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Fan de romans historiques, je lis tout ce qui sort sur la seconde guerre mondiale en étant souvent déçue (beaucoup d'histoires d'espionnage très masculines). Pour celui-là, lâchez tout ! Acheté vendredi, je l'ai lu d'une traite en quelques heures. L'histoire est captivante, bien rythmée mais ce que j'ai surtout aimé, c'est l'écriture : fluide, évidente, à fleur de peau des personnages. Tout y est décortiqué : leurs sensations, leurs émotions avec une justesse naturaliste.
Les héros sont attachants : surtout le personnage de l'officier allemand. L'héroïne est surprenante au premier abord mais on la comprend petit à petit. Les personnages secondaires ont été particulièrement soignés.
L'arrière-plan historique n'est jamais pesant même si l'on sent que tout a été vérifié. J'ai appris des choses sur les conséquences de la guerre en Allemagne (franchement les romans sur la seconde guerre mondiale ne s'en occupent pas beaucoup en général) et l'occupation « sexuelle » de la France par les Allemands. En tout cas, jamais de « placards » de dix pages sur les événements de l'époque. Donc l'intrigue passe comme une lettre à la poste tout en étant réaliste.
Le ton oscille entre le tragique (lisez les pages sur l'épuration, mes préférées) et le comique (les relations amusantes entre le curé résistant et sa bonne paresseuse, par exemple).
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Pourquoi ce livre ?

Les romans historiques et principalement ceux qui aborde le sujet de la Seconde Guerre Mondiale, me fascinent, bon surtout s'il y a une jolie histoire à côté. J'ai pu en lire deux cet été et celui-ci et celui qui m'a le plus plus.

L'histoire en deux mots :

Maximilian von Wreden est un officier reconnu, surtout pour aimer les femmes d'un soir. Un petit groupe de résistants va s'intéresser vivement à lui et décide de le piéger sous la forme de Marianne, qui n'y connaît pas grand-chose aux hommes. Celui-ci va tomber radicalement sous son charme, et elle risque beaucoup en faisant ce qu'on lui demande … Et surtout en ne tombant pas elle-même prise à son propre piège sentimental.

Commençons par le petit bémol :

J'ai trouvé le début un peu lourd, je n'ai pas tout de suite compris l'utilité du premier chapitre. Ce n'était vraiment pas clair, et j'ai eu un peu peur pour la suite. Dès que l'histoire est en place et que la fin de ce premier chapitre a donné le ton, je me suis laissé transporter par cette jolie histoire.
Petit bémol aussi pour la fin qui est arrivée bien trop vite en bloc … Il m'a manqué quelques petits détails supplémentaire à la fin du roman.

Pourquoi ce livre m'a beaucoup plu ?

J'ai beaucoup apprécié tout d'abord savoir dès le début comment l'histoire entre Maximilian et Marianne allez se terminer. C'est dit dès la fin du premier chapitre, et tant mieux, car je suis une grande curieuse, et ça ne m'aurait pas étonné de moi-même que j'aille chercher les explications à la fin au cours de ma lecture …

Le contexte est lourd mais plutôt bien décrit, on comprend tout de suite que la fin de la guerre approche et j'ai ressentie la tension palpable du côté allemand. Qui cherche à tout prix à faire peur aux Français en civil.

J'ai fait la connaissance de Marianne ce personnage si fragile au début du roman mais qui veut aider sa patrie coûte que coûte. C'est un personnage qui m'a beaucoup plu. Au fil du récit elle devient de plus en plus forte et j'ai aimé suivre son évolution …
Maximilian lui c'est le personnage que l'on n'a pas envie d'aimer, mais que l'on aime quand même, c'est l'ennemi numéro 1, avec son costume, mais si on y regarde bien c'est d'abord un passionné. Il aime la vie, et n'a pas franchement envie de la perdre à ce « jeu » qu'on lui force à jouer. Petit à petit nous comprenons sa démarche et le fait que lui n'y est pour rien et comme par magie le costume s'envole.

J'ai ré-entendue dans ce livre, la voix de mon grand-père qui me disait : « Tu sais il n'y avait pas que de mauvais Allemands … »

J'ai vraiment aimé suivre ces deux personnages, qui vont se découvrir et qui vont changer en la présence de l'autre.
Mais c'est la guerre et des questions doivent se poser, des affirmations aussi et Marianne et Maximilian vont devoir faire les bons choix.

Les personnages qui accompagnent nos deux personnages m'ont beaucoup plu. Nini, la « cousine » de Marianne qui va la conseiller, l'aider et lui donner beaucoup. Et du côté de Maximilian c'est Ulrich son ordonnance qui m'a touché sans le vouloir, l'homme de l'ombre.

J'ai passé vraiment un magnifique moment de lecture, et oubliant presque, parfois le contexte de ma lecture. Et j'y ai tellement étais plongé, que je ne me suis presque pas aperçue que l'heure de la dernière page sonnait. Et c'est avec un pincement au coeur que j'ai refermé ce beau roman.

Le mot de la fin :

Si vous aimez comme moi les romans sur la Seconde Guerre Mondiale qui change un peu par une romance interdite, que vous voulez faire un bon dans le passé et ces années noirs, et rencontrer Marianne et Maximilian pour retrouver un peu de rose, foncez ! Moi j'ai adoré.

Ma note 4,5/5
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Au moins, on ne va pas accuser la 4ème de couverture de mentir : elle annonce une histoire d'amour et on a bien droit à une histoire d'amour. Dramatique puisqu'elle se tient en 1944 à Paris, alors que l'occupant s'agite, fébrile à la perspective d'un débarquement annoncé. La résistance décide d'envoyer la jeune Marianne, encore presque vierge dans les bras d'un officier du renseignement allemand amateur de femmes... L'occasion d'un coup de projecteur sur ces femmes qui ont donné leur corps pour leur pays sans forcément en obtenir une grosse reconnaissance. Bien sûr, rien ne se passe comme prévu, l'amour s'en mêle et complique sérieusement les choses... Mais j'en espérais un peu plus, parce que le contexte historique se prête à approfondissement tant au niveau de la psychologie des personnages que des enjeux complexes des deux camps. Bon, l'histoire donne matière à un roman fluide, qui se lit vite. Mais, à aucun moment on n'a l'impression d'apprendre quelque chose ou de faire face à un point de vue inédit. Ce qui laisse finalement une vague impression d'inutilité. En tout cas, moi qui ai lu un grand nombre de romans sur la période, je suis restée sur ma faim et en plus, je n'ai ressenti que peu d'empathie à l'égard des personnages. Bref. A réserver aux grands amateurs de romans d'amour et de passions impossibles, ils y trouveront leur compte.
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En mai 2012, Sebastian von Wreden a râté ses examens. Il assiste à un match de foot et se fait agresser. Sa mère, déléguée du gouvernement fédéral à l'écologie, l'a élevée seule et décide de l'envoyer chez sa grand-mère pendant six semaines. Entre les deux femmes, les rapports ne sont pas au beau fixe.

La grand-mère distille chaque jour des photos pour Sebastian. Elle décide de se confier sur l'histoire de sa vie avant de mourir.

Ne partir avec aucun à priori, soit l'Allemand, c'est le mal. Tous, bien qu'investis d'une mission, obéissaient aux ordres et n'étaient pas forcément d'accord avec la politique d'Hitler. C'est donc l'histoire d'amour entre un Allemand et une jeune Résistante qui doit lui soutirer des informations. Une histoire d'amour pleine de rebondissements car l'amour n'est jamais facile selon les personnalités, le contexte.

Lui tombe très vite amoureux et ne peut pas se passer de Marianne. L'auteur nous le démontre rapidement. D'ailleurs, il ne sait pas se comporter face à elle. Il en oublie même ses bonnes manières. Mais Allemand, il reste toujours sur le qui-vive. Pour ne rien gâcher, l'auteur nous le décrit comme extrêmement beau, attirant. le lecteur l'imagine aisément. Maximilian est très bavard, mais sur le sujet intéressant pour Marianne, il ne dit rien. Il semble sûr de lui mais ce n'est pas le cas. Il est terre à terre, a peu confiance en lui, peut se mettre en colère très rapidement, comme être doux comme un agneau. Et même s'il apprend l'art de l'amour à Marianne, il souhaite tout savoir sur elle car il est indécis, ne veut pas être humilié à nouveau, veut avoir un endroit où il sera accepté tel qu'il est et c'est ce qu'il recherche auprès d'elle.

Marianne, quant à elle, se sent abandonnée par les siens. Elle attend des signes car les ordres, elle les connaît. Avec Marianne, Nini, on se rend compte que ces jeunes femmes sont partagées entre plusieurs sentiments. Aider leur pays coûte que coûte, ne pas passer pour des filles faciles, passées à l'ennemi, malgré les regards des Français, mais il faut bien vivre, manger et les petits cadeaux faits alimentent un quotidien constitué de privations constantes. Alors doit-on les juger ? Non ! Elles ont besoin d'être soudées, de se procurer de l'affection, de s'entraider. Marianne est moins exubérante que Maximilian même si elle n'en pense pas moins, même si elle trouve qu'ils ont de nombreux points communs, mais elle est obligée de ne pas s'épancher, de refouler les sentiments qu'elle ressent de plus en plus pour lui. Au désespoir, elle doit accomplir sa mission. Et puis, elle est sûre qu'il n'y aura aucun avenir après la guerre qui est sur le point de finir. L'Allemagne semble en déroute et la France attend d'être libérée. le passé lointain et proche est également tenace. Marianne ne se laisse pas faire, elle a le sens de la répartie. Malgré la peur, elle passe outre.

L'auteur met des mots justes sur les sentiments, sur ce qui peut paraître improbable, sur Paris en attente d'être libérée, sur la vie qui doit continuer malgré tout et même après la libération du côté allemand et du côté français. Tout doit être reconstruit. Outre le matériel, ce sont aussi les familles, les êtres humains. Il n'y a aucune leçon donnée. L'auteur nous fait aimer ses personnages, ils sont vivants, je n'ai eu aucune peine à les imaginer, tout comme les situations. Comme dans tout bon roman, rien n'est facile, le lecteur vit avec eux, prend part à l'histoire. La plume est vive. Toutefois, j'ai été déstabilisée, à un moment donné, devant revenir en arrière car je pense qu'une partie n'aurait pas dû se trouver à cet endroit-là. L'humour, malgré la situation, est également présent, surtout lorsque Nini juge Marianne et également lors de la rencontre entre les deux jeunes gens. le style est entraînant avec la vie parisienne de nuit, où tout le monde se côtoie, les occupants et les assiégés.

Ce qui ne nous tue pas… est la belle histoire entre Marianne et Maximilian.
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D'entrée de jeu, la quatrième de couverture pose les limites de cette histoire. Il est allemand. Elle est française. Leurs pays se font la guerre. Conclusion, leur histoire semble impossible. Alors dès le résumé, on imagine l'éternel scénario d'une idylle déchirante qui balance entre la cruauté des sentiments et la raison, mais qui se finira de toute façon par un happy ending. Bien sûr, le flair du lecteur est bien aiguisé, ou du moins bien conditionné, on sait que la relation des deux personnages principaux est "un peu plus" qu'une simple histoire de passage. Mais étonnamment, l'auteure décide de casser les codes et nous livre l'issue de l'histoire avant même que cette dernière ne débute.

La première scène se déroule de nos jours et zoome sur le petit-fils de Maximilian. Dès ces premières pages, on capte l'influence de la France sur cette famille allemande, dont la jeune génération porte les prénoms les plus communs : Charles, Philippe, Brigitte, Annette. Dès le départ, on sait que Marianne et Maximilian ont fondé une famille ensemble et ont vécu heureux. L'intérêt de l'intrigue est donc bien plus subtil que ce qu'on aurait supposé. Puis, d'un coup c'est le flashback. A la façon dont ces souvenirs sont amenés, j'ai eu l'impression de revoir l'une des premières scènes de Titanic, au moment où les portes s'ouvrent sur la réalité de l'époque. J'ai entrevu ce même charme nostalgique qui m'a emporté dans les heures noires des années 40.

J'ai aimé cette histoire justement parce qu'elle ne tombe pas dans la facilité de l'ultra édulcoré. Dès le départ, le personnage de Maximilian laisse entrevoir le visage d'un homme, pas d'un allemand, pas simplement d'un ennemi, mais d'un homme qui comme tout un chacun a des sentiments. Contrairement aux textes écrits sous certaines plumes vengeresses, Carole Declercq casse les clichés en démontrant très clairement que non, tous les allemands de cette période n'étaient pas pro-nazi et oui, certains désapprouvaient leur gouvernement, parfois même très ouvertement et quitte à se mettre en danger. D'ailleurs, l'auteure ne semble pas porter de jugement sur le contexte historique. le texte ne transpire pas la haine pour le peuple allemand comme je l'ai souvent lu dans les romans qui traitent de la Seconde Guerre Mondiale. Elle écrit des faits, des sentiments de manière objective.
A l'image du symbole dont elle porte le nom, Marianne incarne la droiture et est même prête à faire une croix sur ses sentiments pour défendre sa patrie. Bien au delà de la simple allégorie de la République, Marianne en tant qu'individu évoque une nouvelle forme de liberté dont j'apprécie la spontanéité.

Pour un premier roman, je suis épatée par habileté avec laquelle ce récit a été construit. Carole Declercq a un phrasé très fin qui manie l'ironie avec délicatesse. J'aime cet humour un brin frivole qui dédramatise le contexte ; et cette manière de conjuguer l'ardeur et la passion sans jamais tomber sans la séduction forcée. Et pourtant elle s'attaque a un registre émotionnel très dur : le patriotisme, la honte, la culpabilité, l'honneur, la trahison... J'ai vraiment eu le sentiment qu'elle a mis toutes ses tripes pour écrire cette histoire et c'est rondement mené. Par ailleurs, je trouve le partie-pris de dévoiler l'issue de l'histoire intéressante car il ouvre le champ des possibles. Certes dès le départ on sait qu'ils vont finir ensemble, mais l'intérêt est de mettre en lumière chacun de ces destins particuliers, de montrer qu'avant d'être un couple Maximillian et Marianne sont un homme et une femme que leurs idées séparent. La clés pour le lecteur n'est pas de se concentrer sur l'histoire d'amour en elle-même mais d'aller plus loin, de creuser dans le registre des émotions, de la passion., de l'introspection. C'est ce qui nous tient en haleine jusqu'au bout et c'est ce qui fait toute l'excellence de ce roman.

En deux mots, c'est un tourbillon d'émotions contradictoires qui nous emporte. Je ne peux que conseiller ce roman et j'attends la rentrée littéraire avec impatience !

MA NOTE

19/20

Immense Coup de coeur !
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J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. le début est long, tout est lent à se mettre en place et on se demande même quand va arriver la "vraie histoire". C'est vers la 80ème page que j'ai commencé à apprécier. le personnage principal entre enfin en scène et on se demande si elle va réussir, comment elle va gérer tout ce qu'on lui demande, et surtout, on se demande comment ça va se terminer...

C'est une belle histoire d'amour qui commence sous nos yeux mais bien trop détaillée à mon goût. Au fil des pages, je me suis attachée à Marianne, un jeune femme fragile mais qui veut à tout prix réussir sa mission pour son pays. Mais en réalité, elle n'est pas si fragile et son personnage évolue au côté de cet officier allemand qui m'a plus ou moins attendrie.

J'ai beaucoup aimé les pans légers de l'histoire de France. L'auteur parle des derniers mois de la seconde guerre mondiale, elle nous fait ressentir toutes les tensions qu'il peut y avoir autant du côté français que du côté allemand. Je n'aime pas les romans historique en général mais celui-ci est léger car il traite surtout d'amour ; de l'amour impossible entre une française résistante et un officier allemand.

J'ai apprécié la fin, elle est légère et nous laisse imaginer une suite...

Concernant l'auteur, je trouve qu'elle a un très beau style d'écriture et on voit très bien qu'elle s'est vraiment documentée sur cette période historique, on dirait même qu'elle y était et qu'elle nous fait revivre des moments de sa vie. Elle a su retranscrire les évènements, les doutes et les espoirs de chacun des 2 camps.

Merci à Carole Declercq de m'avoir confié son livre.
Lien : http://leslecturesdemaryline..
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le 12 mai 2012, Sebastian von Wreden se fait agresser par des hooligans à la fin d'un match de foot. Bilan : des côtes cassées et le visage salement amoché. Sa mère, haute fonctionnaire au gouvernement fédéral allemand n'ayant pas le temps de s'occuper de lui, décide de le conduire à la demeure familiale. Sebastian, connaît très mal sa famille, les relations entre sa mère et sa grand-mère étant très tendues.

Constatant le désir de Sebastian de mieux connaître sa famille, sa grand-mère, Marianne, lui raconte son histoire. Une histoire qui nous transporte à Paris pendant la deuxième guerre mondiale.

La suite de ma chronique sur le blog. Cliquez sur le lien ci-dessous
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J'ai souvent une attirance pour les livres évoquant la seconde guerre mondiale. Je pense que c'est un pan de l'Histoire important et qui a changé beaucoup de choses pour nous maintenant.
Alors quand l'auteur m'a proposé son livre, je ne pouvais pas y résister. Je la remercie donc beaucoup pour cette générosité.
On entre donc dans l'histoire de Nini, Marianne et Maximilian par la petite porte, celle qui était difficile à ouvrir car elle cachait certains actes dont on ne voulait pas entendre parler. Pourtant, le thème central de ce livre est un amour inconditionnel.
Au cours de ma lecture, j'ai pensé que Marianne avait un courage hors du commun et qu'elle faisait preuve d'une grande maturité...J'ai aimé cette lecture car l'auteur nous démontre que tout est possible et que la confiance peut exister même dans ces périodes de guerre si compliquées. Il faut garder l'espoir que tout le monde n'est pas mauvais...
J'ai un coup de coeur pour ce livre car on porte un regard différent sur ce que pouvait être la vie quotidienne durant cette période.
L'auteur a une très belle écriture qui nous emporte vite avec elle dans le tourbillon de l'année 44. J'ai été happée par l'histoire et je ne l'ai pas lâché jusqu'au bout ...j'ai trouvé la fin géniale car s'il s'était produit l'inverse cela m'aurait énormément attristée !!!
Lien : http://leslecturesdelailai.b..
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Ce qui m'arrive très rarement, j'ai dévoré ce livre. Dans le premier chapitre, on s'ennuie un peu car on ne voit pas très bien où veut en venir l'auteur. Mais ensuite, lorsqu'on s'y plonge, on n'a plus envie de le quitter. On nous montre dans ce roman que la deuxième guerre était pénible. C'est une ode à la résistance mais c'est aussi une histoire qui nous montre que dans les deux camps, il y avait des bons et des méchants.
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Une histoire d'amour dans l'Histoire, sur fond de résistance pendant la 2nde guerre mondiale, en 1944.
Marianne, jeune étudiante de 21 ans, est recrutée par la résistance pour séduire un officier allemand, membre de l'Abwehr (service de contre-espionnage). Jeune femme prude, Marianne n'a que peu d'expérience avec les hommes mais elle est bien décidée à relever le défi. Cette volonté de mener des actes de résistance, elle la tient d'un spectacle désolant qu'elle a vécu au début de la guerre.
Sa première mission de résistante est de séduire l'officier Maximilien von Wreden afin de soutirer des informations sur la riposte prévue par les allemands concernant le débarquement des alliés. Maximilien von Wreden a la réputation d'enchaîner les conquêtes. Or, afin de remplir son rôle, Marianne devra faire en sorte que leur relation s'installe dans le temps.
La relation entre la résistante et l'officier allemand va prendre un tournant inattendu. Les deux amants seront confrontés à un dilemme : ils s'aiment alors que tout les oppose. Qu'en sera-t-il de leur avenir ?
Pour le dénouement, je vous laisse le plaisir de le découvrir en lisant le roman. Un livre à dévorer sans attendre.
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