Tout d'abord, je remercie Babelio, par le biais de Masse critique, ainsi que les éditions
Lucien Souny, de m'avoir fait offert ce roman, et par cette occasion de découvrir
Michel Cosem.
Je porte un avis très mitigé sur cette lecture. C'est une lecture fluide, poétique, mais mal cousue. Je n'ai pas su apprécier la façon de découper l'écrit. Ca part dans tous les sens, entre la propre histoire de Gabriel, de son héritage, ses balades, le chat etc, son écriture sur Simon de Montfort, sa relation avec les sculptures, sa rencontre avec Flamenca, la propre histoire de Flamenca, j'avoue avoir trouvé cela trop « TROP », voire même brouillon. Autre chose que je n'ai pas aimé : les répétitions : Il répète plusieurs fois les raisons de son héritage, de l'odeur de la peau de Flamenca, de la nymphe. On en ressent une espèce d'immobilité, rien ne bouge, tout est figé.
La seule chose que j'ai apprécié, c'est la description apaisante de Cantegrill.