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Rien qu'à la lecture du résumé, je savais que ça allait me plaire. de plus, ayant déjà découvert le style de l'auteur précédemment avec son dernier roman, 2050, j'étais particulièrement confiante. J'ai donc ouvert ce livre avec beaucoup d'attentes. Et je ne fut pas déçue.
J'y ai trouvé tout ce que promettait le résumé. Une Intelligence Artificielle créée par l'homme dans le but d'améliorer les choses est devenue totalement incontrôlable. Comme tout bon thriller, on a notre dose d'aventures, de violence, d'héroïsme et de dilemme éthique. Les personnages sont assez nombreux. J'avoue avoir eu parfois un peu de mal à tous les identifier correctement, mais l'histoire fini par emporter le lecteur et tout se remet en place rapidement.
J'ai retrouvé également ce style d'écriture très agréable, sans prétention. Les chapitres sont courts et contribuent au dynamisme du roman. On navigue d'un personnage à l'autre pour avoir plusieurs points de vue au sein de ce labyrinthe qui va vous rendre fou. Ça donne une histoire très visuelle qui, pour ma part, ferait un film que je serais curieuse de voir.
Encore une fois, je suis scotchée par l'imagination de l'auteur pour créer une histoire originale à partir de sujets très communs et surtout de problèmes très actuels. L'univers carcéral est ici au centre des préoccupations. Au-delà de la fiction, du roman d'anticipation, l'histoire pose une réflexion sur ce qu'on peut faire des peines de prison. Et comme dans 2050 qui traitait d'un tout autre sujet, j'ai aimé ne pas y voir quelque chose de binaire, mais plutôt quelque chose qui va chercher les avantages et les inconvénients de plusieurs solutions.
J'ai hâte de lire la suite.
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Lorsque j'ai commencé la lecture de ce livre, j'ai été quelque peu déstabilisé par le récit, celui-ci se plaçant in medias res. de plus, j'ai été surprise par les chapitres qui sont délimités par différents points de vue; à chaque chapitre on découvre la vision d'un nouveau personnage, celui-ci revenant dans les chapitres suivants. Ces points négatifs ont vites été balayés par l'histoire, me rendant captivé par la lecture.

En effet, on s'habitue très vite aux différents chapitres, contenant des points de vue différents. de plus, je trouve cela très bien pensée étant donné que les différentes visions de ces personnages nous apprends énormément de choses sur le récit, et rejoins le récit principal, vers la fin, avec le personnage principal d'Elena.

Par ailleurs, j'ai adoré le personnage d'Elena, même si parfois je n'étais pas en cohésion avec certaine de ses pensées ou certaine de ses actions. Néanmoins, elle reste un personnage emplie de force et de courage, que j'admire car je n'aurai pas pu faire le quart de ce qu'elle a pu faire! Ce que j'ai le plus aimé, c'est sa relation avec Lombardi où l'aboutissement de celle-ci nous tient en haleine durant le roman.

Au fur et à mesure de la lecture, on se rend compte de la connaissance grecque et latine, qui a été mise en place dans ce livre. On se rend compte du travail derrière ces pages qui défilent tout au long de la lecture. Par ailleurs, ce qui m'a éblouie, c'est la structure de l'oeuvre qui tient toujours la route. Je n'ai pas été déstabilisé par un élément qui sortait du contexte, au contraire chaque événement, chaque situation tenait la route et était très bien pensée. On pourrait avoir peur, lorsqu'on lit le résumé, car cela semble très technique avec notamment des sujets comme l'Intelligence Artificielle (IA)… Mais, au contraire, on comprend très bien les choses car cela est très bien expliqué!

En ce qui concerne l'écriture de l'auteur, j'ai été subjuguée par celle-ci; elle est dynamique et fluide. Non seulement Eric Costa arrive à nous emmener dans chaque endroit qu'il décrit à merveille, mais en plus de cela, c'est comme si on était dans ces endroits; du désert aux endroits les plus humides… J'avais l'impression de souffrir autant que les personnages lorsqu'ils passèrent dans le Désert des Illusions, j'ai eu une boule d'angoisse au creux de mon estomac lorsque le groupe a eu certaines mésaventures… C'est une oeuvre (un petit clin d'oeil à la raison même de cette histoire) éblouissante avec des descriptions qui dépassent toutes mes espérances.

Pour ce qui est du récit en lui-même, je trouve qu'il a été très bien pensée et je pense cela du roman au complet… On se trouve dans un Thriller psychologique où l'on essaye de deviner le dénouement final… C'est-à-dire, l'emplacement de Dédale alias le créateur de l'Oeuvre ainsi que l'avenir des personnages. Même si on peut avoir des suppositions concernant ces mystères, on n'est jamais sûr de rien et l'auteur arrive à mettre en doute nos hypothèses. Ainsi, même à la fin de ce premier tome nous ne savons pas où est-ce que tout cela va mener… Mais ce qui est sûr, c'est que je suis pressée de connaître la suite!

En ce qui concerne la fin, je suis resté sur ma faim; ce qui est tout à fait normal puisque ce roman a une suite (qui sort bientôt!). J'aurai aimé savoir ce qui arrive ensuite, à Elena, aux autres personnages secondaires… On reste sans réponse et cela prédit que le second tome sera des plus intéressants! On a encore des choses à découvrir et ce serait avec grand plaisir que je découvrirai la suite de ce roman, lors de sa sortie.

En bref, j'ai adoré cette lecture et ce fut une bonne surprise! J'ai hâte de lire une autre oeuvre de cet auteur, mais surtout j'ai hâte de lire les nouvelles aventures d'Elena et de son équipe.
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L'accroche de Miss Aline
Un commando de 12 hommes et une femme pénètrent dans L'Oeuvre, dôme immense, en zone 51. Un groupe de mercenaires : Elena, Lombardi, Basileus, Fields… tous recrutés pour leurs compétences spécifiques. Ils n'ont que quelques jours pour trouver, Dédale, l'architecte qui a construit cette prison expérimentale. Treize personnes ! Pas vraiment un chiffre porte bonheur puisque des pertes humaines sont à déplorer dés l'entrée dans la structure.
Comme les membres du commando, on est jeté sans préavis dans l'action. Il faut faire connaissance avec les membres du groupe, se repérer et comprendre la structure, se représenter les différents groupes encore au sein du Dôme. Il faut aussi s'adapter aux différents narrateurs : Elena, Agellos, Josh T. Arthar.
Tout comme Dédale a construit L'Oeuvre, Eric Costa a construit son oeuvre tel un labyrinthe. A chaque chapitre on ignore à quel groupe il va falloir faire face : le commando, les Sédentaires, les Chasseurs… Je ne vous parle pas de la faune et la flore qui changent d'une salle à une autre. La planète en miniature en zone 51. Bref, au début il faut s'accrocher car forcément il y a des liens qui vont nous être révélés. le tableau va commencer à prendre forme tout comme chacun va trouver sa place.
La mienne est celle d'observatrice. Je me fais l'effet d'être comme I.A qui surveille le Dôme et son fonctionnement. Je vois des liens qui se créaient, d'autres qui se défont. Des personnalités s'affirmer. Des êtres que l'enfermement a radicalement changés.
Subir, se révolter, se dépasser, s'adapter … mais y a-t-il encore de l'espoir ?
C'est mon premier roman d'Eric Costa. Je découvre une écriture fluide et rythmée (chapitres courts, beaucoup de dialogue). Un style très imagé : la description des différentes salles (forêt, désert…) te fait entrer dans l'histoire, partager le sort des mercenaires et des autres.
Une fois passée la période d'incubation nécessaire à l'immersion dans le roman, tu lis avec avidité. Comme devant une nouvelle série télé dont tu attends la suite avec impatience, tu t'attaches aux personnages. Agellos est mon préféré, celui qui m'a apporté le plus d'émotion, j'ai mal pour lui. Que va-t-il devenir ? C'est sans compter sur l'auteur qui tel un marionnettiste fait vivre ce monde sous tes yeux. Il laisse tout le monde en suspension et inscrit le mot « FIN ». Impossible mais pourtant vrai. Il faut attendre le tome 2 pour connaitre le sort des prisonniers, des membres du commando, d'Agellos… Il parait qu'il est comme ça Eric Costa : il aime les séries !
Je remercie Eric Costa pour m'avoir confié son oeuvre dont j'attends la suite avec avidité.
Lien : https://collectifpolar.fr/20..
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Le bon vieil adage nous dit qu'il y a toujours une exception qui confirme la règle.
Et bien voyez vous chers amis babeliotes, l'exception aujourd'hui c'est moi.
C' est moi car,et a l' inverse de nombreux avis et critiques dithyrambiques sur ce livre,j' ai trouvé ce roman très mauvais.
Tellement mauvais que j' ai arrêté "l' expérience prison" a la moitié, très heureux de sortir de cet insipide labyrinthe littéraire.
Ce livre est clairement ecrit pour être adapté au cinéma, voilà ce qui le rend mauvais.
Ça ressemble à un film de série B , le genre de bon navet diffusé sur NRJ12.
Tous les clichés sont là:
Des militaires aux muscles luisants et aux gros flingues bien graissés.
La belle nana au petit cul bombé et tetons qui pointent qui se demande ce qu' elle fait la .
Et puis des flash- back censés nous éclairer sur cette mystérieuse Oeuvre perdue dans le désert qui au final n' éclairent rien du tout ( en tout cas jusqu'à la moitié du livre).
Encore plus insupportable, l' abus de formules par l' auteur pour désigner ses personnages .
"La mercenaire" ,l' afro - américain " l' italo- américain" nous serons servis à toutes les sauces et a tous les étages de ce labyrinthe.
Même le titre est mal choisi.
Pourquoi un titre americanisé?
Parce que pour vendre une adaptation a Netflix ça a plus de gueule non?
Je déteste arreter un livre et j' aurais pu arriver à la fin mais le fait de savoir qu'il y a encore deux tomes derrière s' en était trop pour moi...
C' est comme un sparadrap,faut l' arracher d' un coup.
Même l' écriture de Costa m' a déçu.
Pas qu' il ecrive mal certes,mais bon il écrit pas bien non plus.
C' est un style neutre et sans aucun charme ni surprise.
Dommage car l' idée de base était bonne.
Je regarderais peut-être la serie.

La magie" Prison Expériment" n' aura donc pas opéré pour moi et je ne me perdrais plus dans cette Oeuvre,pas plus que dans cette oeuvre.




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Le roman est écrit au présent et, peut-être parce que je n'y suis pas habitué, je trouve que ça ralentit le rythme.
L'histoire est originale et prometteuse.
Par contre l'univers de la prison n'est pas crédible. Il est dit que la taille de la prison est celle de manhattan sud. Ce qui n'est pas énorme pour héberger 5300 prisonniers ! pourtant on a l'impression que le labyrinthe est quasi-désert ! ou sont ils tous passés ?
Par ailleurs, comment, sur une si petite étendue les occupants sont ils si incapables de s'orienter et de se repérer sans carte ?
Aussi, seuls 7 ans se sont écoulés depuis la mise en automonie de la prison, mais la civilisation du labyrinthe a évolué (dégénéré) comme s'il s'était écoulé plusieurs générations !
Les aménagements des différentes salles (réels et holographiques) ne sont pas crédibles. Pas crédible non plus la salle du désert infini/infranchissable au regard de la taille du labyrinthe ... surtout que cette salle se situe au sommet du dôme donc de surface la plus réduite !
Les comportements des personnages entre eux ne sont pas réalistes non plus. En particulier l'animosité entre Basileus et Elena.
L'aspect "hacking" du système d'IA par Elena en passant par les réseau d'information des capteurs n'a aucun sens !!!
Enfin, le roman se limite finalement au suivi de l'exploration d'individus ou de groupes indépendamment les uns des autres.
Bref, "la sauce ne prend pas" avec moi !
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Bonjour mes lecteurs,

Voici un thriller dystopique que je viens vous chroniquer en retour de lecture : "The Prison Experiment" de Eric Costa.

L'histoire de ce groupe de mercenaires dont fait partie Elena, une hackeuse. Ce groupe est chargé d'une mission bien particulière et toute simple : Aller chercher  un dénommé Dédale et le sortir de cette prison que l'on nomme "L'Oeuvre". C'est lui qui est à l'origine de la conception de cette prison toute particulière.

En parallèle, Jackson "L'explorateur" se fait détrousser de tous ses biens les plus importants par un "Faucheur" du nom de Cyrus. Il part sans attendre récupérer ses affaires dans l'Oeuvre et les multiples salles qu'elle renferme.

Enfin, alors que le groupe militaire rentre dans la prison, Agellos Epstein, un scientifique affecté à la surveillance, en profite pour sortir de l'Oeuvre. Il y était enfermé depuis sept années. Avec lui, il emporte un carnet ô combien précieux, qui contient les mémoires de ceux qui l'ont précédé dans cette prison.

Je dois avouer que c'est une deuxième lecture que j'ai faite de ce roman. La première fois, je n'avais absolument pas accroché à l'histoire, la trouvant trop longue, des chapitres inégaux et dispatchés de manière aléatoire.

Mais ça, c'était avant ! Avant de voir les nombreux retours qui encensaient ce livre, avant de comprendre que j'avais pu passer à côté, avant que je décide de lui donner une deuxième chance. Franchement je ne regrette pas de l'avoir relu.

Je pense certainement qu'il y a eu des modifications qui ont été apportées depuis ma lecture, il y'a deux ans de cela, car ça m'a donné l'impression de lire un nouveau livre. Plus addictif, plus intense, mieux réparti dans la distribution des rôles, une accroche palpitante qui vous entraîne dans ce labyrinthe sans fin où se jouent au travers des mythes grecs la survie de ses occupants.

Finalement, j'applaudis l'auteur d'avoir construit un univers aussi intriguant avec ces multiples décors autant fabuleux que diversifiés, ce huis-clos angoissant dont on ne sait quel sort sera réservé aux personnages. J'ai pu apprécier ma lecture, j'ai même dévoré ce pavé à ma grande surprise. Comme quoi, il ne faut jamais dire : fontaine, je ne boirai pas de ton eau ! 

Et surtout une question qui me brûle les lèvres à la fin de ce premier tome : Qui en sortira vivant ? Pour le savoir, il n'y a qu'une seule réponse possible, lire le tome suivant ! 

Bonne lecture, amis Lecteurs !
Lien : https://lecture-chronique.bl..
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Avec sa couverture fascinante et une histoire extrêmement intrigante, Eric Costa signe un superbe thriller, difficile à reposer le soir.

J'ai accroché dés le début et je l'ai clairement dévoré, sans remord. L'histoire est très bien écrite et les scènes tellement bien écrites que nous pouvons sans problème nous imaginer les paysages, les bâtiments, les personnages, …

Ce livre plaira, je pense, aux amateurs de la série The 100 et à ceux qui aiment ce style de roman. Ce roman doit absolument être lu par beaucoup de personne car il a un réel potentiel, et une adaptation en film me plairait énormément.

Le petit plus de ce livre est la galerie des personnages à la fin du livre qui permet si nous avons un petit doute sur qui est qui, de remettre un nom sur une fonction et un groupe de personnage.

Chaque chapitre alterne avec les personnages et nous laisse du suspense entre chaque chapitre, cela est intrigant et c'est comme ça que nous finissons ce livre sans réellement nous en rendre compte.

Si vous voulez en savoir plus sur l'Oeuvre, cette prison énigmatique, je vous laisse lire une oeuvre pleine de génie.
Lien : https://alohomorabooks934.wo..
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Depuis le temps que je lisais de bonnes critiques sur ce livre, je me suis décidée à le lire il y a quelques mois. Mais voilà, j'ai fait un blocage dessus. le ton de narration pour moi est le passé...et là, bing il était au présent, ce qui, pour mon imaginaire, rend tout mou et inintéressant. Alors j'ai laissé tomber à 13 % du kindle.
Mais j'ai testé à nouveau le truc et, en le lisant lentement car pour l'apprécier il a fallu que je le « traduise » au bon temps de narration, j'ai commencé à comprendre pourquoi les critiques étaient aussi bonnes.
L'idée est intéressante : enfermer des humains (ici des criminels de haute voltige) dans un édifice gardé par une intelligence artificielle. Comme base de départ, c'était alléchant. Mais en plus, l'auteur ajoute quelques personnes extérieures (le commando) pénétrant dans cette immense prison inhumaine avec pour mission d'en ramener l'architecte, alias Dédale, qui se serrait enfermé dedans. Traité comme un huis clos, cette histoire est assez prenante. On voit comment réagissent les humains en situation délicate. du bon comme du mauvais. Ah le Basileus, je l'aurai bien flingué à la place d'Elena !

Bref, si vous aimé les histoires style Hunger Games ou Divergente, lisez cette aventure, elle vous plaira.
J'hésite encore à lire la suite à cause de ce fichu temps de narration qui m'écorche vraiment les yeux. Peut être plus tard…
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J'ai été étonnée de terminer le roman aussi vite. L'action se déroule vite, mais en ayant un bon rythme en restant cohérente. le roman paraît à première vue énorme et pourtant, il se laisse dévorer tellement on se laisse happer par les actions et l'intrigue.
Gentils, méchants, action, aventure , rebondissements sont au rendez-vous au long du roman pour notre bon plaisir.
J'avoue que parfois, j'ai eu des petites difficultés à me représenter les lieux ou les espaces dans lesquels les actions se déroulent. Malgré tout, il faut reconnaitre que l'univers est très bien détaillé, riche en éléments et documenté.
Au départ, je pensais tomber dans un roman semblable au roman » le Labyrinthe », mais j'étais à côté de la plaque. L'intrigue n'est en rien similaire.
Je dois dire que la couverture associée au résumé m'a donné envie de lire le roman. L'auteur a trouvé la couverture parfaite pour son roman, et je le félicite pour cela.
Je vous conseille ce roman à rebondissements. Et attention, il s'agit d'une saga, mais les 3 tomes sont déjà sortis. Alors pas d'excuse pour ne pas commencer cette trilogie.
Lien : https://alloverthebooks.word..
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Une idée de départ intéressante, une plume agréable et pas mal de péripéties.

Et pourtant, bizarrement, je n'ai que rarement réussi à me laisser entraîner dans l'univers de l'Oeuvre.

L'experiment continuera sans moi, même si je souhaite bonne chance au personnage d'Elena pour la suite de ses aventures.
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