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3,76

sur 7054 notes
Meurtres, théâtre, journalisme.
Eté 2014, Stéphanie Mailer, journaliste a des indices pour affirmer à Jesse le flic de l'époque, en 1994 qu'il s'est trompé sur le coupable. Mais, malheureusement, Stéphanie Mailer disparait. Jesse doit partir à la retraite mail il est intrigué par ce que Stéphanie a découvert et il veut partir en ayant résolu l'enquête avec son ancien collègue, Derek et une jeune inspectrice, Anna; cela va rouvrir aussi les ombres du passé.
Il y a beaucoup de protagonistes, on change de période constamment, les rebondissements sont nombreux( presque trop).
La structure du livre est identique aux autres Decker comme une recette de cuisine donc cela donne une bonne intrigue mais ça lasse, il n'y a pas de renouveau.
Théâtral.

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Les romans de Dicker sont souvent difficiles à commencer mais une fois qu'on est bien installé dedans... Alors on ne s'arrête plus. Celui-là ne déroge pas à la règle. Une intrigue toujours bien ficelée et qui nous tient en haleine jusqu'au dernier moment. le rythme est toujours aussi haletant. Une bonne lecture.
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Ce thriller angoissant nous entraîne dans un compte à rebours palpitant à la recherche du coupable d'une série de meurtres sordides.
Le récit nous tient en haleine de la première jusqu'à la dernière page. L'intrigue est menée de main de maître. Les six cent vingt-quatre pages du roman décortiquent cette longue et fastidieuse enquête, laissant planer le mystère jusqu'au dénouement… le lecteur en aura le souffle coupé !
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Un vrai calvaire...

J'ai mis plus de deux mois avant d'abandonner cette lecture. et c'est une grande première pour ma part. je n'avais jamais arrêté une lecture sans la terminer.

Un style d'écriture tout à fait ordinaire mais une alternance des points de vue et beaucoup de flashbacks donnent du rythme. Certains personnages sont tellement des clichés qu'on aurait envie d'en rire.

L'intrigue a de l'épaisseur et ne ménage pas les rebondissements ; il faut bien tenir en éveil sur plus de 800 pages ! Malheureusement, la construction, basée sur un improbable fil conducteur, une pièce de théâtre dont tout le monde parle mais que personne n'a jamais vue, ne résiste pas aux premières questions et sombre rapidement dans le ridicule.
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La lecture est facile et les personnages bien décrits.

Les passages d'une époque à une autre sont nombreux et pas toujours évidents à suivre, donc mieux vaut ne pas mettre en pause la lecture un trop long moment.

Les retournements de situation sont nombreux et Dicker sait parfaitement nous balader d'une situation à une autre pour nous perdre.

Excellent suspens, jusqu'à la fin, où la vérité n'est révélée que dans les dernières pages.

Le final et les aveux sont peut-être un poil négligés et rapides, au regard du reste du roman.

L'envie d'en savoir à chaque page un peu plus m'a poussé à "dévorer" ce livre en quelques jours.
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Dicker est l'équivalent en livre du travelling bâclé au cinéma : puisque la caméra va trop vite et sans précaution, que le réalisateur ambitionne de tout représenter en une seule prise, on n'a le temps de s'appesantir sur rien, on aperçoit des rais de lumière mal contrôlés sur une image brouillonne, et si l'on examine un instant ce qu'on voit, on distingue combien les acteurs sont faux, les décors artificiels, et jusqu'aux rails posés sur le sol. C'est un enchaînement accéléré de faits stéréotypés où, pour adhérer, il faut surtout ne rien affiner, ne rien interroger, ni personnage, ni péripétie, ni style ; c'est supposé fait pour l'efficacité, c'est-à-dire que le récit est entièrement rédigé par une variété d'enfant sans connaissance des réalités – Dicker n'est pas seulement un débutant qui a réussi par complaisance et par cooptation, c'est quelqu'un qui voit l'existence avec le simplisme confiant d'un inexpérimenté-de-la-vie, mais « à succès ». Je mets au défi quiconque de m'en citer deux pages de suite plausibles, intrigues, pensées et actions : il n'y a pour admirateurs de tels simulacres que des partisans de caricatures. Quant à l'art, il ne faut pas y compter : ce n'est pas qu'il manque parfois entre deux phrases de tentatives de beauté, mais on n'en rencontre pas une qui soit écrite avec l'intention d'un travail littéraire. Dicker, au prétexte d'être factuel, se déprend d'art et de considérations esthétiques, et ne se soucie que de raconter vite une histoire faite d'un esprit grossier, et courant vers son dénouement : en quoi ce qu'il écrit, quoique de papier et de mots, est loin de constituer un livre.
Mais il s'agit de me faire bien entendre. Mon lecteur a peut-être déjà constaté que je ne suis, pour mes propres ouvrages de fiction, pas totalement tatillon sur la vraisemblance : il peut m'arriver de manquer des détails par inadvertance ou, plus souvent, de supposer après très peu de vérifications que ces détails sont sensés, et ainsi en quelque sorte de les faire admettre, parce qu'ils sont rares et portent sur des vétilles, toujours secondaires à l'intrigue. On m'a remarqué que dans La Fortune des Norsmith, la vitesse de la barque, calculable sans que j'y prête garde, était un peu trop lente ou rapide, et plus justement encore que le passager à la poupe ne peut se situer simultanément dans le dos du rameur – cette inattention, si je l'ai bien écrite (et je le crois parce qu'elle me ressemble) est une bêtise que je regrette. Seulement, nulle de ces bévues n'était essentielle à la compréhension ou à la logique de l'intrigue ; or, c'est bien différent dans une histoire policière où il importe de ne pas produire des déductions ou des mobiles incohérents… mais cela se produit sans cesse chez Dicker !
J'ai cessé de lire à la page 113, après avoir mentalement dénombré les illogismes et les fadeurs, et admis une multiplicité d'impossibilités de toutes sortes ; j'ai terminé sur ces mots, énième stupidité puérile : « Les analyses balistiques étaient formelles : une seule arme avait été utilisée, un pistolet de marque Beretta. » …où l'on découvre qu'un expert en armement peut, rien qu'à la balle, identifier la marque du pistolet. La suite du paragraphe, que je parcours en refermant le livre, est tout aussi stupide : « Il n'y avait qu'une seule personne impliquée dans les meurtres. Les experts considéraient qu'il s'agissait vraisemblablement d'un homme, non seulement pour la violence du crime, mais parce que la porte de la maison avait été défoncée d'un solide coup de pied. Celle-ci n'était d'ailleurs même pas fermée à clé. » On dirait les conclusions ridicules de Scotland Yard après Jack l'Éventreur en 1888, admettant que le tueur était gaucher parce que le couteau avait été appliqué à la droite du cou des victimes. Quels indices permettent d'affirmer si péremptoirement que le tueur était seul ? Aucun. Or, deux, en tous cas, offrent apparemment de quoi déduire que c'est un homme, les voici : il a tué quatre personnes par balles, et son coup de pied est capable de défoncer une porte ouverte ! Quant à savoir pourquoi il a cogné la porte au lieu de commencer par abaisser la poignée, c'était plus cinématographique ainsi, sans aucun doute…
Lien : http://henrywar.canalblog.com
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"La disparition de Stéphanie Mailer" de Joël Dicker paru aux Éditions du Fallois.

Dans cet opus, un one-shot de l'auteur, on se retrouve de nouveau dans une histoire en 2 temps : juillet 1994, puis été 2014.
En 1994, la famille du maire Joseph Gordon de la ville d'Orphea et une joggeuse Meghan Padalin sont tués le jour de l'inauguration d'un festival de de théâtre.
En 2014, une journaliste, Stéphanie Mailer, disparaît.
Jesse Rosenberg qui avait arrêté le meurtrier de 1994 se retrouve plonger dans cette affaire car Stéphanie Mailer est venue le voir le jour même de sa disparition en lui disant qu'il s'était trompé 20 ans auparavant.
Jesse va retrouver son collègue Derek Scott et une nouvelle flic d'Orphea Anna Kanner, ils vont mener l'enquête pendant que le nouveau festival s'annonce.
Une ribambelle de personnages tous plein de secrets vont défiler, ils vont être pour certains, au milieu de l'intrigue.
Quant à la fin et la découverte de tout... ça m'a fait penser a un vieux film...
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Nous suivons Jesse et Dereck, 20 ans après la résolution d'une enquête qui a changé leurs vies. Une journaliste les poussent à ré-ouvrir l'enquête, avant de disparaître mystérieusement.

J'ai adoré, avalé 850 pages en 3 jours.
Un véritable page-turner impossible à lâcher. Un panel de personnages dont on découvre les secrets et les liens au fur et à mesure, un décor bien planté, du suspens et des rebondissements.
Je me suis encore fait avoir.
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«  Quand vous avez tué une fois, vous pouvez tuer deux fois. Et quand vous avez tué deux fois, vous pouvez tuer l'humanité toute entière ». Cette citation résume bien cette enquête.

Joel Dicker dans ce roman nous fais encore voyager dans l'Amérique des petites villes à la recherche de Stéphanie Mailer. Comme à son habitude, cet auteur nous embarque dans son enquête à la recherche d'un criminel au delà de tout soupçon.

Et si l'on ne voyait que ce que l'on ne voulait voir ? le suspect arrêté est-il le bon ou s'agit-il d'une diversion.

Un thriller encore une fois plein de suspense parfaitement maîtrisé par Joël Dicker.
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Quelle jolie découverte que celle de ce roman de Joel Dicker. Bien évidemment j'en avais entendu parler mais l'aura de l'auteur planant sur ses romans rendait la lecture de ceux-ci impossible à lire pour moi: trop impressionant! Que va-t-il m'arriver en lisant un Joel Dicker? Et bien, j'ai fini par me jeter dans la gueule du loup et me prendre au jeu d'un inspecteur de police (avec mes homologues Jesse et Derek) sur 600 pages. Mais qui diable a tué Stephanie Mailer? Et les pages m'ont happées! Je devais savoir, absolument. C'est ce que je retiens de l'auteur : la capacité à installer chez ses lecteurs (chez moi en tout cas) un suspense long et insoutenable ! de fausses pistes en nouvelles informations, de personnages emblématiques (bien que parfois un peu trop "clichés" à mon goût) auxquels on s'attache, avec leurs personnalités éclectiques et leurs absurdités, enquêtez vous aussi pour savoir ce qui a pu se passer à Orphea en 1994!

Hormis quelques personnages dont je n'ai pas compris l'intéret et des raccourcis parfois trop "simples" c'est un livre que j'ai aimé lire.
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