Aussi bien, dans cette rapide étude qu'on nous demande et dont le cadre inextensible est impitoyablement limité par les cruelles nécessités de la mise en pages, cette torturante opération où peine dans sa forme trop étroite et souvent disloquée la pensée de l'écrivain, nous ne pouvons qu'effleurer cet immense sujet qui s'appelle l'œuvre de Raffet. C'est à grand'peine que M. Giacomelli a pu faire contenir la nomenclature, d'ailleurs très savamment commentée, des divers éléments qui en constituent l'ensemble : eaux-fortes, vignettes, lithographies, peintures, sépias, dessins, croquis,... dans un volumineux ouvrage de plus de 300 pages.