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C'est du bon, du meilleur, mon meilleur. Tout y est pour dévorer des lignes avec plaisir. Une bonne intrigue, les personnages secondaires et souvent éphémères (cause trucidation) sont pittoresques et surtout très drôles. Dard s'en donne à coeur joie dans ses descriptions (voir Elsa).
Le San A a l'air un peu amoureux et ça c'est nouveau. La belle Sofia lui fait de l'effet. On le connait l'Antoine, il a du mal à cacher ses envies. Pour revenir au taf il faut préciser qu'il est revenu au contre -espionnage après l'avoir délaissé dans le précèdent opus. Enfin Beru fait une courte apparition, mais on l'attend toujours pour une vraie prestation.
Pour le turbin notre Dard 1955 il est meilleur que Nothomb : 5 San A pour cette belle année, celle de ma naissance. Une année prolifique en belles oeuvres.
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1955, un seizième tome bourré d'argot, normal, San Antonio doit infiltrer une bande truand. Une virée dans la campagne du Havre qui ne tourne pas comme prévu. Il se lit vite mais ce n'est pas le meilleur.
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Une vraie intrigue sans Béru, ni les copains, mais un beau portrait de gangsters des 50's.
F Dard s'amuse avec les mots dans ce volume: ça tombe bien, on aime ça!
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16ème San-Antonio, paru en 1955 dans lequel le commissaire est confronté au monde de la vraie pègre de l'époque qu'il va même infiltrer. Un vrai bon San-A
qui tient son lecteur en haleine sur une bonne intrigue policière comme il les construisait à ses débuts.
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Quand je sors d'une lecture décevante, pour me requinquer, ces derniers temps, je me plonge dans une valeur sûre : « San-Antonio ».

Enfin, devrais-je dire : les débuts de San-Antonio. Oui, allez savoir pourquoi, contrairement à la plupart des aficionados de Frédéric Dard, je préfère les débuts de San-Antonio à sa « grande période » plébiscitée par la presse et les lecteurs.

Du coup, puisque ma précédente lecture n'était pas un moment de plaisir littéraire, je me plongeais à nouveau dans l'univers Sanantonien.

Pour ce faire, je dévorais la 16ème aventure du commissaire.

Messieurs les hommes : Savez-vous que la pègre vient de s'enrichir d'une nouvelle recrue ? Et pas une demi-portion, croyez-moi ! du vrai casseur... du qui file la rouste aux caïds de Pigalle... du qui se permet de descendre un flic en plein commissariat. Son nom ? Pour Messieurs les hommes, il s'appelle Bernard Tonacci... Ça ne vous dit rien ? Alors, je vais vous en balancer davantage : à la P.J., ce zigoto est plus connu sous le nom de commissaire San Antonio. Pas de panique... Rassurez-vous, je n'ai pas changé de bord... Mais il faut admettre que tout pourrait le laisser croire au début de ce chef-d'oeuvre.

Et on retrouve avec un grand plaisir notre commissaire San-Antonio qui, pour mener à bien une enquête sur l'enlèvement de spécialistes en nucléaire, décide de se rapprocher du « pourri », un truand souffrant d'eczéma. Pour ce faire, il se fait passer pour un caïd débarqué à la capitale et s'en va se foutre sur la gueule avec le pourri dans un troquet afin de se faire alpaguer avec celui-ci par la Rousse. le plan, une évasion sanglante pour faire croire que c'est un dur à cuire et se faire ami-ami avec l'affreux afin de s'approcher d'un gang de kidnappeurs de scientifiques.

San-Antonio va même participer à l'enlèvement de l'un d'eux et, très vite, les choses tourneront vinaigre, mais c'est toujours le cas avec le commissaire.

Dans ce titre, San-Antonio joue les méchants et se retrouve mêlé à l'histoire qui va très vite partir en sucette. Pour le coup, difficile, pour le commissaire, de faire son boulot et de rester crédible. Pourtant, il s'y attachera du mieux possible, mais cela suffira-t-il ?

Le lecteur n'assistera pas à la meilleure intrigue de la série, bien que la fin puisse surprendre, mais, le tout est agréable à lire et c'est une quasi-certitude que l'on peut avoir avec le commissaire, c'est que même ses moins bonnes aventures sont meilleures que bien des romans policiers.

Au final, c'est toujours un plaisir de retrouver le commissaire San-Antonio et ce n'est pas ce titre qui vous fera penser le contraire. du classique, donc, loin de l'excellence de certains titres de la série, mais dans l'ambiance agréable de la première décennie de l'oeuvre de Frédéric Dard.
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16ème roman de San-Antonio publié en 1955 (dépôt légal 2ème trimestre 1955).

L'histoire se déroule en automne (l'année n'est pas précisée) à Paris, le Havre et ses environs.

Sa mission est d'infiltrer le Milieu afin de surveiller un truand, Paul-le-Pourri.

Ce roman est très moyen : San-Antonio opère toujours en solo. le début du livre est prometteur, mais il n'y a pas trop de suspense et la fin est beaucoup trop rapide. C'est un des moins intéressants de la série. Cela donne l'impression de relire les premiers romans.

Voici les informations concernant le commissaire dans ce livre :
- Travaillait avant à la P.J.
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Le Boss l'avait prévenu, San-A. : « Puisque vous aimez jouer aux durs… » et lui, vous le connaissez, quand on lui dit ça…

On verra donc San-A débarquer dans le troquet de Fifi-les-belles-noix avec l'unique intention de provoquer Paul-le-pourri, déclencher une bagarre et se faire embarquer avec lui dans le seul but de l'aider à s'évader et entrer dans son équipe de malfrats afin de remonter une filière de kidnappeurs de sommités scientifiques dans le domaine du nucléaire… Ouf !

« Messieurs les homme », quinzième volume de la série, un San-Antonio de belle facture : une intrigue élégante et bien ficelée qui se termine par une surprise bien amenée dans les dernières pages.
Pas de Bérurier. Tout juste le voit-on écouter à la porte du Vieux quand San-Antonio est au rapport.
Quelques calembours, utilisation accrue de l'argot … mais pas de digressions surréalistes, peu d'ajouts dans le Kama-Sutra personnel du commissaire… Non, simplement une intrigue bien menée ; du classique…
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