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4,35

sur 6282 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Jointoyé, grenaille, le furvent, ruelles axiales, pisé, Oroshi, censément, glyphes, chrones, antéchrones, haingeux, percutesouffle, trancheur à l'hélice, feuleuse, autours, kictant, effet Lascini, latérite, blaast, schnee, buron, tosser, chapka, bush, spinifex, aéromaître, hordaille, confabuler à l'encan, turbule, rafalant, boo, drakkair, haïk, babéole, serval, slamino, etc.

2 dialogues au hasard : - Toi ouais : tu vas te faire dépuceler ma jolie…
- Et après on joue à chat-volant ?

8 premières pages où j'ai l'impression de ne plus savoir lire. Stop ! Chef-d'oeuvre à ce qu'il paraît ? bon ben pas par moi.
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Je suis enfin arrivé au bout de ce livre. Ouf.
C'est long, c'est lent, c'est ennuyeux.
Je me dis qu'au vu des excellentes critiques de ce livre, je dois être complètement sourd au message que l'auteur a voulu passer.

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Style assez dur à lire, j'ai abandonné
Passer d'un personnage à l'autre de paragraphe en paragraphe, c'est compliqué de s'y retrouver
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Je m'attendais à un récit de SF surprenant étant donné tout ce que j'avais pu entendre comme témoignages exaltés et passionnés.
Quelle été ma surprise ( désagréable) de constater un récit confus, abscons bref l'auteur se perd dans des néologismes totalement inutiles et surtout on retrouve un récit avec des "idées" totalement niaises : un total manque d'inventivité.
il est certain que lorsque un Maurice Dantec est totalement descendu en flèche.......cqfd... pour ceux qui considèrent Philip K Dick comme une référence...lecture à éviter
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Bon là je vais me faire pourrir... tant pis...
Alors on me dit chef d'oeuvre, bon... on me dit tu l'as pas lu, toi ? bon... on me l'offre...
donc je le lis, bin oui quand même.. et là bin j'ai un problème à la question une fois la lecture finie, y a de la lumière dans les yeux du pote, y a la fébrilité de l'échange du partage, y a même le sourire...
Bon comment tourner le truc ?..

Parce que pour moi, là, ce livre.. Bin ça a pas fonctionné (tiens ça c'est pas mal )... Nan pas fonctionné du tout.

J'ai trouvé ça chiant, téléphoné et vraiment un côté je me la pète pour rien... Ou tout du moins on met en lumière des choses qui pour moi rentre dans du domaine de l'anecdotique (la numérotation des pages, le côté des petit sigles à la place du nom..
Ouais c'est sûr trouver des noms ça demanderait du travail à l'auteur... nan ça faut pas le dire... ) donc j'ai lu sans le pense bête qui dit qui est quoi... Et en fait en lisant comme ça.. bin on se rend compte que au final y 5 perso, alors qu'on nous en vend pléthore...
Ils pensent tous pareil, se fondent, à mes yeux n'existent pas.

Ensuite plus la lecture avance et plus on apprend des trucs sur ce monde où souffle un vent incessant, plus on découvre... bin pour moi y a eu... ah mais y sont juste cons en fait... (nan ça je devrais pas le dire non plus )...

Donc désolée, je sais que je vais me faire pourrir et tout et tout... Mais, là je ne comprends pas du tout pourquoi on dit que c'est un chef d'oeuvre.

C'est pas les idées véhiculées elles sont bateaux, visibles comme le nez au milieux de la figure, téléphoné.
Pour dire à la fin de la troisième page je savais comment ça allait se finir... J'ai lu pour voir si j'avais bon... J'avais bon.

On me dit la destination n'a pas d'importance, c'est le voyage qui compte.. Et oui certes, mais pour cela il faudrait que le voyage et les voyageurs soient intéressants, surprenants...
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Cela faisait un moment que j'avais La Horde du Contrevent dans ma bibliothèque et c'est l'article enthousiasmant de Gaelle de Pause Earl Grey qui m'avait décidé à le réintégrer dans ma PAL. Puis, au cours du Tag 12 livres à lire en 2017 , le Tanuki , Plumes de lune et moi, avions émis le souhait de faire de ce roman, une Lecture commune pour le mois de mars. Malheureusement, il semblerait que nos ressentis se soient coordonnées car aucune d'entre nous n'a accroché. Les filles ont d'ailleurs été plus courageuses que moi car au moins, elles sont allées jusqu'au bout. Pour ma part, j'ai abandonné au bout de 170 pages…

D'habitude, à cet endroit, je fais toujours un résumé « maison » du roman et j'avoue que cette fois, l'exercice va s'avérer particulièrement difficile : je n'ai rien compris! En réalité, j'exagère un peu. La Horde du Contrevent est une équipe de 23 protagonistes ayant chacun une spécialité utile à l'expédition. Ils ont pour but essentiel de trouver l'origine du vent qui, dans leur univers, semble causer des dommages non négligeable allant jusqu'à la destruction de cités, si j'ai bien compris. Chaque personnage possède un signe particulier (de ponctuation) pour les départager et chaque paragraphe alterne leur point de vue.

Vous l'aurez compris dès mon introduction, le marqueur principal de ce roman est sa complexité. Certes, je le savais dès le départ grâce à Gaelle et je savais également qu'il fallait dépasser les cent premières pages pour avoir un premier aperçu du monde de la Horde du Contrevent. Excepté qu'au bout de 170 pages, l'univers développé par Alain Damasio était toujours aussi inintelligible et nébuleux pour moi. Cela a d'ailleurs été très frustrant.
Le nombre de personnages (23) n'aide pas non plus le lecteur néophyte à s'approprier le roman. Pour ma part, j'ai eu beaucoup de mal à les dissocier (faisant des allers-retours incessants entre la première page où ils sont présentés et le cours de mon récit) et avoir ainsi de l'empathie pour eux. A la limite, je me moquais complètement de leur sort.
Enfin, le style n'était pas désagréable ni dénué d'originalité mais il alourdissait considérablement l'ensemble.

En conclusion, la Horde du Contrevent a été un calvaire pour moi et pourtant, vous pouvez me croire, j'ai un bon niveau en SFFF. Certes, il s'agit d'un roman très créatif et original mais dont la complexité m'aura complètement dérouté et perdue. Pour vous faire une idée plus positive, je vous conseille, néanmoins, d'aller faire un tour sur les blogs de Gaelle et de Bouddicca.
Lien : https://labibliothequedaelin..
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J'ai acheté ce livre, car il faisait partie des livres conseillés à lire dans sa vie. Quelle erreur !
Style dépassé, lourd, thème totalement ennuyeux.
J'ai tenté pourtant de tenir le coup, en me disant que je devais m'habituer au style complexe, mais pas moyen !
Vous avez des problèmes d'insomnie ? Oubliez les somnifères, ce livre est parfait jour s'endormir.
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Ce que j'ai aimé : Bon, clairement, c'est un OLNI (Objet Littéraire Non Identifié) avec pas mal d'idées et de poésie, notamment tout ce qui concerne le langage autour du vent, voire du langage tout court. A un moment, il organise un tournoi de troubadours, et bon, tout de suite, on voit que Damasio, il en a une grosse…

Ce que je n'ai pas aimé : Ouh, qu'est-ce que je me suis fait chier… Et comme j'ai trouvé ça long comme un jour sans pain… D'abord, il alterne les points des vues des personnages et il y en a beaucoup : d'habitude, ça me rebute pas, mais il symbolise les points de vue par des caractères spéciaux, donc tu dois te reporter à la liste constamment, sachant, que partant d'un point de vue, ce n'est pas forcément le personnage en question qui parle (tu me suis?). Même si tu arrives à reconnaître certains des caractères spéciaux, certains persos interviennent de manière tellement anecdotique que, jusqu'au bout, t'es obligé de faire des reports.
Ensuite, il y a la numérotation à l'envers des pages : ouais, c'est pas grand chose, c'est rigolo, mais putain, quand tu te fais chier, c'est grave déprimant. En plus, comment te dire, c'est un objet dense, très dense, peu maniable.
Enfin, venons-en à l'histoire elle-même. Si Damasio a construit de bons persos, bien caractéristiques, j'ai eu l'impression qu'il ne faisait rien pour qu'on s'y attache, ou au moins, à quelques-uns : ils sont tellement embourbés dans leurs caractères que ça en devient caricatural, même s'il a dû lire pas mal de « Management Magazine ».management magazine Oui, un bon groupe c'est composé de personnalités, bla bla bla : mais ce qui fait avancer le groupe, c'est la manière dont les gens interagissent et changent les uns par rapport aux autres. Or chacun est embourbé dans son « moi et mes lamentations ».
Comme ça, j'ai eu l'impression de me taper une enfilade de short stories où chacun devait vivre sa Légende Personnelle et, au moment où les spotlights sont sur lui, il doit montrer qu'il a la plus grosse. Et il y en a beaucoup. Super…
Enfin, c'est une fin de merde, certes, prévisible depuis les 20 premières pages. Mais quand même, jusqu'au bout j'ai cru que l'auteur ne se laisserait pas aller à la facilité…
En conclusion, je ne te remercie pas, Alain Damasio…C'est bon, tu avais bien prouvé que tu avais la plus grosse, mais moi, les Yngwie Malmsteen, ça ne m'excite pas…
Lien : http://wc.pressepuree.fr/la-..
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Je me lance enfin pour ma toute première critique de livre. Et pas l'une des plus facile, celle de ce fameux roman tant adulé "La horde du contrevent".
Des amis me l'on conseillé, et de nombreuses critiques dithyrambiques m'ont (enfin) poussé à me mettre à la lecture du "chef d'oeuvre", que bien sûr j'ai acheter en format papier sans me poser plus de questions que cela, étant donné qu'il ne pouvait être que bon. Seulement voilà, je n'ai pas aimé. Je n'ai pas été convaincu malgré certains passages qui m'ont paru intéressants.

Premièrement je pense que le livre souffre d'une critique trop élogieuse. Dans ce cas oser dire que l'on a pas aimer "La horde du contrevent" est impensable! En effet le livre étant tellement aimé que si l'on devait ne pas l'avoir apprécié, l'on pourrait penser (de nous, ou soi même) que l'on est incapable de percevoir la majestuosité de cette oeuvre, ce qui remettrais bien évidemment en question nos capacités à percevoir la qualité de l'art. Dés lors, l'on s'en poserait justement des questions tel que :
Suis je incapable d'apprécier ce qui est apprécié par tous?
Suis je un mauvais lecteur?
Aurais-je été incapable de saisir le sens profond de ce roman?

L'art étant quelque chose de subjectif, je pense que tout les regards sur ce roman peuvent être bon à prendre avant de le lire, du moment que l'on arrive à assumer le sien après lecture. Ce n'est pas parce qu'on a pas aimer que l'on est plus stupide qu'un autre. Et puis, avoir son avis personnel est pour moi bien mieux que de suivre celui des autres comme un mouton, ou avoir peur de le donner.

Deuxièmement, je vais évoquer mon ressentit général durant le parcours du combattant que fut la lecture de ce roman, lecture qui fut laborieuse et d'un ennuie infini. J'avais le sentiment horrible qu'aurait un groupe de personnes cherchant a réanimer un mourant. Un regain d'espoir suite a une reprise du rythme (cardiaque), pour ensuite subir une nouvelle crise (cardiaque) nous enlevant soudainement ce bref renouveau d'espoir, pour nous le redonner et nous l'enlever aussitôt jusqu'à la mort ou le rétablissement du mourant. Personnellement pour moi ce fut jusqu'à la mort....
Car oui, si le livre comprend de bons moments et des passages intéressants, mais cependant mal exploités à cause d'une lecture peu agréable, il y aussi des passages imbuvables (Damasio n'est pas un conteur, c'est le moins qu'on puisse dire). Comme par exemple quasi toutes interventions de Caracole... Surtout ce fameux duel avec le vieil homme... Quel horreur!! C'est ici que j'ai commencé à sauter des lignes.
Caracole n'est pas un personnage génial, il est énervant à souhait! Je ferais partie de la horde je vous jure que je lui ferais fermer son clapet!

Troisièmement, le style. Il est pompeux, quasi tout le long du livre mais surtout et encore plus quand notre troubadour s'exprime. La lecture est (selon moi) censée être un plaisir elle doit couler toute seule et non, être laborieuse, ennuyeuse et rester un mauvais souvenir. Trop de passages furent agaçants à mon goût. Tant qu'à lire des textes compliqués autant lire des écrits philosophiques.

Sinon la pagination inversé et les symboles devant chaque paragraphes, sont des éléments inutiles et surfaits, n'ayant pour but que d'attirer le lecteur désireux d'originalité. Quant aux soi-disant texte à 23 voix, ceci n'est absolument pas le cas, y'en a grand max 10 qui s'expriment dont 6 (voire moins) qui ont le réel rôle de narrateur. Cependant le côté "point de vue différent" des protagonistes, autant sur l'analyse du monde qui les entoure que sur les autres membres de la horde est une idée sympathique. Tout comme le point de vue d'une scène décrite par les yeux de l'un ou de l'autre, rajoute de la densité à celle-ci.


En bref, de bonnes idées noyées dans un style pompeux à en mourir.
Une aventure sympathique avec quelques personnages intéressants (mais pas forcément attachants), un combat pour une quête de savoir, un lutte insensée contre le vent à la recherche du mystère du monde, et à la recherche de soi même.
Un voyage qui n'est pas de tout repos, autant pour les personnages du roman que pour le lecteur.

Beaucoup de vent, pour pas grand chose.
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Je ne me suis jamais avancée bien loin dans les terres désolées entre l'Extrême-Aval et l'Extrême-Amont et ce livre ne devrait donc pas se trouver dans ma Babelio-biblio en tant que "lu". Emprunté trois fois à la bibliothèque municipale...rendu trois fois avec un gros soupir, charriant mon agacement.

Quand j'ai ouvert le livre (grand format), j'ai non seulement découvert que la pagination est anarchique, mais que j'allais être obligée de lire ce pavé avec des marque-pages (ou, plus pratique dans ce cas, en collant des post-it) puisque l'auteur a attribué un petit symbole à chaque personnage de la Horde. Minuscules pictogrammes revenant seul ou à plusieurs pour indiquer quel(s) protagoniste(s) étai(en)t mis en avant dans tel ou tel paragraphe et/ou chapitre. Premier soupir pour "¥@&§₩! mais qui-est-qui, nom-d'une-pipe", surtout quand on veut reprendre une telle lecture le soir, après le travail...

Autre geignement après avoir lu une bonne soixantaine de pages (crois-je me souvenir) pour le style de l'auteur : aussi gonflé que le vent qui enfle, enfle... et vous commande de courber l'échine (à un langage ampoulé, trop recherché, n'ayant guère encore du naturel).

Et je n'aime pas ça : courber l'échine !

Avec un grand "clap" (Extrême et définitif), j'ai re-re-refermé ce "chef-d'oeuvre" science-fictif...


(Je remercie Finitysend, sans qui ce billet n'aura pas trouvé son souffle)
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