Tout le bleu du ciel

Je me range du côté de la minorité qui n'a pas apprécié ce roman. Sur la forme : bon, je veux bien que ce soit un premier roman, que Melissa Da Costa n'ait pas suivi le chemin classique pour se faire éditer, je pense toutefois, comme d'autres avant moi, qu'un editeur de la trempe Albin Michel aurait dû intervenir sur le texte, pour l'alléger et le rendre plus littéraire. Quant au fonds : peu crédible, incohérent, tant au niveau légal, médical que ludique (randonnée), bref, c'est creux et pathos à souhait ! le final est prévisible dès le début ! C'est dommage, car le pitch de départ était plutôt intéressant et original.

Je vais sans doute me faire lyncher, mais j'ai trouvé le temps long une grosse partie du livre. Je n'ai pas ressenti d'émotions à l'exception des derniers chapitres et l'épilogue est vraiment mollasson.
Les personnages peu convaincant, mais l'autrice a réussi à rendre un personnage qui n'apparaît qu'en filigrane absolument détestable.
Si j'avais su, j'aurais tout simplement relu mon guide du routard des randonnées....!!!

On m'a beaucoup parlé de ce livre et c'est avec enthousiasme que je me le suis procuré....et Hélas, je n'ai pas adoré du tout, trouvant une écriture qui voulait se donner du style, et qui n'en avait pas
Des longueurs de descriptif, sur la ciboulette, la cannelle, la pleine conscience, l'odeur des prés etc etc..., une histoire plus à l'eau de rose, qu'un vrai roman proposant une analyse des rapports humains, des situations etc...

J'en avais entendu tellement de bien… Je me suis empressée de l'acheter et puis finalement, quelle déception ! C'est long. Trop long. Je me suis forcée à le finir car je voulais tout de même connaître la fin, mais j'ai souvent voulu abandonner. Déçue

Tout ce que je n'aime pas dans la littérature je l'ai trouvé dans le premier roman de Mélissa Da Costa.
Les bons sentiments et les techniques de développement personnel qui vous aident à mieux vivre dans ce monde pourri sont en effet les piliers de « Tout le bleu du ciel », pavé de huit cents pages.
Sans oublier les citations mièvres extraites de « L'Alchimiste » de Paolo Coehlo, livre qui m'était tombé des mains en son temps.
L'idée de départ était pourtant séduisante : condamné à une mort certaine par un Alzheimer précoce, ne souhaitant pas faire subir sa déchéance à sa famille et encore moins finir ses jours dans un hôpital, Émile lance un appel afin de trouver un compagnon ou une compagne pour son ultime voyage. Un petit bout de femme répond à l'annonce. Elle s'appelle Joanne et trimballe elle aussi des blessures qu'elle garde au fond d'elle.
Commence alors un périple en camping-car digne d'un « Guide du routard » vers les Pyrénées où le couple s'extasie sur la beauté des paysages et des villages perchés.
S'ensuivent des rencontres avec des locaux authentiques et accueillants dont certains vivent dans un éco-hameau et pratiquent, il va de soi, la permaculture.
Pendant ce temps, malgré leurs différences, Émile et Joanne apprennent à s'apprivoiser à coups de dialogues verbeux et surréalistes.
Pour résumer, avec ses poncifs inlassablement ressassés, le récit manque de justesse et l'émotion n'est pas au rendez-vous, sauf à un moment que je n'évoquerai pas.
Quant au final, il est vraiment too much.
Lien : https://papivore.net/littera..

Une lecture fluide et emplie de bons sentiments (un peu trop mielleux à force). J'ai apprécié les jolis descriptions de paysages, couchers et levers de soleil mais un peu répétitifs. Bref, je me suis un parfois ennuyée, pourtant l'idée de départ est touchante mais desservie par des longueurs et des incohérences.

Un joli titre mi poétique mi coloré pour démarrer.

Un début qui, déjà, pourrait vous arracher les larmes. Pensez donc, un charmant jeune homme, avec le meilleur ami qui soit et une famille aimante, apprend qu'il va mourir dans la pire déchéance physique et psychique.
Cela met assurément un coup au moral à tout lecteur même solide.

Avec ça, une décision tout à fait dans l'air du temps, chez les jeunes (et moins jeunes) sans pathologie lourde - f.... le camp en camping-car. Condition ultime : être intimement lié à la personne qui va vivre avec nous H 24, et la prévenir du quotidien éprouvant qu'elle va vivre aux côtés du bientôt malade. Vous suivez ?

Oui, il fallait être audacieux pour écrire un tel scénario, pardon, une telle histoire. Si dramatique, cela va de soit.

C'est une petite annonce qui dirigera une énigmatique jeune fille auprès d'Emile pour (à priori) ce dernier périple pour lui.
Bon, je ne vais pas tourner autour du pot, mon nombre d'étoiles est là pour l'attester, je n'ai pas accroché du tout, je ne suis pas rentrée dans l'histoire.

Pour plusieurs raisons. D'abord, ce côté tragique sans que le malade se plaigne (limite       « LOVE STORY »), ça me plombe à chaque fois. Je ne cours ni après les feelgood ni après les  personnages désespérés comme Emile, même si je sais hélas que ce type de pathologie existe. C'est le traitement qui en est fait qui me gêne. 
Le roman « Oscar et la dame rose » m'avait déjà fortement aussi agacé les neurones.

J'ai donc souffert d'une forte lassitude qu'ont généré en moi la structure du roman (pourquoi autant de pages ?) et les contenus du récit, car je suis malgré tout allée jusqu'au bout du livre.

Il faut dire que l'auteure est (très) maline : elle met un temps fou à divulguer certaines informations nous obligeant ainsi à lire plus longuement que voulu (identité de l'âme charitable qui reste auprès d'Emile).

Plus de 800 pages en format poche... ce fût long, pénible, mais Joanne,                                "l' accompagnatrice" étant auréolée de tant de mystère que bêtement j'ai tenu...pour une histoire des plus improbables, au final, à mon goût.

Avec la petite surprise sur les derniers pages qui arrive comme un cheveu comme la soupe.
Son histoire, par ailleurs, est bien tirée aussi par les cheveux.

C'est vraiment ça qui m'a le plus gêné dans ce roman, des personnages, des situations sans demi-mesure, et du coup je ne suis jamais rentrée dedans.

« Too much » tu meurs !
Lien : http://justelire.fr/tout-le-..

Bonjour. Je tiens à préciser que ce qui s'en suit n'est que le fruit de ma propre expérience de lecture et que ce n'est que mon avis purement personnel.
J'ai mis du temps à lire ce livre. Ce n'était pas profond ni intriguant du début à la fin. À partir de 500 pages à peu près, l'intérêt c'est un peu éveillée mais je n'étais toujours pas à fond. La plume de l'autrice est simple et fluide. Ce livre est beau, ce livre enseigne, ce livre touche., ce livre émeut. Mais je ne fais pas partie de ce public qui a été touché par ce bouquin. Ce livre m'a à peine effleurée.
Ce livre peut vous aider, peut vous apprendre, mais pour ma part il m'a aider mais de façon discrète et cette aide ne me servira sûrement que des années plus tard.

Bon, voici mon deuxième "Da Costa" lu , enfin, dans ce cas-ci, écouté. Comme il faisait chaud, je n'avais pas envie de commencer une lecture qui me demande une attention et un "feel good", c'est facile à rattraper quand on l'écoute. Je me suis dit aussi qu'il fallait que je jette un oeil à - je cite certains - "ce bijou, ce chef-d'oeuvre, le livre qui doit être lu, le livre préféré des français etc...".

Je comprends qu'il puisse être autant aimé et surtout à la période où il est sorti, sauf si je me trompe, durant le Covid et/ou confinement. Cela a fait sûrement du bien à bon nombre de personnes.

Ce que j'ai apprécié/aimé dans ce livre ( même si tout ou presque est cousu de fil blanc) : le voyage entrepris par Emile et Johane, les descriptions des villages (même si l'auteur n'a pas été dans tous ces endroits:-p ) , leur relation qui évolue assez vite évidemment. L'histoire de Johane qui est très touchante, personne ne peut rester insensible à ce qu'elle a vécu (je l'avais deviné). de nombreuses citations parcourent le livre mais cela ne m'a pas gênée. Les moments de pleine conscience qui jalonnent le livre étaient sympa aussi. Donc, cela n'a pas été, pour moi, une lecture catastrophique sinon, je l'aurais arrêté.

MAIS , qu'est-ce que c'était looooong. le début est assez pénible , on sait comment les personnages mangent leurs pâtes (repas principaux), comment on découpe une tomate, etc... Pour moi, c'était vraiment inutile. Il y avait beaucoup d'aller-retours entre passé et présent pour comprendre ce qui s'est passé dans la vie de Johane et Emile. Là, aussi, cela aurait pu être condensé. Parfois, c'était émouvant (surtout avec le copain d'Emile, Renaud) mais avec Laura, l'ex d'Emile, argh, le style de fille que je n'aime pas du tout. Si je l'avais lu, j'aurais passé les pages :-p.

Le style de l'auteur ne me convient pas du tout, c'est assez "scolaire" mais bon, quand je lis d'autres feel good, c'est un peu ça aussi (mais pas toujours...) mais ici, sur un gros pavé, et cela m'a plus pesé.

Tout ce qui est description de paysages auraient pu être mieux décrit/écrit, je repensais à certains nature writing lus chez Gallmeister et cela n'a absolument rien à voir...

Comme c'était long et que je n'avais pas envie de rester dessus durant 3 mois , je l'ai écouté aussi un peu à la maison et aussi au boulot quand cela était possible.

Donc, en résumé, l'idée ou les idées étaient sympa mais la mise en musique, non, vraiment, cela ne l'a pas fait sur moi même si j'ai été touchée à certains moments.

Mais , lisez-le, hein ... parce que visiblement, tout le monde l'adore ou presque :-p

Hey,
Malheureusement je vais aller à l'encontre de la majorité des lecteurs. Bien entendu, c'est un ressenti personnel donc si je pouvais ne pas avoir un lancé de tomates, cela m'arrangerait s'il vous plait (un peu d'humour dans ce monde de brut) hi hihi.

J'ai eu énormément de mal à m'accrocher à ce livre qui a de très belles intentions. Pour moi, c'est dû à la plume de l'auteure que j'ai trouvé trop scolaire pour dégager des émotions fortes. Sur le papier tout est beau. J'ai deux héros que j'ai trouvé passionnants. Mais je m'attendais à être transportée.... Ce n'est arrivé qu'à la seconde partie et vu que le livre est un gros pavé...j'ai attendu un long moment.

Un road trip qui ressort pour moi très monotone la moitié du livre et devient palpitant trop tard. Par contre, je comprends le côté Bestseller, l'engouement du public. Les héros sont touchants et criants de vérité.

Dommage mais je ne reste pas fermée à l'auteure. Sa trame est très belle.