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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
The cat is back !

Bonne nouvelle, c'est un nouveau Blacksad.
Mauvaise nouvelle, c'est un diptyque.

C'est toujours un moment de joie, de bonheur, de félicité ineffable que de retrouver notre matou dans les pires emmerdes qui soient.
Ici, la protection délicate d'un président de syndicat infiltré par la mafia.
Si la tâche s'avère ardue, l'ambiance tendue ne le reste jamais bien longtemps avec Weekly, comparse attitré en charge d'équilibrer le yin et le yang à sa sauce. Élément culinaire qu'il maîtrise à la perfection.

Le récit fait la part belle aux malversations en col blanc.
On reconnaît aisément la patte dévastatrice de Juan Díaz Canales flanqué d'un Guarnido Juanjo des grands soirs.
Un anthropomorphisme qui laisse toujours pantois et toujours cette faculté d'accoler l'animal adéquat au personnage esquissé.
Du grand art.

To be continued...
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Notre chat préféré, détective privé de surcroît, est de retour après une longue absence. C'est un plaisir de le retrouver dans de nouvelles aventures qui vont le plonger dans le coeur de la politique d'une ville entre pouvoir et compromission.

Je suis toujours en admiration devant ce dessin qui est vraiment unique en son genre. Les animaux paraissent tellement humain que cela en devient tout à fait surprenant. C'est pour moi la quintessence de l'art de la bande dessinée. On atteint une sorte de perfection au niveau du dessin qui reste un vrai régal pour les yeux.

J'ai bien aimé ce nouveau scénario ainsi que la profondeur des personnages à commencer par la directrice d'une troupe théâtrale à savoir Iris Allen. On va également faire connaissance avec un aigle pas très commode qui impose une domination urbanistique sur la ville. Cette cité va presque devenir un personnage à part car c'est la thématique principale de ce nouveau diptyque dans l'enquête de Blacksad.

Bref, il y a tout une ambiance et un souci du détail qui font la différence par rapport à d'autres séries. Blacksad, c'est le calibre au-dessus. C'est une lecture que je qualifierais d'indispensable pour tous les amoureux de la bande dessinée. Beaucoup y prendront du plaisir.
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Il y a quelques auteurs de BD dont j'ai conservé l'envie de suivre les séries. *
Blacksad, commencé en 2000 en fait partie.
Il eût été dommage de s'arrêter alors que ce sixième tome et le septième à suivre semblent clore la série.

Blacksad, le chat qui a du chien, est l'archétype du détective américain, sombre et désabusé.
Il traîne sa silhouette dans une ville américaine gangrénée par la mafia.

Guardino sait donner des airs plus qu'humains à ces animaux qui menacent, s'étonnent, boudent, expriment leur quant-à-soi.
On peut se demander si, comme chez La Fontaine, les animaux ne sont pas plus appropriés pour raconter la vie des hommes.

Parfois, il arrive que l'on décroche du scénario à cause des dessins si riches et captivants.
Je râle souvent lorsque l'on divulgâche, mais ici je remercie Marina 53 de m'avoir permis de “m'accrocher” à l'histoire.

J'ai attendu pour lire ce tome que le 7 paraisse… chronique à suivre.
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Alors il est comment le dernier Blacksad ? Il est superbe !

J'en ai profité pour relire les cinq précédents et le cinquième (Amarillo) était un peu faiblard tant au niveau du scénario que du dessin. Mais après de nombreuses années d'attente, le duo d'auteurs nous a concocté un retour de premier ordre :
Blacksad est revenu à New York et se voit mêlé à de sombres histoires d'urbanisme, de corruption, de syndicats et de mafia. Dans les parages, il y a toujours son pote Weekly. Et en toile de fond, une troupe de théâtre qui met en scène des pièces de Shakespeare dans un parc de la ville.

Les planches sont superbes et les auteurs ont le don de trouver les animaux qui collent parfaitement aux personnages. L'histoire est bien ficelée et beaucoup moins brouillonne que dans l'avant dernier.
Bref j'ai hâte de lire la suite puisque cet épisode sera en deux tomes.
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On peut dire que je n'osais pas trop l'espérer, ce 6e tome de Blacksad, il s'est fait attendre! Et moi qui l'ai acheté à sa sortie, j'ai mis un temps infini avant de le lire...
Mais bon, c'est maintenant chose faite et c'était, à nouveau vraiment très très bien. Histoire prenante, bien rythmée et bien construite.
Dessin impeccable, d'une maitrise technique incroyable et servi par une mise en couleurs irréprochable.
Je salue une fois de plus le talent animalier de Guarnido qui arrive à exploiter les caractéristiques des animaux à la psychologie des personnages qu'ils campent.
Un chef d'oeuvre, encore...mais pour la première fois les auteurs nous imaginent un diptyque.... Attendre, donc...pfff
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Huit ans que j'attendais une nouvelle aventure de John Blacksad et la voilà enfin !
Une fois n'est pas coutume, c'est une histoire en deux tomes que nous proposent les virtuoses Juan Díaz Canales et Juanjo Guarnido. La mise en place de l'intrigue prend donc du temps, entre personnages à présenter et liens à tisser. Et c'est aussi bien car Canales a multiplié les fils narratifs, pour notre plus grand plaisir !
Un petit côté "Brooklyn Affairs", des clins d'oeil historiques, quelques piqûres actuelles (metoo est passé par là) et références à des chansons, des tableaux et des pièces de Shakespeare, on ne sait presque plus où donner de la tête. Il faudra bien deux tomes pour comprendre les tenants et les aboutissants de cette affaire !
Côté dessin, Guarnido livre quantité de scènes de foule, d'action et de personnages singuliers (arrivée d'un lama et d'une chauve-souris notamment, qui ne faisaient pas encore partie du bestiaire) : on en prend plein les yeux.
Seul bémol, cette couverture un brin racoleuse : pourquoi dessiner Blacksad avec une arme alors qu'il n'en utilise pas dans l'histoire ?
C'est en plein suspense que nous laisse cette première partie, et on attend avec d'autant plus d'impatience le second opus...
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Une série culte où j'attends toujours le prochain opus avec impatience et délectation. Je m'en lèche les babines d'avance ! (oui, bon on se calme !). J'adore l'univers de Canales et de Guarnido. Aussi bien les scénarios que les dessins. Je suis cette série depuis le 1er tome.

Cette fois John BLACKSAD va devoir affronter des hommes de pouvoir, pourris jusqu'à la moelle, aider les travailleurs du métro, et venir en aide à Iris ALLEN, directrice d'une troupe de théâtre. Des meurtres seront commis, des chausses-trappes tendues, où John BLACKSAD aura bien du mal à tirer son épingle du jeu. Et la fin, laisse place au suspens…

Je ne suis pas déçue avec ce nouvel album. Je crois même qu'il a gagné en intensité.
Le seul bémol, c'est qu'il va falloir patienter pour connaître la suite de cet épisode. Miaouuuuuuuuuuuuu !!!! Et oui, nous ne sommes pas dans une série télé où les épisodes se voient les uns à la suite des autres, où le charme n'opère plus, puisqu'il n'y a plus d'attente entre les épisodes…

Bref, vous l'aurez compris, toujours aussi séduite par John BLACKSAD.
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Après ses déboires au Texas, John Blacksad est de retour à New york pour y reprendre son métier de détective privé. Il ne tarde pas à être engagé par le président du syndicat du métro, qui est menacé par le gang des belettes. Mais l'affaire s'avère plus complexe qu'une histoire de mafia.

J'ai été ravie de pouvoir ouvrir cette nouvelle aventure de notre matou noir préféré mais cette fois-ci l'album fonctionne en diptyque, il faudra donc patienter un peu avant d'avoir la conclusion de l'histoire.
Alors que Blacksad infiltre les souterrains des "taupes", ces bâtisseurs du métro, Weekly interview le faucon Solomon qui voit grand et haut avec ses projets de ponts aériens et de méga autoroute. On comprendra vite que les deux affaires sont liées! Encore une dose de corruption, trahison, chantage et meurtre. Pauvre petit chat... il a bien du travail!
Niveau dessin on dirait qu'on ne manque pas d'idée pour créer de nouveau personnages. Une magnifique palette anthropomorphique qui est un régal à découvrir!

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Un scénario un peu complexe comme souvent (ce n'est pas un défaut), des animaux dont on met en avant les qualités ou défauts (supposés) et des dessins toujours aussi riches et superbes. Toujours un plaisir de lire ces albums de Blacksad. Un seul regret: devoir attendre le tome 2 pour découvrir la suite.
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Elle est compliquée l'enquête de notre chat policier. Des syndicats des métiers du métro aux hautes sphère de la société New-Yorkaise (si tant est que ce soit New York), les fils semblent bien emmêlés.

Au milieu de tout cela une troupe de téhâtreux tente d'apporter un peu de poésie et de profondeur.

Le tout est parfaitement orchestré avec des graphisme toujours au top. Les ressorts de ls société américaine sont vraiment bien exploités et décrits dans cette série.
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