malfamées des villes de garnisons. Batailles, intrigues, romance, ce roman nous offre une belle dose d'aventure.

Le tout est porté par un sens du détail omniprésent ce qui renforce l'immersion. le rythme est bien dosé, les personnages attachants ou détestables selon les cas, mais surtout humains. Point à signaler, on évite tout manichéisme, ce qui est appréciable.
Enfin, la traduction est globalement de bonne facture même si l'on peut tiquer sur la traduction de quelques termes.

En bref une lecture dépaysante et divertissante qui ravira les amoureux de l'épopée napoléonienne...qui souhaitent découvrir l'envers du décor.
Commenter  J’apprécie          60
Merci à Gwen21 de m'avoir suggéré la lecture de ce livre. N'étant pas une admiratrice de Napoléon, j'ai reculé longtemps avant de me plonger dans cette horrible guerre. Et pourtant : combien d'heures de sommeil n'ai-je pas passées avec Sharpe ! Très beau livre et surtout très belle traduction.
Commenter  J’apprécie          42
Je ne connaissais pas encore Bernard Cornwell. https://fr.wikipedia.org/wiki/Bernard_Cornwell
Bernard Cornwell est né en Angleterre d'un père canadien et d'une mère anglaise. Son père était pilote et sa mère travaillait dans la Women's Auxiliary Air Force. Il est adopté par une famille d'Essex qui appartenait à une secte religieuse du nom de Peculiar People (« Les gens particuliers »). Ceux-ci avaient une très forte conviction morale contre la médecine conventionnelle ( 😊 ), l'alcool, et toute activité frivole.
Bernard Cornwell s'échappe par la suite pour aller à l'université de Londres, et devient professeur avant de rejoindre la BBC, où il a travaillé pendant dix ans.
L'Aigle de Sharpe, Sharpe's Eagle, 1981 est son 1er roman qui décrit la campagne de Talavera (Guerre d'Espagne) contre les troupes de Napoléon en juillet 1809.
Auteur prolifique il a écrit plusieurs cycles/séries e.a. « Les Histoires saxonnes » dont les romans ont été adaptés en une série intitulée The Last Kingdom et diffusée sur Netflix.
J'ai beaucoup aimé ce 1er opus. Mon 1er roman militaire (sur terre), ayant été fortement impressionné par l'excellente série de C.S. Forester « Capitaine Hornblower » (que je recommande vivement) qui reste pour moi jusqu'à présent le meilleur cycle de roman militaire de la marine à voile (devant O'Brian et d'autres).
Le livre : un excellent 1er roman de guerre napoléonienne.
L'auteur nous met assez rapidement dans le « bain » (de sang) à partir de la page 90. Avant cela, il présente le héros, le contexte et nous invite à nous attacher. Sharpe est courageux, il n'a peur de rien surtout pas des officiers.
Les phases de combat nous plongent dans l'action.
Le courage, les blessures, l'inconséquence de la ligne hiérarchique mais aussi l'intelligence de certains officiers.
La folie de la guerre, les mésententes avec les alliés,… lui permettent d'émailler son récit de quelques brins d'humour…
Efficace, rapide à lire, prenant. Sans prise de tête. Cohérent. Agréable.

Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (94) Voir plus



Quiz Voir plus

L'aigle de Sharpe - Bernard Cornwell

Le petit nom de Sharpe est ?

William
Richard
John

10 questions
9 lecteurs ont répondu
Thème : Les aventures de Sharpe, tome 1 : L'aigle de Sharpe de Bernard CornwellCréer un quiz sur ce livre

{* *}