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Je ne savais pas qu'il s'agissait d'une série mais ça n'a pas eu d'incidence sur ma lecture
L'histoire est bien construite avec beaucoup de rythme et sans temps morts.
Des descriptions bien gores qui font que je ne conseillerais pas ce livre à tout le monde.
Un page turner à l'univers bien sombre et captivant
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Bon, après hésitations, je me suis fendu d'un cinq étoiles... et pourquoi pas ? J'ai pris un plaisir immense à cette lecture, et je vais rechercher d'autres livres de cet auteur. Non que l'opus soit exempt de critiques, mais qui est parfait en ce bas monde ?

* le style : un auteur qui n'a pas peur de l'imparfait du subjonctif, ou d'utiliser un vocabulaire recherché, voire suranné, dans la bouche de son personnage Dell'Orso, en contrepoint de Maurice qui lui confond lupanar et... Luna Park !
* Des notations humoristiques, et il en faut dans un livre où il y a pas mal de sang qui coule.
* le début commence in medias res; une scène assez sanguinolente, que l'on comprendra plus tard
* de l'action, encore et toujours : pas le temps de rêvasser !
* On est pris par l'action, même si on connaît la coupable dès le début; cela n'empêche pas de suivre le déroulement de l'enquête
* le dénouement est très bien, car il répond à toutes les questions que l'on pourrait encore se poser (et Orso aussi). Ces explications ne font pas plaquées, mais au contraire soigneusement explicitées.

J'ai pris un immense plaisir à lire cet opus; cela faisait longtemps que je n'avais pas eu entre les mains un polar de cette qualité. de la belle ouvrage !
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Merci aux éditions City pour cette lecture. Ce roman est le premier de Jean Dardi pour moi, et il m'a permis de faire connaissance avec cet auteur tant apprécié sur les réseaux sociaux spécialisés. J'ai donc découvert le commissaire Gio Dell'Orso, commissaire s'il en est atypique puisque bipolaire et brillant. Cet homme particulier et attachant , a su dès les premières lignes me séduire par son charisme, sa droiture et son sens de la déduction très puissant. Vous ajoutez à cela des équipiers brillants , drôles et bruts de décoffrage ,et vous obtenez une équipe déterminée à venir à bout d'un tueur implacable.

L'histoire se développe en alternant les points de vue entre enquêteurs, criminel , et témoins maintenant un suspense présent quant à l'issue de "la chasse". Car c'est sur cela que le mystère porte: jusqu'où ira le tueur ? Se fera-t-il attraper ? Et comment ?

Dans un style simple mais particulièrement efficace, ancré dans la réalité à la fois langagière et de situation, c'est avec délectation que j'ai tourné les pages de ce roman, qui m'a donné envie d'en apprendre plus et de reprendre (à rebrousse-poil) les autres tomes de la série. Comme quoi, un langage à l'occasion fleuri et des personnages nous ressemblant plus que jamais peuvent séduire . Des thèmes durs, sombres entre réalité et folie à l'état pure, ce polar très sombre est à recommander à toutes les bibliothèques.
Lien : http://livresforfun.overblog..
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Il faut que je vous parle de cet auteur que j'affectionne tout particulièrement puisqu'il fait partie des tout premiers auteurs que j'ai découverts avec Les sept stigmates, excellent livre, belle écriture sans fioriture, juste ce qu'il faut pour captiver notre cerveau (pour ceux qui en ont 1 ... c'est pas moi c'est ma soeur hihihi) et que j'avais beaucoup aimé. J'ai forcément enchainé avec Pardon dès sa sortie, que j'avais trouvé beaucoup plus abouti. Chouette il s'améliore !!! 😉
Du coup ben j'ai lu Clivage hein ... obligée !!! Et là ... scotchée !!!
Le ton est donné dès la première ligne ... cet opus m'a littéralement captivée. J'y ai retrouvé avec plaisir un commissaire, toujours aussi bourru, et en mode dépression suite à sa dernière enquête, j'ai nommé Giovanni Dell'Orso bien sûr.
Cette nouvelle enquête va le remettre sur les rails. C'est là qu'il est le meilleur ... quand il poursuit les tueurs en série. Il adore cette poussée d'adrénaline.
On entre donc dans le vif du sujet dès le premier meurtre. Il n'y a aucun temps morts, et les évènements et les meurtres écoeurants s'enchainent. Ouf, merci Jean d'avoir mis certains passages explicatifs pour reposer un peu nos neurones hein 😉 parce qu'il faut le dire, le rythme met nos nerfs à rude épreuve ... pour finir en totale apnée !!!
Cet opus est encore meilleur. Mon Jeannot, tu t'es surpassé. Tu as maintenant la barre très haute, ce qui veut dire que pour le prochain tu vas avoir une sacrée pression je te le dis 😂😂😂

J'ai oublié ... âmes sensibles s'abstenir
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Paris - Des meurtres plus barbares les uns que les autres se succèdent.
Les victimes: des violeurs ou de sales types.
Dell'Orso va devoir pénétrer l'esprit du tueur pour le coincer.
C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai retrouvé Gio Dell' Orso et son équipe dans ce troisième volet qui n'a rien à envier aux précédents.
Il y a toujours la fliquette hyper sexy, l'inénarrable Maurice qui frôle constamment la crise cardiaque en la reluquant et Dell'Orso, l'électron libre.
Jean Dardi ne s'est pas reposé sur ses lauriers , la psychologie du tueur étant très travaillée.
En dévoilant au fur et à mesure son passé, on comprendrait presque ses motivations.
Certaines scènes ne sont pas piquées des hannetons!
L'auteur a de l'imagination et m'a même fait découvrir des pratiques, euh comment dire....., assez spéciales.
Pour les plus frileux, même si l'histoire est noire, pas de panique.
Le tout est allégé grâce à l'humour et l'ironie décapants des protagonistes.
Si vous aimez les esprits perturbés, les intrigues bien ficelées et une touche d'humour, ce roman est fait pour vous.
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A partir du troisième meurtres présentant des faisceaux probants et indubitables d'indices, fortes présomptions aidants et idoines, l'évocation du tueur en série peut alors être lâchée dans la nature pour saisir l'ampleur et l'enjeu qui est en train de se mettre en branle, pour l'équipe du commissaire Dell'Orso, inutile de penser aux prochaines vacances, un long voyage les attend, les limbes de l'enfer déploient ses tentacules pour un cauchemar qui ne fait que ... commencer !

Les apparences sont souvent trompeuses, la première impression est la bonne, se fier à son instinct, a-t-on coutume de dire, que se cache-t-il derrière un sourire de façade, une tenue vestimentaire donne alors des indices dans la personnalité de celle qui la porte, quand vous entrez dans une maison ou un bureau, tout est dans les détails, au premier regard, on doit pouvoir avancer un semblant ou un début de piste pour ergoter ou définir l'occupant, qu'il soit ordonné ou bordélique, le sentiment de se sentir alors sur la bonne voie pour s'adapter, échanger, créer et avancer. Ou pas.

"C'est Docteur Jekyll et Myster Hyde", à l'énonciation de ce célèbre roman de Robert Louis Stevenson (L'Étrange Cas du docteur Jekyll et de M. Hyde), on parle aujourd'hui de personnalité bipolaire, quand l'adjectif aliéné ou l'expression "bon pour l'asile" sont démodés ou péjoratif, la maladie mentale continue de fasciner, dérouter, à la simple entente ou lecture de ces mots dérangeants, des frissons vous parcourent le corps et les terminaisons nerveuses aussi, quand on ne s'attend pas ou appréhende des réactions imprévisibles, Clivage n'est pas le premier ni ne sera le dernier roman à évoquer un tueur en série déstabilisant et violent dans la forme, un bon argument de vente pour attirer tous les lecteurs de thrillers et polars, pour avoir lu tous les classiques du genre et notamment celui par qui tout a commencé, le silence des agneaux de Thomas Harris qui fera ensuite des émules dans tous les pays, force est de constater que le sujet, s'il est épuisé ou presque, suscite toujours des curiosités et des envies d'explorer toujours plus loin la frontière de la folie, des mystères du cerveau humain, jusqu'où et quand, l'imagination des auteurs fait le reste alors est-ce que Clivage est arrivé à tirer son épingle du jeu ? Qu'est-ce qu'il peut apporter dans le fond d'autres innombrables clones du genre ?

J'ai fait la connaissance de l'auteur lors d'un salon du livre en 2017 pour la sortie de Pardon, son deuxième roman après Les 7 stigmates, c'est pourtant un an plus tard à l'occasion de ce même salon que j'ai de nouveau croisé sa route pour cette nouvelle enquête de son personnage fétiche, le commissaire Giovanni Dell'Orso, dans Clivage.
Evidemment, j'étais confus par l'aveu que je n'avais pas pris le temps de lire ses deux premiers livres, l'auteur, Jean Dardi, m'a alors rassuré en me disant que je pouvais tout à fait commencer par Clivage, tant pis pour constater de visu la progression du style d'écriture, l'évolution des personnages, le but est d'arriver à prendre son pied rapidement et par le biais de piqûre de rappel, je me suis vite immergé dans cet univers noir d'une équipe d'enquêteurs de choc affiliée au fameux 36 Quai des Orfèvres, réaliste et contemporain car personne n'ignore que ce haut lieu et célèbre de la police judiciaire française a fait l'objet d'un déménagement depuis 2017 (sauf l'antigang affecté à la Brigade de recherche et d'intervention, en charge notamment de la lutte contre le terrorisme et qui est demeuré dans les vétustes locaux).

Le style est vif, précis comme le scalpel servant à disséquer les cadavres à la morgue (autre terme désuet, Institut médico-légal désormais), l'alternance des points de vue des enquêteurs, des témoins et surtout ce tueur autour duquel il sera vite identifié par le lecteur, pour autant et c'est la différence avec le thriller, il est question d'un véritable polar avec tous les ingrédients que l'on est en droit d'attendre, procédures, récolte d'indices, interrogatoires du voisinage et de la sphère personnelle des victimes puis du présumé coupable, tout le piment de l'exercice ne consistant alors plus de savoir qui se cache derrière celui que l'on va considérer comme un tueur en série mais de participer à un véritable jeu de pistes du chat et de la souris, un rythme qui va prendre un tempo effréné jusqu'à la fin, rien ne vous sera épargné, tant dans la description des scènes sordides et du déchaînement bestial qui en a résulté, dans la tension grandissante et de la pression des hautes instances judiciaires et politiques, pour l'enquêteur en chef et ses acolytes, le compte à rebours a commencé et chaque jour sera l'opportunité de se rapprocher un peu plus de l'arrestation afin de stopper l'hémorragie et les effluves de sang se répandant exponentiellement dans la Capitale, démoralisant et dénaturant tout le paysage urbain et ses attraits touristiques.

La galerie de personnages vaut son pesant de cacahuètes, l'auteur ne se contente pas de les affliger de qualités et de défauts, de secouer le tout dans une boule à neige et advienne qui pourra, la certitude qu'il se passera toujours quelque chose dans cette investigation criminelle compliquée, comme chercher une aiguille dans Paris et ses millions d'habitants, vous l'avez compris, les crimes qui se succèdent crescendo ont pour dénominateur de se dérouler à Paris y compris celui qui va être le théâtre et l'origine du déclencheur, du passage à l'acte, le terminus deviendra rapidement le début d'une cavalcade meurtrière et sanguinaire, l'histoire prend alors des allures de croisière qui va sillonner à travers tout le pays, après les préliminaires, Clivage évoluera dans une phase frénétique, accélération des battements de coeur, impasse et rouerie improbable, fausses pistes et faux semblants, ce qui m'a agréablement surpris c'est la capacité de l'auteur à rendre le tout sans tomber dans le cliché, jamais dans l'à-peu près, ce qui reste ici une fiction peut être le reflet de l'authenticité d'un journal de bord d'un enquêteur hors-norme, au seuil de la crise de nerfs mais pour Dell'Orso, cette traque impitoyable est paradoxalement sa raison d'être, son maître énergie, son leitmotiv à continuer à faire ce métier dangereux, l'adrénaline qui culmine et monte à la tête, les parades et les manipulations pour arriver à ses fins, pour comprendre un meurtrier, il faut commencer d'abord par dominer ses propres velléités, éprouver de l'empathie sans toutefois les accepter ou les pardonner, nuances, le soutien de ses subordonnés, cette touche légère et décalée apporte un petit plus pour éviter de faire de Clivage un roman encore plus noir que noir.

Ces instants de solitude et de temps suspendu avant d'espérer voir sauter un écrou, un rouage qui déflorera exponentiellement la personnalité ambivalente et perverse d'un tueur, ce vrai roman policier démontre une qualité importante pour continuer à lire, l'humanité de ses personnages, sous toute la lumière et ses zones d'ombre, analyser et comprendre avant de juger, réfléchir avant d'agir tête foncée, aspiration dans les veines pour en extraire la quintessence, l'aura, le poids du passé, la connaissance à trouver la faille, la fameuse épine dorsale, si atypique et retors qu'il soit, si vous allez faire la rencontre de charmantes bestioles digne de l'abécédaire du parfait entomologiste, lire un polar c'est un exercice délicat et dans l'équilibre des forces en présence, se laisser emporter par la vague de terreur et de violence cutanée, le poil qui se hérisse, la chaleur qui remplace le froid sépulcral, cette sensation unique qui fait augmenter le taux d'endorphine cher à tous les joggers du dimanche, l'auteur ne joue pas avec des pincettes mais bien avec nos peurs primales, les nerfs seront mis à rude contribution pour suivre les traces de toute l'équipe de Dell'Orso, entre nostalgie des temps anciens liés à l'évolution du temps qui passe, dans l'imbroglio de vies sentimentales dissolues, dans cette fièvre aphteuse imprégnant chacun, l'attente pourra paraître indolente mais rien n'est le fruit du hasard, les détails ne sont jamais superflus, le récit prend, le lecteur souffre avec, le coeur bat la chamade, comprendre les raisons de la colère et de la vengeance qui peut faire basculer le destin de dizaine de personnes, Clivage prouve que les meilleurs romans policiers ne sont pas l'apanage des anglo-saxons, il y a du savoir-faire, la narration est maîtrisée pour embrayer, freiner ou rebondir le récit, un équilibre subtil et déterminant pour aboutir à un dénouement qui en surprendra plus d'un, tout reste à l'état pur et léthargique dans l'apparence du combat entre le bien et le mal, cette limite qui différencie et trompe, pour le meilleur et le pire.

Le titre éponyme du roman, les personnages crédibles pour creuser en profondeur les déchirures, un suspense qui allie et s'imbrique parfaitement dans une machiavélique mise en abîme du tueur en série, pénétrer les arcanes d'un esprit pervers et ambigu, autant d'arguments en faveur d'un polar qui oppresse le lecteur, une ambiance noire où les secrets tapissent au creux des sentinelles agitées, le crime profite-t-il à celui qui le commet ou n'est-ce que le début d'un engrenage terrifiant qui ne pourra prendre fin qu'avec la chute et l'arrestation du meurtrier, comme un orfèvre dans la construction implacable de son oeuvre, l'auteur prend le temps de décrire toutes les ruptures qui peuvent percuter les pensées, dans cette absolue dérive des temps modernes, dans un monde toujours épris de vitesse et de vicissitudes qui animent le quotidien, Clivage prouve que la vie tient à un fil, dérisoire au regard de l'amplitude des mouvements et des rancoeurs qui sommeillent en chacun de nous, la poésie occupe souvent une place particulière dans le coeur des personnes, il n'en reste pas moins, entre deux chapitres, de percevoir qu'il existe toujours un brin d'espoir pour retrouver la paix de l'âme, la force constructive pour trouver la voie de la rédemption, le pardon a encore de beaux jours devant lui.

Publié chez Editions Terra Nova du groupe City Editions, ce troisième roman de Jean DARDI Auteur, est passionnant, suffisamment addictif pour avaler les 400 pages, autant d'heures de plaisir de lecture d'un polar qui fait la part belle aux personnages, une intrigue au cordeau pour saisir toutes les composantes d'une enquête irrespirable, si les notes d'humour ne manque pas pour dénoter une rupture de ton dans la progression du récit, toute l'essence du mal transpire dans les pages pour s'oublier, oser franchir les territoires de la folie humaine et de ses altérations dans le monde des vivants, je vous invite à découvrir cet univers qui propose toutes les inclinaisons du noir, vous êtes prévenus !

Clivage de Jean Dardi Auteur, un polar haletant et magistral !!!
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3ème roman de l'auteur, thriller policier sur les enquêtes du commissaire Dell'Orso du 36 quai des Orfèvres.

Je l'avais entamé il y a un ou deux ans mais j'avais stoppé au bout d'un ou deux chapitres tant la violence était à la limite du supportable.

Finalement, pour le challenge de juin (lire un roman se déroulant en France), je me suis lancée de nouveau dans la lecture. Ayant connaissance des premiers chapitres, il m'a été plus facile de dépasser les violences et de me plonger dans ce thriller bien ficelé.

Même si j'ai compris bien vite de quoi il s'agissait, j'ai adoré l'intrigue bien menée et l'enquête, ce fameux commissaire et sa bande, ce meurtrier vengeur, le récit mêlant un langage ordurier et soutenu, vannes decoiffantes, sensibilité...

Une belle surprise pour moi qui avait peur de ne pas arriver au bout alors que j'ai eu beaucoup de mal à lâcher.
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‼️ UNE BELLE PÉPITE !!! ‼️
Après Les sept stigmates et Pardon, Jean Dardi nous offre un troisième opus captivant et super-addictif ! Mon beau commissaire Gio en a plein les biceps avec ce tueur sanguinaire... Oh la la... il y a de tout dans ce livre, l'action ne manque pas ! Pas de longueurs, de nombreuses intrigues bien menées et surtout, un langage coloré et des expressions dont je me suis bien régalée 🤣😍❤️. Bref, beaucoup d'émotions fortes et plaisir garanti pour les fans de thrillers ! J'ai adoré, bravo Jean Dardi ! Tu mérites bien un retour laudatif
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Après « Les 7 stigmates » et « Pardon », Jean Dardi revient avec « Clivage ». Un page-turner !!
J'ai été captivé. Une histoire sombre, une intrigue bien menée agrémentée d'une pointe d'humour.
On retrouve avec plaisir le commissaire Giovanni Dell'Orso et son équipe.
« Clivage » nous montre jusqu'à quel point la vie ne tient qu'à un fil…
Folie, manipulation, vengeance, vous ne pouvez pas ressortir indemne de cet opus remarquable.

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