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Un polar ultra classique qui se passe en Angleterre ( l'autrice est américaine mais a vécu au Royaume Uni). Dans la veine des oeuvres des grandes dames anglaises du cosy crime, ce premier volume de la série des enquêtes de Duncan Kinkaid et Gemma James permet de faire connaissance des deux principaux protagonistes. L'ambiance est calme, l'action bien menée, pas de sensations fortes, pas d'angoisses pour le lecteur et un tout petit peu de stress à la fin. Une lecture pour les personnes qui veulent dormir la nuit sans en rêver. C'est très bien écrit, très bien traduit et ça fait passer un bon moment !
Lien : https://www.babelio.com/list..
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Je viens de relire le premier volume des enquêtes de Gemma James et Duncan Kincaid, un duo d'enquêteurs anglais très attachants.
Dans cette toute première histoire, le superintendant Kincaid est en vacances, son cousin lui a offert de passer une semaine dans un appartement qu'il a acheté en copropriété, car sa femme est sur le point d'accoucher, et ils leur est impossible de voyager.

Kincaid va donc découvrir les joies du farniente dans une résidence très haut de gamme, du moins, le croit-il.
Car à peine arrivé, il va être témoin d'un crime, bientôt suivi d'un deuxième meurtre…
Bref, au lieu de passer son temps à jouer au golf ou au tennis, se baigner dans la piscine ou lire tranquillement en sirotant des verres de whisky, il va se mêler des enquêtes sur lesquelles il n'est pas le bienvenu, car le policier chargé de l'affaire le prend aussitôt en grippe, et cela va générer bien des tensions.

Cette première enquête permet de se familiariser doucement avec les personnages principaux et nous permet de voir évoluer le lien qui les unit par la suite.
J'ai bien aimé faire connaissance avec cette myriade de vacanciers assez différents, et ayant tous un petit quelque chose d'exotique ou de singulier.
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Ah, Gemma et Duncan... Voilà deux policiers attachants...
Tout dans cette enquête laisse un arrière goût "Agatha Christien", si je puis dire... A chaque page, à chaque meurtre, car meurtres multiples il y a chers lecteurs, pour notre plus grand bonheur, à chaque meurtre disais-je donc, on s'attend à voir surgir Monsieur Poirot, ou... Miss Marple... Au choix de chacun.....
Tout le petit monde est réuni dans une improbable résidence en copropriété, somme toute honorable en apparence.... Policier, meurtrier, futures victimes, ils sont tous là, au garde à vous, avec , pour chacun un charmant petit caractère si bien décrit par Madame Crombie.
Un délice à la lecture,à la manière d'une tasse de thé, anglais le thé, bien-sûr... Chaque mort fond sur la langue tel un shortbread...
Bref, une petite douceur policière comme on aime, facile à lire... Vous en reprendrez bien un petit peu?
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Bien que Deborah Crombie soit américaine, ses romans policiers se déroulent en Angleterre.
"Meurtres en copropriété" est le premier de sa saga mettant en scène le couple d'enquêteurs de Scotland Yard Duncan Kincaid-Gemma James.
Pour les introduire, elle a choisi une situation à la Agatha Christie : une pension de vacances, des personnages qui ne se connaissent théoriquement pas au début et qui ont tous leurs petits secrets, des meurtres qui s's'enchaînent, et un policier au repos qui doit mener l'enquête.
Malgré des dialogues un peu faibles et quelques facilités scénaristiques (policier local évidemment antipathique et incapable, toutes les personnes envers lesquelles Kincaid éprouve de la sympathie seront victimes d'une mésaventure), les 315 pages de ce premier roman se laissent lire sans déplaisir. Attention, cependant, pour les amateurs de sensations fortes, c'est un policier anglais très gentillet.
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Premier polar de la série des enquêtes de Duncan Kincaid et de Gemma James, Meurtres en copropriété m'a beaucoup plu.

C'est une sorte de "semi huis clos" qui se déroule sous nos yeux, l'action prenant principalement place à Followdale House (la copropriété dont il est question dans le titre français) et les personnages restant les mêmes : les pensionnaires de la copropriété. Seules les escapades de Gemma, qui traverse l'Angleterre pour interroger les proches des pensionnaires, font varier le décor.
Mais ce roman policier n'est absolument pas monotone, loin de là ! Les meurtres et les agressions se succèdent et, de ce fait, l'action est bien présente. Ne vous attendez toutefois pas à des détails sanglants : on est plus dans un registre "cosy mystery" que dans du thriller macabre.

Les personnages sont tous très réalistes. Certains sont un peu caricaturaux (comme l'effroyable inspecteur principal Nash), mais pas trop, ce qui évite d'agacer le lecteur.

Quant à l'intrigue, elle est rondement menée par Deborah Crombie, qui parvient à brouiller les pistes jusqu'à la toute fin du roman. Les mobiles des agressions restent également très flous, jusqu'au moment où Duncan comprend enfin ce qu'il s'est passé : on est donc tenus en haleine tout au long de l'histoire.

Et, en bonus, on a droit à quelques descriptions des beaux paysages du Yorkshire. Pour ma part, j'ai ressenti une grande bouffée de nostalgie en lisant les mots "fromage frais de Wensleydale" et "vallée de la Wensley". Amoureux de l'Angleterre ? Laissez vous donc tenter par cette série au charme très british !
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C'est le premier tome de la saga avec Duncan et Gemma. J'en avais lu un autre, il y a fort longtemps. Les tomes se lisent indépendamment les uns des autres.
J'en avais gardé un bon souvenir. Je ne regrette pas.

Duncan mène l'enquête dans la résidence où il est en vacances à la suite de deux meurtres.

C'est agréable, fluide.
Il y a un côté cosy mystery. Duncan est attachant et on s'identifie facilement à Gemma.
L'intrigue n'est pas extrêmement recherchée mais le job est fait correctement.
Auteure adoptée.



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Oui, mon premier « Duncan Kincaid » ! le premier que j'avais lu était bien le premier de la série, c'est après que j'ai lu dans le désordre. Voilà donc un sympathique petit polar qui se laisse lire sans déplaisir, sans se casser la tête, tout en passant du bon temps.

Je me suis rendue compte, en l'ajoutant à mes livres, que l'éditeur avait réédité cette aventure et modifié la couverture : cela lui donne peut-être un côté « plus anglais » avec la tasse de thé dans un décor suranné digne de Buckingham Palace, mais j'aimais mieux la première, avec le cadavre étendu sur le court de tennis. Pas de mauvaise surprise, on sait que l'on aura un cadavre tout chaud (ou froid, tout dépend de l'heure à laquelle on le découvre).

Mais je m'égare !

Ceci fut donc mon premier contact avec les héros récurrents de l'auteur. Bon, pas de quoi pavoiser, il se lit sans mal, mais « pouvait mieux faire ». Quoique, je suis un peu dire avec elle, étant donné que tous les auteurs ne sont pas capables dé réaliser un chef d'oeuvre pour leur première fois. Avec le risque ensuite de ne plus être capable de faire mieux au aussi bien.

Donc, l'auteur commence en douceur dans ce roman qui rappelle davantage les Agatha Christie (surtout en référence aux anciennes « quatrième de couverture »).

Les ingrédients étaient réunis : l'ambiance british, du charme, une résidence qui est sorte de grande maison, des morts qui s'enchaînent, un enquêteur, une multitude de coupables potentiels qui ont tous quelque chose à cacher, des secrets inavouables ou des rancoeurs enfouies ! Un vrai lieu clos avec un nombre restreint de personnages, comme j'aime. La comparaison avec la mère Christie s'arrêtera là car l'époque a changé, pas d'Hercule Poirot dans le coin et les personnages sont un peu fadasses.

Mais, malgré tout, l'impression d'être dans un Agatha restera ancrée dans mon esprit tout au long de la lecture. Atmosphère, atmosphère…

Le personnage principal Duncan Kincaid, que j'ai découvert, est le « beau gosse de service » et toutes les femmes semblent prêtes à lui sauter au cou ou plus si affinités. Bon, c'en est parfois risible. Par contre je n'ai pas vraiment saisi ce qu'apporte à l'histoire sa pseudo relation avec le médecin (femme, je précise). le fait qu'il les fasse toutes tomber comme des mouches ??

C'est notre « beau gosse » Duncan Kincaid qui mènera l'enquête, séjournant sur le lieu des crimes, les découvrant en même temps que le lecteur. Gemma James, quant à elle, elle enquêtera à distance et n'est pas très présente dans ce premier volet. Nous la découvrons mieux dans les suivants, faites-moi confiance.

Bien entendu une fois le livre refermé il est facile de faire un point sur ses petits travers : l'assassin est odieux, certainement plus proche de la folie qu'autre chose, prêt à tuer pour parvenir à ses fins.

Les personnages semblent parfois un peu caricaturaux mais, on comprend bien vite que l'on a des chances de retrouver réellement tous les types de personnalité dans un petit groupe, réduit ici à cette copropriété, aux enquêteurs, et à l'équipe technique liée aux meurtres.

La police locale se compose d'un « petit chef », très raide dans ses idées et assez brutal, tandis que son second est plus subtil et meilleur policier. Encore un exemple de chef qui n'est pas à sa place…

Le pire, c'est qu'un témoin, au lieu de parler à la police de ses soupçons, préfèrera s'adresser directement à l'assassin ! Folie pure. Ça ne rate pas…

Pourquoi les coupables racontent-ils leur vie quand on les découvre ? Pour se justifier ou pour permettre à la cavalerie d'arriver à temps ?

Rien de très original, dans ce livre, on est même dans l'ultra classique avec une fin qui mettra du temps à arriver, bouclée en deux pages et pourtant, ça se lit avec plaisir.

Cet ouvrage possède donc les qualités et les défauts d'un galop d'essai, mais, ainsi que je l'ai déjà mentionné, les pages se tournaient facilement et sans lassitude. Bizarre, non ?


Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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En écrivant ma critique, je me rends compte que ce roman est le premier d'une série ! Cela explique peut-être l'impression de lenteur que j'aie eue le long de ma lecture.

L'auteure a pris le temps de nous présenter les deux protagonistes et de dépeindre leurs univers. La solitude qui étreint Duncan sera sûrement mise en perspective plus tard et j'imagine bien une histoire d'amour entre Duncan et Gemma mais bref, je m'égare.

Ce roman policier à l'ambiance british est plutôt sympathique. L'intrigue est bien ficelée et on se laisse prendre au jeu dans ces meurtres à huis clos. J'ai trouvé toutefois la première partie du roman plutôt prévisible mais j'ai été agréablement surprise de la fin.

Je tenterai probablement le tome 2 afin de me faire un véritable avis sur cette série.
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Une bonne intrigue. On retrouve un peu l'ambiance Agatha Christie: tous les personnages et suspects réunis sous le même toit, mais avec des différences: ici on suit l'enquête de Duncan et Gemma James. On a les éléments en même temps qu'eux, on ne nous cache rien. Mais on ne se serait jamais douté de l'identité du véritable assassin, ce n'est que dans les tous derniers chapitres qu'on comprend.

Un livre qui se lit sans problème sans forcer...
Lien : http://labulleasylla.blogspo..
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Le superintendant Duncan Kincaid a bien besoin de vacances et ne refuse donc pas l'offre de son cousin qui lui prête sa résidence de vacances en copropriété pour une semaine. Direction le Yorkshire!
Les vacances ne dureront pas longtemps car très vite on retrouve un cadavre puis un deuxième dans la propriété, et Duncan s'implique dans la résolution de l'affaire, aidé par sa collaboratrice Gemma James restée en service à Londres.

Deborah Crombie est américaine mais elle se lance dans des romans policiers à l'ambiance bien anglaise, où le thé se consomme par litres. Il s'agit de la première enquête de Kincaid et James, donc je suppose qu'il y aura des développements dans leurs vies personnelles, déjà pressentis ici.

Une lecture pas désagréable, assez lisse tout de même, sans grande originalité car cette histoire aurait pu être écrite par Agatha Christie (mais Miss Agatha offrait plus d'humour je crois)
J'ai listé quelques clichés, ce qui finalement est devenu un jeu plaisant :
La police locale se compose d'un "petit chef" raide dans ses idées et assez brutal tandis que son second est plus subtil et meilleur policier.
Tout se passe dans un milieu clos, avec un nombre restreint de personnages, sans guère d'épaisseur pour la plupart. Seule Hannah est émouvante.
Un témoin, au lieu de parler à la police de ses soupçons, préfère s'adresser directement à l'assassin, et ça ne rate pas, il meurt rapidement!
A la toute fin, le meurtrier menace les personnages avec son arme, et il passe son temps à dialoguer, ce qui laisse le temps à la cavalerie aux secours d'arriver.

Un petit polar sympa, idéal pour un week end brumeux, au coin du feu, avec tasse de thé. Détente assurée, pas de prise de tête!
Lien : http://en-lisant-en-voyagean..
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