Si Liiro affectionnait la solitude, la mort des siens avait accentué cet état. Il était réticent à évoquer la vie qu’il a menée avant son périple. Dans le silence de son cœur, il gardait un profond attachement à Vinö qui avait affronté l’hostilité de son village en acceptant de l’élever lui, un enfant rejeté en raison de l’atrophie de son bras et de sa main.