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4,51

sur 14648 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Lu dans le cadre de la sélection du prix Cezam 2020.

Tout le bleu du ciel, premier roman d'une jeune autrice, Mélissa Da Costa, repose sur un scénario original, une magnifique idée, mais qui n'est pas dénué de risques dans l'écriture et la construction de l'intrigue.
Tout part d'une annonce publiée par un jeune homme de vingt-six ans, Émile, atteint d'une maladie précoce d'Alzheimer. Fuyant la compassion de sa famille, les risques qu'il entrevoit d'un acharnement thérapeutique, il recherche un(e) compagnon(ne) de voyage pour partager un dernier périple jusqu'à la fin ultime attendue. C'est ainsi qu'il fait la rencontre d'une jeune femme, Joanne, secrète, mutique, qui accepte la proposition. Ils partent ainsi tous deux en camping-car sillonner quelques routes de montagnes et de bord de mer dans le Sud de la France entre Pyrénées et Méditerranée...
Je m'attendais au pire et de ce côté-là je ne fus pas déçu.
Je suis resté au bord du chemin.
Visiblement ce livre a rencontré son public et un succès certain. Cette lecture est sans doute pour moi un malentendu...
Je vais sans doute m'attirer les foudres de quelques amis d'ici, mais je n'ai pas du tout aimé ce livre. Je l'ai trouvé lisse, insipide, long, chargé de poncifs, l'écriture et le propos faciles, pas forcément très bien écrit, tournant en rond, se répétant, manquant de relief et de poésie...
Les personnages sont sympathiques, les paysages sont beaux, les bons sentiments sont au rendez-vous, mais cela ne suffit pas pour en faire une belle lecture. Tout ce que j'aime dans la vraie vie est là, présent, quoique j'aime aussi l'inattendu, mais voilà, ce que j'attends d'un roman, ce n'est pas la vraie vie, ce n'est pas de parcourir un guide touristique en Pyrénées Orientales à la découverte des plus beaux villages perchés, ce n'est pas de découvrir un précepte de développement personnel sur les bienfaits de la pleine conscience, ce n'est pas de me convaincre des vertus de manger végétarien, de savoir que nos forêts et talus regorgent de plantes médicinales bienfaisantes, qu'il est urgent de penser au devenir de la planète. Tout cela, je le sais déjà, je le pratique déjà plus ou moins et je vous avouerai que cela m'insupporte presque de voir ces choses-là saisies comme autant d'ingrédients qu'on voudrait mélanger comme une recette idéale pour attirer le lecteur en mal-être lié aux maux de la société actuelle, comme on attrape des mouches avec du papier collant.
Ce que j'attends d'une belle lecture, c'est qu'elle me surprenne, qu'elle vienne me cueillir, m'emporter, me chavirer, m'étreindre. J'ai besoin qu'une écriture existe, soit présente, me séduise, me résiste, qu'elle me griffe, qu'elle m'enivre, qu'elle se déplie sous mes doigts, qu'elle me caresse aussi.
J'aime Zola, Maupassant ou Flaubert pour fouiller l'âme humaine et peindre de magnifiques fresques de la vie ordinaire, décrire les rêves et les désillusions comme autant de déflagrations dans l'âme, j'aime Dostoïevski pour sa capacité à me faire entrer dans des zones inconnues que je ne soupçonnais pas en moi et me faire ainsi peur, j'aime Victor Hugo pour sa fougue et son lyrisme à défendre les laissés-pour-compte, les condamnés à mort, ceux qui disent non, à en faire des héros, à me donner envie de croire en l'humanité. Pour le développement personnel, je préfère lire Sénèque, Marc Aurèle ou encore Montaigne. Pour la douceur, j'aime la poésie mélancolique d'Emily Dickinson ou de Marceline Desbordes-Valmore, et les contemporains aussi me surprennent tout autant : l'errance démesurée de Sylvain Tesson, les passions solaires et leurs blessures inguérissables de René Frégni, l'élégance révoltée d'Erri de Luca, l'ivresse sauvage et mystique de Jim Harrison, la grâce épurée de François Cheng. Marcel Proust ou Virginia Woolf offrent des voyages intérieurs bien plus enivrants et vertigineux que des milliers de kilomètres en camping-car, même sillonnant les cols pyrénéens les plus abrupts...
À la page 354, lorsqu'un des personnages du roman avoue, en parlant de L'alchimiste, que c'est son livre préféré , aïe, là c'en était trop... Ce fut le coup de grâce. Je n'ai pas pu aller plus loin... J'ai suivi l'un des principes de Daniel Pennac, lorsqu'une lecture vous résiste : « le droit de ne pas finir un livre ».
Alors, je descends du camping-car. Je quitte le voyage. Je ne saurai pas comment s'est terminée l'histoire d'Émile et de Joanne. Je les laisse filer vers la fin de l'escapade qui les unit, un peu triste quand même de quitter des amis attachants ; j'imagine pour eux le meilleur et le pire...
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Le grand intérêt de ce livre, c'est qu'on n'est pas obligé de le lire vraiment, tellement il est rempli de phrases inutiles.
Je sais, on a parlé à son sujet de « pépite », et il est vrai que l'idée première était une pépite : un jeune homme atteint d'une maladie dégénérescente incurable poste une petite annonce, et reçoit , à sa grande surprise, la réponse d'une jeune fille prête à partir à l'aventure avec lui en camping car. Sans l'avoir jamais vu.
Dès le début, j'essaie de m'intéresser, je m'en veux de trouver le texte insipide et j'arrive péniblement à la page 54 : « la salade est prête. Elle a dû préparer une vinaigrette car il y a un petit bol, au centre de la table, dans lequel est disposée une cuillère »
Je poursuis vaillamment, mais sans lire les phrases anodines , les dialogues inutiles et les détails sans intérêt:
P 114 : il sort une bouteille d'eau du frigo, se sert un verre, pioche dans un paquet de chips entamé » :
P 176, ils mangent avec force détails des pâtes.

Ça, des pâtes, ils en mangent, ils me saoulent à force d'en manger.

Ne m'en veuillez pas, mais les goûts et les couleurs ne se discutant pas, le Bleu du ciel de Melissa da Costa des premières 200 pages ne me séduit pas.
Je regarde le nombre de pages, 835 !
J'abandonne.
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Page 296 : j'arrête les frais ! Je soupire de plus en plus, je m'agace et je m'ennuie ! C'est rempli de platitude, de longueurs et de clichés qui datent de l'an pèbre !!

Il est né quel siècle Emile ? Des réflexions d'une imbécillité profonde m'ont hérissée rapidement, le coup de la bibliothèque pleine de livres de filles a mis la barre très haut dès le départ !!

Impossible d'y croire, rien que leur départ en randonnée est une arnaque, les imbéciles gardent leurs tongs mais prennent de l'eau ou plutôt du soda !!

J'arrête ma lecture passablement énervée, je m'étais astreinte à avoir envie de le lire et d'y mettre de la bonne volonté parce que c'est un cadeau de ma belle-fille, qui bien que connaissant mes goûts, mais n'étant pas de culture française, a écouté ses collègues lui vantant ce livre ! Ou alors je suis vraiment tordue mais j'ai trop à lire pour continuer à perdre du temps et de l'énergie là-dessus !

Challenge Plumes Féminines 2022
Pioche dans ma Pal juin 2022
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« Ça va ?
– Ça va.
– Tu lis quoi ?
Tout le bleu du Ciel de Melissa Da Costa.
– Oh, dit le jeune homme avec surprise.
– Tu aimes ? »
Elle acquiesce.
Le jeune homme s'assied près d'elle, tout doucement. C'est l'automne, les arbres roussissent doucement, les feuilles tombent, peu à peu. Depuis qu'il la connaît, il a appris la vraie vie, il a appris à apprécier les petites choses de la vie. Aujourd'hui son jeune chat Tok s'est couché près de sa partenaire et a jeté un regard amoureux sur ses petits tétant aux mamelons dodus.
« Je suis d'accord avec Version Femina : ce livre est bouleversant.
– Ah ?
– Un jeune homme atteint d'un Alzheimer précoce s'engage avec une jeune femme qu'il ne connaît pas dans un périple autour de la France.
– La France des banlieues, des zones industrielles ?
– Non la France vraie, celle des petits villages typiques avec leurs églises d'époque. Ils y rencontrent des gens sincères, plein d'amour.
– Ce n'est pas un peu triste, cette histoire de maladie ?
– Oh non, c'est plein de joie et de bonheur. J'espère que la fin ne sera pas trop triste. J'ai peur de pleurer. Mais tu sais la mort fait partie de la vie. Ce n'est qu'une étape vers l'au-delà. »
Il acquiesce.
« Que de sagesse ! » se dit-il émerveillé avant de se préparer un petit en-cas végétarien à base de fruits de bois qu'il vient de cueillir dans les sous-bois pour leur goûter.

Un livre à lire et à relire. Je le conseille à ceux qui apprécient les idées reçues et la lecture des guides touristiques.
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Je me suis infligée 177 pages sur les plus de 800 et c'est avec un plaisir certain que je referme Tout le bleu du ciel pour ne pas y revenir.
L'histoire aurait pu être sympa - un jeune homme de 26 ans apprend qu'il va mourir d'une maladie et décide de tout plaquer pour partir à l'aventure en camping-car. Road-trip dans les Pyrénées avec une inconnue dénichée par petite annonce sur le net.
Peut-être que ça devenait chouette après ces 177 pages mais je ne peux pas, je ne peux vraiiiiment pas m'infliger encore plus de platitudes.
Des pages et des pages de "il fait chauffer les pâtes. Il regarde le ciel. Il part chercher son duvet et dit à table".
Quand j'arrivais à me forcer à reprendre le livre c'était pour le refermer 2 pages plus loin en hurlant "mais on s'en fouuuuut qu'ils aillent acheter des pompes !".
Oh, il n'y a pas que ces lignes sans intérêt, il a fallu aussi que je subisse les jérémiades de ce jeune homme à propos de sa rupture vieille d'il y a un an. Une rengaine qui revient toutes les 5 pages. Au secours !
Même une bonne copine qui viendrait à pleurer ainsi en boucle je finirais par lui donner un pot de glace et la coller à la porte de la maison.
La guimauve ce n'est vraiment pas mon truc mais je ne peux pas m'empêcher de me dire qu'un jeune homme de 26 ans qui vient d'apprendre qu'il va mourir très prochainement à autre chose à penser qu'à une nana partie il y a un an non ?
Les bons sentiments, le romantisme de centre commercial ne me feront jamais vibrer.
C'est long, très long, trop long et plat, convenu, plein de bons sentiments un peu niais.
Bref, j'abandonne sans regret !
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Je rejoins l'avis des (rares) critiques (infra) qui n'ont même pas mis une étoile complète. En synthèse, style maladroit et sans élégance, récit qui n'est qu'une succession de poncifs, des actions des personnages plus ennuyeuses les unes que les autres. Lecture abandonnée au bout de 200 pages ... et c'est déjà beaucoup trop ...
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Illisible.

Je me suis pourtant accrochée pendant déjà trop de pages au prétexte que ce roman m'a été conseillé par ma meilleure amie mais c'est impossible. Je jette l'éponge, le bébé, l'eau du bain, ce que vous voulez.

Ce roman semble avoir été écrit dans le seul but d'illustrer l'expression "être écrit avec les pieds".

Le texte est archi surchargé de détails complètement insignifiants et je ne peux pas imaginer aller au bout des presque 800 pages, dans la même veine que ces deux extraits que je trouve particulièrement édifiants et représentatifs de la nullité globale du récit et du "style" de l'autrice :

"Il ne s'y est pas trompé. Il y a un bruit d'eau. le ruisseau passe ici, il longe le parking. Ca va être agréable de dormir ici. Il jette un coup d'oeil à Joanne. Elle dort toujours. Il sort du véhicule et se dirige tout droit vers l'eau, se laissant guider par le bruit. Il suffit de traverser le parking et de couper à travers une bande d'herbe. le ruisseau est là, derrière les arbres. L'eau dévale tranquillement, saute par-dessus les galets, les contourne, entraîne ça et là une branche d'arbre... Un petit chemin de terre longe la rivière."

"Il choisit un sandwich dans la vitrine réfrigérée, puis il déambule dans les rayons. Il ne sait pas si Joanne a quelque chose à manger. Il décide de prendre un paquet de chips au cas où et deux compotes. Il attrape une boîte de conserve de petits pois et une autre de lentilles. Au cas où... Cela constituera quelques réserves. Arrivé à la caisse, il ajoute une bouteille d'eau à ses courses et tend sa carte bleue. "Seize euros quarante-six, s'il vous plaît.""

Mes yeux saignent, mon cerveau aussi. Next.
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En général, quand je vois un tel écart entre mon ressenti de lecture et les étoiles attribuées (et surtout la distribution de ces étoiles), je m'interroge. J'ai une réelle tendance à l'auto-flagellation, à me dire que je suis passé à côté d'un truc important dans le livre, un truc qui m'aurait échappé et qui aurait fait que je n'ai rien compris au livre... Alors je repasse mentalement (c'est rapide) le roman en revue, et clairement je n'ai rien loupé.

La conclusion est limpide. Je n'ai pas aimé le livre. Je n'ai d'ailleurs pas à m'excuser, ni à me justifier, ni même à subir les foudres de celles et ceux qui ont adoré. That's life.

Je tiens à dire que, contrairement à la vaste majorité des notes très basses accordées à ce roman, j'ai terminé le livre. Et rapidement, d'ailleurs. Il faut bien avouer qu'en lisant 1 mot sur 4, on comprend tout à fait correctement le propos. Cela dit, je ne pense pas que les personnes qui n'ont pas terminé le livre aient moins de légitimité à chroniquer le roman que celles qui l'ont terminé.

Ressenti globalement et intégralement négatif, donc. Je préciserai que je ne savais rien de ce roman avant de l'ouvrir. Je ne savais pas qu'il s'agissait d'un best seller, j'entrevoyais quand même qu'il s'agissait d'un roman feel good... et je ne suis pas spécialement emballé par ce genre-là, je l'avoue sans peine. N'y aurait-il pas 2-3 choses à sauver? A mon avis, non. le point de départ est intéressant. L'idée de tout quitter pour se réapproprier sa mort, cela me parle. L'idée de partir avec une parfaite inconnue pour vivre ses derniers mois... pourquoi pas? Je pense que nous avons tous besoin de croire que nous serions capables de faire la même chose que les personnages principaux du livre. de croire ou de savoir qu'un parfait inconnu (ou parfaite inconnue) serait là, à nos côtés, en cas de nécessité. Sorte de geste désintéressé par excellence (qui n'est pas désintéressé du tout quand on lit le roman). Tout dérape ensuite assez rapidement, en ce qui me concerne. Je partage à ce sujet l'ensemble des commentaires lui attribuant 1 étoile, voire moins. Car on a l'habituel cliché de deux éclopés de la vie qui vont se servir de l'autre comme objet thérapeutique ou béquille existentielle. Il n'y a pas d'humanité dans le comportement des deux protagonistes, je ne vois que deux égoïsmes qui s'entretiennent et s'entraident.

Néanmoins, un point essentiel de mon ressenti n'est pas souvent mis en avant dans les chroniques. Et cela vaut pour l'ensemble (pour ce que j'en connais) des romans classés feel good. Il y a une volonté apparente de l'auteur (ou autrice) de produire un roman fait de bons sentiments (je peux vivre avec cela), en faisant mine d'ancrer le propos dans le réel, tout en réécrivant ce réel pour qu'il soit conforme à ses idées. Il y a tellement d'incohérences et d'erreurs dans ce roman...

Je reprendrai une idée d'une chronique que je viens de lire... l'autrice (et l'éditeur par conséquent) semble soucieuse de "cocher toutes les cases"... végan, douleur, amour, pleine conscience, méditation, nature vierge et belle, amitié, retour à la terre (aux vraies valeurs... ah ah ah), perte de l'être cher, dignité, tout le monde il est beau, les citations existentielles, etc. A un moment, trop is te veel, comme on dit de par chez moi. J'ajouterai un mot sur la superficialité globale du roman. On est dans l'émotionnel (pas mon truc, mais je peux vivre avec), mais on est SURTOUT dans le superficiel. Rien n'est traité en profondeur. La fin de vie, cela mérite autre chose que ce que l'autrice délivre.

La coupe est pleine, n'en jetez plus. Je terminerai par le fait qu'il est abondamment question de l'Alchimiste dans ce roman, comme d'un livre fondateur, essentiel, incontournable... et je viens de me rendre compte que je n'ai pas aimé L Alchimiste... cqfd, clairement.
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Quel ennui ! J'ai abandonné en cours de route. Il ne se passe rien, on devine l'issue dès les premières pages, les personnages sont des caricatures, les enseignements philosophiques trop gentillets , le style bien pauvre... Bref, je ne recommande pas ! Pourtant les bonnes critiques sont nombreuses...
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Alors voilà, j'ai craqué, me suis déballonné !
Le livre, choisi, par mon club de lecture pour la séance de fin de mois, j'aurais dû honnêtement faire l'effort de le lire jusqu'au bout mais là, c'est insurmontable.
Passons sur le prétexte du jeune gars qui va devenir amnésique puis mourir gâteux dans pas longtemps ou un peu plus tard et qui ne trouve rien de mieux à faire que vivoter dans un camping car avec la première personne venue. Pourquoi pas ! On a vu pire.
Donc le type trouve sa paumée (on devine d'avance le pitch) pour partenaire et enchaîne les kilomètres comme l'autrice les poncifs. Et on roule de niaiseries en niaiseries. Pour en arriver à en faire des pages et des pages, reste plus qu'à tout nous narrer dans les moindres détails, les menus indigents, les arrêts pipi et autres informations du plus haut intérêt.
En plus notre aventurier oublieux pose son engin sur un parking perdu des Pyrénées et paf, voilà t'y pas qu'à peine arrivé, une nymphomane l'aborde sous quelques fallacieux prétexte et couche avec lui le soir même ! La veine !!

Ce n'est pas mauvais, c'est très mauvais !
Indigent même. de la sous-littérature que pourra sans problème écrire beaucoup mieux et en plus court Gepetto et qu'un public tout aussi peu exigeant que nombreux notera d'un 5 étoiles autrement dit beaucoup mieux que « Les mémoires d'outre-tombe » ou « Moby Dick ». Ce dont je ne m'étonne même plus. Triste époque.
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