L'énigme de la chambre 622

𧄭écidément, Joël Dicker réussira toujours à me surprendre dans mes lectures. J'ai adoré La vérité sur l'affaire Harry Quebert, lu le livre des Baltimore et dévoré ce roman.
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Vous savez ce qu'est un grand écrivain ? C'est un peintre, justement. Dans le musée des grands écrivain, dont tous les libraires possèdent la clé, des milliers de toiles vous attendent. Si vous y entrez une fois, vous deviendrez un habitué.
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📖J'ai été happée par l'histoire vers la page 100. Jusqu'ici je ne voyais pas vraiment où l'histoire allait, je trouvais que cela partait dans de multiples directions : flash-backs plus ou moins récents, changements de narration, de lieux... Bref, l'auteur a réussi à me perdre mais pour mieux éblouir la lectrice que je suis !

&#xNaNVers la page 300, je me suis dit que j'avais compris le fin mot de l'histoire. J'avais découvert le meurtrier et son mobile...rien de plus facile et sans grande surprise. Encore une fois je me suis trompée : Joël Dicker s'est fait un malin plaisir à m'amener exactement là où il voulait et la fin de ce roman a été une apothéose de révélations aussi folles qu'époustouflantes. Je n'ai rien vu venir ! Je n'ai qu'une chose à dire : Quel TALENT !!!!

🇨 Une enquête aussi folle qu'incroyable où amour, trahisons, amitiés, malversations et suspense se mêlent. Une plongée au coeur de l'innovation de l'Ecrivain, une louche de réalité, une pincée de mystère, des personnages attachants et une plume talentueuse sont les ingrédients d'un roman haletant dont le final est exaltant.

Joël, l'écrivain passe ses vacances au palace de Verdier pour se ressourcer suite au décès de son éditeur Bertrand DeFallois (un bel hommage à son éditeur) et pour des problèmes de coeur. Il est en train d'écrire un nouveau roman :percer l'énigme de la chambre 622 qui n'existe plus dans cet hôtel.
L'intrigue est intéressante, il faut par contre attendre la moitié du roman pour connaître qui est mort. Tous les protagonistes sont susceptibles d'être mort et/ou d'être le meurtrier.
J'ai avalé ce livre en 3 jours. Il y a beaucoup de retour en arrière pour l'intrigue mais cela est pour la part bien fait et facile à suivre. J'ai aimé cette rivalité de pouvoir, d'argent. La manipulation est aussi très présente. Je me suis laissée emportée.
J'ai vu beaucoup d'avis négatifs sur ce livre alors que moi j'ai été envahie par cette intrigue faute de nombreux rebondissements.
Ce qui compte dans une lecture, c'est de s'évader, parfois ça fonctionne, d'autres fois non et là je suis conquise par l'histoire (l'écriture est simple mais agréable et fluide à lire).
Excellent.
À vos avis.

Voilà un policier que je ne suis pas prêt d'oublier. Tous les ingrédients sont rassemblés pour faire de ce roman un très très bon policier. On est dès le début porté par le personnage de Joël, le narrateur du roman, et celui de Scarlett.

D'une manière plus générale, tous les personnages sont extrêmement bien travaillés, chacun ayant une personnalité propre. On arrive à s'attacher, à se lier à chacun des personnages du roman.

J'ai particulièrement apprécié l'organisation chronologique du roman : le roman est découpé en 3 temps principaux : le présent de narration, le présent du meurtre et le passé (15 ans en arrière). Ces trois temps s'intercalent, se chevauchent et jouent ensemble en permanence sans jamais perdre le lecteur. La lecture s'en trouve accéléré et ce système rajoute du suspens en plus.

Enfin, que dire de l'intrigue policière ? le meurtre n'est en tant que tel qu'évoqué à la moitié du roman. le roman s'attache davantage à tisser le tableau des conditions, du contexte et des acteurs du meurtre plus qu'à sa résolution. L'enquête policière ne représente qu'une infime partie du livre, et pourtant le suspens est présent du début à la fin. On ne veut pas s'arrêter de tourner les pages !

Les références à l'éditeur de Joël, Bernard, parsèment le roman et rappellent que le roman est aussi le fruit d'un travail, d'une collaboration. Ces anecdotes, toutes réelles, sont glissées avec finesse et maîtrise et rendent vraiment hommage à cet éditeur.

Cette première découverte de Joël Dicker m'a vraiment donné envie de lire ses autres romans !

Un nouvel ouvrage qui ne me déçoit pas ! Je retrouve là tous le talent de Joël Dicker, une histoire qui nous alpague, un suspens grandissant, on se laisse envoûter et porter par les personnages, leur histoire, les intrigues.

Pour ce nouveau récit, on reste scotché jusque la fin, bien que celle-ci soit un peu tirée par les cheveux à mon sens, j'en reste malgré tout conquise.
Macaire, Anastasia, Lev, Tarnogol et tous les autres personnages nous mènent sur l'enquête de la chambre 622 en parallèle de l'auteur lui-même qui se retrouve protagoniste au coeur d'une enquête suisse.

La fin est certes prévisible mais très belle et pleine de jolies choses.

Je ne peux que recommander ce livre si vous aimer les intrigues, les enquêtes policières avec malgré tout une histoire sur fond de réel.

Après des événements marquants, décès de son éditeur Bernard et séparation avec sa petite amie, Joël, le célèbre écrivain, part se ressourcer au Palace Verbier...
Mais une chambre 622 renommée inexplicablement en 621 bis, et surtout sa rencontre avec Scarlett, une jeune femme londonienne au caractère bien trempé, vont le pousser à creuser cette intrigue...
Alternant flash-back et anecdotes quasiment personnelles, c'est une nouvelle fois, un excellent roman proposé par l'écrivain suisse...

Un roman policier captivant qui nous entraîne dans une intrigue complexe et bien tissée. L'auteur nous guide à travers les méandres du mystère avec une écriture fluide et immersive.

Dicker excelle dans la création de personnages aux relations entrelacées, chacun dissimulant des secrets qui se dévoilent progressivement.

L'alternance entre les époques et les voix narratives ajoutent une dimension intrigante et offrent des perspectives variées sur les événements. Les rebondissements inattendus et les révélations bien orchestrées maintiennent l'attention jusqu'à la dernière page.

Une énigme à résoudre qui mêle habilement mystère, romance et suspense. À ne pas rater !

Un roman signé d'une main de maître. Tout est juste dans la manière qu'a eu Dicker de narrer ce roman. Toutes les histoires racontées sont prenantes et leur différents personnages sont bien creusés pour que nous puissions mieux nous projeter. La temporalité est ici une force, moi qui y suit d'habitude très réticent. A emporter sur une île déserte !

Tout d'abord j'ai été déroutée par cette narration à la première personne, d'autant que le personnage se prénomme Joël.
Je me suis demandée s'il s'agissait de lui ou s'il avait juste voulu nommer son personnage comme lui-même et en faire un écrivain avec le même éditeur que dans la réalité.

En tout cas, rapidement il m'a harponnée avec son intrigue qui se profile tout doucement. Joël Dicker m'embarque à chaque fois dès les premières pages.
Il nous pose les pièces d'un puzzle comme il aime faire...
Et moi j'adore sa façon de poser tous les éléments pas à pas, calmement, en nous faisant languir.
Je trouve ça extrêmement intéressant les allers-retours dans le passé. Oui, parce que là encore, l'histoire se passe sur plusieurs périodes.
Il nous sème des éléments et indices qui me tiennent en haleine chapitre après chapitre. J'aime aussi énormément les protagonistes qu'il nous invente, ils ont tous une grande importance dans l'histoire, même si parfois je me suis interrogée sur la vraisemblance de certains, alors que finalement oui, ça tient super bien la route !
Il nous offre une palette de personnages, certains attendrissants, d'autres exaspérants, parfois drôles.

L'intrigue est savamment alambiquée, Joël Dicker balade le lecteur de fausses pistes en révélations, à moins que... en fait jusqu'au bout du bout il nous mène par le bout du nez et franchement mes nerfs ont été mis à rude épreuve plus d'une fois !

Ce roman est aussi une très belle déclaration d'amour et d'admiration à Bernard de Fallois, son défunt éditeur...
D'ailleurs, quand il parle de la mort de son mentor, du manque lié à cette disparition, de l'incompréhension qui en découle malgré l'âge avancé de celui-ci, je comprends tout à fait. Il y a des gens tellement importants qui traversent nos vies qu'on a du mal à admettre qu'ils soient mortels. On se berce de l'illusion qu'ils seront toujours là.
Et quelle bonne idée d'intégrer ce personnage si important pour lui à son roman. Il le fait revivre à travers ce qu'il a été avec brio, exigence et ouverture d'esprit, son rôle d'éditeur, mais aussi d'ami.

J'ai aimé ce roman comme les précédents, je ne me lasse pas de la méthode Dicker, qui nous emmène tout doucement vers le but mais sans tout à fait nous donner trop rapidement ce qu'on cherche ; avec lui la révélation se mérite !
Lien : http://mechantdobby.over-blo..

Qu'on aime ou non, Joël Dicker a un vrai talent !

J'ai lu quasiment toute la bibliographie de cet auteur, et j'aime vraiment beaucoup. Son style, sa manière d'écrire, sa plume ; il a vraiment beaucoup de qualités. Tout est toujours très bien pensé, dans les moindres détails. Tout est toujours très bien ficelé, jusqu'aux dernières lignes de la dernière page.

J'ai vraiment aimé ce livre, il est clairement dans mon top 2 de Monsieur Dicker. Faut dire qu'il sait comment faire durer le plaisir, multiplier les questionnements et nous faire plonger dans ses histoires.

Pendant un très grand nombre de pages, on ne sait pas qui est mort alors on essaye de le deviner… en vain. Ce grand nombre de pages permet de mettre en place l'histoire, les personnages, les lieux, les scènes de vie, … de rendre l'irréel réel.

Je n'ai pas réussi à trouver qui était mort, ni qui avait commis le meurtre. Et c'est ça que j'aime avec cet auteur ! Chaque ligne, chaque page, chaque détail est utile à la compréhension et au déroulement de l'histoire, mais on reste dans le doute jusqu'au dénouement. Et ce dénouement est juste wahou ! Tout ce à quoi je ne m'attendais pas, et, en même temps, plutôt logique et réaliste.

Mention spéciale pour le fait que l'auteur s'inclue tout le temps dans ses livres, j'adore cette manière de faire, j'ai vraiment l'impression de lire une partie d'autobiographie. Je ne sais pas comment dire, mais je trouve que ça apporte quelque chose de plus.

Si vous aimez les romans policiers, vous ne pouvez pas passer à côté de Joël Dicker !

J'ai déjà lu comme beaucoup de personnes, les romans "la vérité sur l'affaire Harry Quebert" et "le livre des Baltimore" de Joël Dicker.
Joël Dicker écrit un livre en hommage à son éditeur Bernard de Fallois décédé en 2018.
Avec "l'Enigme de la chambre 622", l'histoire se déroule en Suisse, dans le domaine de la banque.
Tout commence par un meurtre dans une chambre du Palace de Verbier dans les Alpes Suisses.
"L'écrivain vit très mal la mort de son éditeur, il n'arrive plus à écrire. Il décide sur un coup de tête de partir se reposer dans le Palace de Verbier.
Arrivé dans le Palace, on lui donne la chambre 623 et chose bizarre dans le couloir, il y a la chambre 620, 621, 621 bis et la 623. Il n'en faut pas plus pour titiller la curiosité de notre écrivain.
Il rencontre un peu plus tard dans la soirée Scarlett, et ensemble, ils vont enquêter sur ce qui s'est passée quelques années plus tôt.
Nous découvrons un banquier Macaire Ebezner, fils du directeur de la banque du même nom.
Macaire brigue la place de directeur sauf qu'il a un concurrent de taille : Lev Levovitch, jeune homme, très talentueux pour les affaires.
Macaire va se débattre pour gagner sa place, sa femme Anastasia va lui rendre la vie dure à vivre.
Chut, je m'arrête ici, pour vous laisser les plaisir de découvrir cette intrigue.
Bonne lecture