Les conséquences de la grande dépression, la spéculation immobilière, les syndicats et leurs relations avec la mafia, le théâtre, et même la poliomyélite et les poumons d'acier... encore une fois,
Canales n'y a pas été avec le dos de la cuillère concernant les sujets typiques des USA dans les 50's abordés dans son scénario, au risque hélas, encore une fois, de me perdre. Au risque également de survoler ses thèmes ! La mafia des belettes, par exemple (idée sympathique s'il en est), ne sera vue qu'une seule fois pour ne jamais réapparaître ni dans ce tome, ni dans sa suite.
Ayant trouvé plus d'une fois que
Canales voulait trop en faire en 56 pages, j'étais curieux de savoir ce que donnerait une histoire en deux tomes.
Je suis content d'avoir pu enchaîner les deux d'affilée car je dois dire que si j'étais resté en suspens à la fin du premier, je serais resté sur ma faim, ce tome ne donnant aucune réponse et ne laissant au lecteur que des abîmes de perplexité.