Dieu que j'ai insisté , jusqu'à la moitié du livre - 1 - , mais là, franchement , arrivée au chapitre 17 , il me faut abandonner . Impossible de poursuivre la lecture de ce livre qui m'a pourtant été conseillé par deux personnes dont j'apprécie en général les goûts de lecture (et voici donc pourquoi j'ai insisté ! ).
Virginie d'a de l'esprit , elle peut être parfois drôle , elle peut avoir parfois un regard parfois incisif sur la société , elle a une plume facile . Donc pour résumer : elle est , sans problème , capable de faire des lignes et des lignes , des pages et des pages , mais non !!!!
Au moment où Pamela nous raconte son passé d'actrice du porno , où l'on nous explique que son ami Daniel fut anciennement une femme , là j'ai dû arrêter ! Je ne supporte pas cette sorte de complaisance que déploie Virginie d'envers tous les métiers du sexe , que dis-je complaisance, il s'agit de passion d'intérêt totalement exclusif. J'en éprouve définitivement une répulsion. Les relations humaines sont évaluées à l'aune d'une dureté , d'une superficialité et d'une vulgarité qui dépassent toute mesure .
Au tout début l'histoire de Vernon était supportable mais ensuite l'obsession m'a-t-il semblé de Virginie d'a pris le dessus… elle recueille un très grand succès, tant mieux pour elle !
… Ah comme cela fait du bien parfois de donner quelques coups pieds bien sentis dans la fourmilière de l'approbation apparemment quasiment universelle…
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J'éprouve de grandes difficultés à comprendre le succès de Vernon. Je retenterai peut-être une lecture. mais la première ne m'a vraiment pas convaincu.
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