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3,78

sur 2626 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Pourquoi je n'ai pas aimé ce roman... Autant dire que si mes états d'âme de lectrice vous indiffèrent, ce qui serait tout à fait compréhensible, autant arrêter votre lecture ici.

Je n'AIME pas quand un auteur forge sa notoriété sur une idée originale... d'un autre auteur ! Or, "la Bicyclette bleue" est un cas d'école en la matière. Transposition à peine masquée de la trame du célèbrissime et brillantissime "Autant en Emporte de Vent" de Margaret Mitchell pendant la Seconde Guerre Mondiale et l'Occupation. Sauf que de mon point de vue, une Léa Delmas n'aura jamais le charme diabolique ni le tempérament d'une Scarlett O'Hara.

Je n'AIME pas quand le lecteur est invité à être attentif au moindre battement de cil d'une héroïne qui se révèle être une pimbêche capricieuse et égoïste.

Je n'AIME pas la facilité.
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Je n'aurais jamais lu ce roman sans challenge lecture Babelio, je l'avoue, et je n'en connaissais strictement rien, excepté qu'il y avait eu une adaptation avec Lætitia Casta. Mais si je m'étais attendue à lire une pâle copie d'Autant en emporte le vent...

Certes, l'histoire se passe en France, près de Bordeaux, et commence à l'aube de la Seconde Guerre Mondiale, et les Delmas sont vignerons - et déjà l'on sent les points de rapprochement possibles -, mais que ce soit l'intrigue ou les personnages, bien que leurs noms aient changé, l'on entre en un grossier plagiat : Léa Delmas, en effet, jeune fille de dix-sept ans aux nombreux prétendants, découvre que celui qu'elle aime, Laurent d'Argilat, va épouser sa cousine, Camille. A l'annonce de cette nouvelle, alors que la fête bat son plein chez les D'Argilat, l'on apprend que c'est le début de la guerre, et Léa rencontre François Tavernier, homme mystérieux, à la fois attirant et repoussant pour la jeune femme. Cela ne vous rappelle rien ?

Cet aspect ne m'a déjà pas facilité la lecture, mais comme l'on est de plus bien loin de la qualité romanesque de la fresque de Margaret Mitchell, qui, malgré certains éléments qui m'ont dérangée, reste un grand roman, aux personnages riches et à l'atmosphère historique particulièrement réussie, je n'ai pas franchement apprécié grand chose de cette Bicyclette bleue. Les personnages, Léa Delmas en tête, sont vraiment superficiels et fades, et comme rien de l'intrigue ne m'a surprise - étonnant, non ? -, je me suis franchement ennuyée. Évidemment, je ne lirai pas la suite...
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Que le début de ce livre m'a fait bouillir d'indignation !
Cela faisait très longtemps que j'avais envie de découvrir cette saga populaire qui avait suscité une controverse juridique en raison de sa ressemblance avec Autant en emporte le vent, mais était ressortie innocentée. Innocentée par les juges peut-être, mais par le bon sens ? Sûrement pas !

Oui, les 10 premières pages SONT un décalque du début d'Autant en emporte le vent, que ce soit des personnages, des circonstances ou même de certains détails qui n'apportent rien de spécial à l'histoire.
J'en frémissais littéralement d'exaspération.

Quand je me suis décidée à le reprendre, en prenant de la hauteur, l'histoire m'a plutôt plu, sans plus.
Elle a un côté feuilleton, drame léger, qui rend addict tout en n'étant pas inoubliable.
Je n'ai pas réussi à m'attacher à Léa, l'héroïne, en grande partie parce que l'auteure a très mal travaillé la psychologie des personnages. Copier-coller des personnalités c'est une chose, mais encore faut-il donner de la profondeur aux caractères, justifier les réactions…

D'autant plus que la comparaison que l'on ne peut s'empêcher d'opérer entre les deux romans se fait au détriment de la bicyclette bleue. J'ai évoqué la psychologie des personnages, il y a aussi le style, le décor historique… de ce point de vue, La bicyclette ne semble qu'une copie bien fade de l'oeuvre de Margaret Mitchell.

Comme ce roman est léger et a un bon rythme d'action, ma lecture fut plutôt un bon moment, passé le choc initial.
Ce fut à certains moments amusants de comparer les personnages et les situations de leurs originaux, même si globalement cela fait plutôt mal au coeur.
Les côtés historiques sont plutôt sympathiques, même si un peu trop romancés.

Une bonne lecture d'été, mais que je ne recommande pas aux lecteurs fans d'Autant en emporte le vent, il faut encaisser le choc...
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Désolé maman, je sais que c'est ton livre préféré mais j'ai eu du mal à le finir et je m'y suis repris à plusieurs fois.
Le rythme du roman m'a donné le plus de problème, c'est vraiment très lent avec beaucoup de détails sur la vie quotidienne dont franchement je n'en avais rien à faire. Ce genre de roman contemplatif décrivant une époque ne m'intéresse pas souvent.
Donc j'ai eu des difficultés à entrer et à rester dans l'intrigue, mais aussi à m'accrocher aux protagonistes, enfin à Léa, personnage centrale. JE vais paraître rude mais ses choix, ses amours, son destin, à aucun moment je m'en suis vraiment soucié. Alors forcément comme elle est le coeur du roman, dont sa vie et celle des autres durant la seconde guerre mondiale, font de Léa le centre du monde. Si je n'arrive pas à être envouté par quoi que ce soit, c'est l'ennui qui m'envahit.

Je comprends parfaitement pourquoi ma mère l'aime. Des amours de jeunesse dans la paille qui font rêver, une jeune femme de la campagne douce et belle confrontée à la dureté et à l'horreur de la guerre. Une époque qui me paraît lointaine quand ma mère a dû entendre de ses parents « nous quand on avait ton âge c'était la guerre alors tu fini ton assiette », ainsi que des descriptions de paysages qui imprègnent les pages.
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J'ai lu le premier tome avec un certain plaisir. J'avais 17 ans, le même âge que l'héroine. Mais au fur et à mesure des tomes, je me suis lassée pour m'arrêter définitivement au 3ème tome.

J'avais l'impression que l'auteur prenait un malin plaisir à décrire en détail les scénes particulièrement violentes. Je sais qu'il ne faut pas se cacher les yeux sur ce qui s'est passé durant cette affreuse guerre, mais ce n'est pa ce que je recherche dans mes lectures...
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Que dire de ce livre. Quand je l'ai lu j'ai trouvé beaucoup de ressemblance avec autant en emporte le vent mais à l'époque de la seconde guerre mondiale. Je l'ai lu d'une traite. Très bien écrit.
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La première chose qui m'est venue à l'esprit quand j'ai lu à 17 ans La bicyclette bleue, et qui est restée prépondérante depuis, c'est "Copie conforme!!!!!". Je me souviens avoir été très choquée dès les premiers paragraphes de reconnaître précisément l'intrigue et les personnages, dans les moindres détails d'Autant en emporte le vent que j'avais lu quelques mois auparavant. J'étais outrée de cette liberté qu'avait prise Régine Deforges de plagier une oeuvre aussi importante.
Heureusement, à partie de la deuxième moitié du livre, Léa et Scarlett prennent des chemins un peu différents et Léa affirme son propre caractère. Elle est bien plus délurée et libre que "Mâme Scarlett.". Mais bon, autre temps, autres moeurs.
Cette histoire de plagiat m'a beaucoup gâché le plaisir de ce roman mais j'ai réussi à continuer et il faut bien avouer que Régine Deforges a rendu son récit vivant et ses personnages attachants. Elle a aussi réussi à me faire lire la suite.
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J'ai un mal affreux à faire cette critique...
Léa Delmas, l'héroïne, non... le personnage principal de ce roman est infect.
Elle est belle et le sait et s'en sert pour obtenir ce qu'elle désire de tous ces mâles qui lui tournent autour...
Elle finit par se trouver un semblant de courage au milieu de cette guerre infâme, mais n'est malgré tout qu'une sale gamine têtue, capricieuse et égoïste...
Cependant, le côté fresque historique est plutôt bien décrit et on s'y plonge facilement...
Peut-être que sans Léa Delmas, cela aurait été un bon roman...
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La première fois que j'en ai entendu parler, c'est quand il y a eu une adaptation télé avec Laetitia Casta en 2000. J'ai alors mis le livre dans ma liste de classiques à lire. Je m'attendais à une fresque historique... mais en fait c'est un roman à l'eau de rose...
Certes la guerre est bien décrite, on s'y croirait. Mais le personnage principal, Léa, rend l'histoire pénible tellement elle est arrogante et dévergondée. Pour le coté historique je lirais bien le tome 2 mais je crois que je ne vais pas y arriver parce que les personnages m'agacent. Et puis à plusieurs reprises, ils se rencontrent par hasard au milieu de nulle part: pas du tout crédible. Bref j'ai été déçue.
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