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3,85

sur 160 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Mindhunter que l'on peut voir sur Netflix n'est pas une série comme les autres.

Produite et réalisé par le génial David Fincher il y adapte l'essai d'un agent du FBI et précurseur du profilage à la fin des années 1970. Un thriller psychologique rigoureux et captivant.

On est en pleine plongée dans l'histoire (certes romancée) et la naissance de ce qu'est un profiler du FBI, du mariage entre la psychologie, la psychiatrie,la psychanalyse et l'investigation policière.

suite et concours sur le site
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Suite à un visionnage de vidéos sur M. Bourgouin (ou plutôt "contre", on va dire), dans lesquelles il est souvent question de ce livre, j'ai eu envie de le lire (et j'ai vu la saison 1 de la série il y a quelques temps déjà). Je me dois de préciser, vu les avis que je viens de parcourir, que ceci n'est pas un roman... C'est une autobiographie (Autobiographie et roman dans le même avis, ça ne veut simplement rien dire)... Tous les noms sont ceux de personnes existantes ou ayant existé.

Je ne suis pas déçue. Certes c'est extrêmement difficile à lire, car les cas décrits sont affreux. L'auteur en reste à une description "clinique" des faits, assez froide, et on n'a évidemment pas affaire à un roman thriller. Pas question d'entretenir un quelconque suspense.
L'auteur nous livre simplement son vécu. "Simplement", dans ce cas, reste relativement inimaginable pour le commun des mortels.
A peine si il évoque à demi-mots ses ressentis, sa peur pour ses propres enfants, le délitement de son mariage. Pourtant, à chaque fois, l'homme sous l'enquêteur n'est jamais loin, et j'ai bien apprécié de l'apercevoir de temps à autres, même si ça parait trop peu et trop distancié.
En fait, je ne vois pas comment il aurait pu écrire un livre objectif autrement...

A prendre pour ce que c'est, à savoir comment a pris naissance et s'est développé le département des sciences du comportement (qui ne s'appelle pas du tout comme ça) du FBI, quels criminels ils ont étudiés lors de ces enquêtes pour développer et affiner leurs profils, par un de ses initiateurs. C'est un homme habitué aux rapports d'enquêtes, aux résumés, aux synthèses, et c'est sous cette forme à peine améliorée qu'il présente ses conclusions (qui vont dans le sens des miennes, de celles d'Alice Miller et autres...). A savoir que certains esprits criminels sont définitivement irrécupérables, quoi qu'en pensent les utopistes bien pensants et moralisateurs qui n'ont jamais eu affaire à eux.
Quiconque en attendra autre chose sera forcément déçu.
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Tout le monde a, je pense, déjà entendu parler de la série télévisée Mindhunter, diffusée sur Netflix. Ce que les gens savent moins, en général, c'est qu'elle est adaptée d'un roman de John Douglas et Mark Olshaker. Ce dernier est un écrivain et j'imagine que c'est la narration, l'art d'écrire une histoire, qu'il a apporté à ce duo. Quant à Douglas, c'est un ancien agent du FBI et qui fut l'un des premiers profileurs. Mindhunter est plus qu'un roman, c'est son témoignage (autobiographique, donc).
Le début du livre commence avec les péripéties scolaires de l'étudiant que John Douglas était à l'époque, son intégration au sein de l'armée, etc. C'est vrai, cela n'est guère intéressant si l'on veut tout savoir des profileurs, mais je pense que connaître son parcours est essentiel pour cerner le personnage. Après cela vient sa première rencontre avec un tueur en série : Ed Kemper. Accompagné de son collègue Robert Ressler, il va interroger le criminel dans le cadre d'un programme organisé par le FBI. L'idée ? Découvrir s'il y a un schéma qui se répète parmi les tueurs en série, qu'est-ce qui a bien pu déclencher le premier meurtre, etc. Et avec tout ce qu'ils auront recueilli, peut-être pourraient-ils prévenir de telles vagues de crimes. En tout, trente-six hommes ont été interrogés sur les crimes en série qu'ils ont commis.
Si Douglas évoque occasionnellement ce fait – que ce soit pratiquement toujours des hommes -, la réflexion ne va malheureusement pas plus loin ; avec les études faites ces dernières années, je pense que l'on a désormais plus de réponses et des raisons à apporter sur le sujet, comme l'impossibilité des femmes de se déplacer aussi librement que les hommes, l'interdiction de la violence, etc. J'aimerais d'ailleurs lire des choses à ce sujet et je suis donc ouverte à vos suggestions si vous en avez. Mais là n'est pas le propos de Mindhunter et je vais donc recentrer mon propos sur le livre.
Dans Mindhunter, si John Douglas nous donne les grandes lignes de l'étude, les réflexions qui ont été faites, comment cela s'est passé au niveau de l'administration…, il ne faut pas oublier que l'on parle de tueurs en série, de serial killers. de fait, la lecture peut peut-être heurter les plus sensibles d'autant plus que les meurtres commis s'accompagnent souvent de tortures, de viols, etc. C'est horrible à lire mais ce n'est pourtant jamais gratuit. Les auteurs n'ont pas fait un livre pour écoeurer ; il leur faut nous resituer qui sont ces meurtriers, quels sont leurs modes opératoires, quels sont leurs crimes, afin de pouvoir nous expliquer par la suite quelles ont été les réflexions des équipes du FBI afin d'établir des profils et, par la suite, pouvoir arrêter les coupables au plus vite, avant que plus de gens ne soient tués (bien souvent des femmes ou des enfants). Car c'est cela qui est également bien dans ce livre, on ne se cantonne pas aux rencontres entre Douglas et des tueurs ; l'ancien agent nous explique également comment, sur telle ou telle autre affaire, lui ou d'autres de ses collègues ont appliqué leurs nouvelles connaissances dans des enquêtes.
Le point qui m'a quelque peu surprise, c'est quand Douglas glisse au passage qu'il est pour la peine de mort. Cela n'aurait pas dû me surprendre puisque tout cela se déroule aux Etats-Unis d'Amérique ! Mais bon, de mon point de vue très français, je ne m'y attendais pas – ou plutôt, j'ai oublié que ça pouvait être évoqué. En tout cas, bien que je reste opposée à la peine de mort, je ne peux que comprendre les motivations des gens à la soutenir quand je lis des atrocités telles que présentées dans Mindhunter.

Mindhunter – Dans la tête d'un profileur est un roman très intéressant que j'ai envie de vous conseiller, bien que le sujet puisse être sensible. En tout cas, si vous appréciez la série Netflix, plongez-vous dans le livre : il est certain que vous aimerez.


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Après avoir regardé la fameuse série sur Netflix, je voulais en savoir plus et j'ai décidé de me procurer ce livre où John Edward Douglas nous livre son passé d'enquêteur au sein du FBI.
J'avoue avoir été ennuyée par les 100 premières pages car il nous raconte sa jeunesse et son entrée au FBI, donc aucun détail et aucune affaire examinée. Je recherchais du concret, des faits, des explications et le reste du livre j'ai été servie. Il nous raconte un nombre incalculable d'affaires, toutes aussi passionnantes (si on aime lire ce genre de choses je suppose...) les unes que les autres. Toujours d'un point de vue assez éloigné (alors qu'il a été confronté à des choses horribles) il nous relate les faits, sa façon d'examiner le cas et ses conclusions. Il a fait partie des premiers enquêteurs à faire du "profilage" et à s'intéresser vraiment au profil du criminel. Ainsi, il est arrivé à cerner plusieurs personnalités et à pouvoir, rien qu'en analysant une scène de crime, déduire quel type de personnalité avait pu commettre le (ou les) meurtre(s).
Un livre très intéressant où on peut se poser la question, tout comme lui, à la fin si on "naît" tueur ou si on le "devient". (Et la réponse est en grande partie apportée). Une bonne analyse des facteurs déclencheurs, et presque au final une très bonne analyse de la psychologie humaine. Très intéressant !
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C'est après avoir vu la remarquable et passionnante série éponyme sur Netflix que j'ai eu envie d'aller au delà.
Ce livre autobiographique et de témoignages de John Douglas, légende vivante du profilage , raconte de manière plus ou moins chronologique le parcours de l'auteur au sein du FBI et comment il a, peu à peu, mis en place les outils psychologiques des techniques de profilage au sein de cette institution et permis de "révolutionner" les méthodes d' enquêtes criminelles.

Certains chapitres, et plus particulièrement ceux liés aux entretiens avec les tueurs en série ou l'enquête sur les meurtres d'Atlanta ( objet de la saison 2 de la série ) ont été repris assez fidèlement par David Fincher dans la série.

Ce livre se lit plutôt aisément même si au final j'ai trouvé que la redondance des thématiques et les longueurs de certaines descriptions était lassante . Je le conseille aux passionnés de cette thématique.

A noter que l'auteur a été également l'inspirateur de Thomas Harris pour sa série Hannibal Lecter.


Lien : http://lagrandestef.over-blo..
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Parmi la large liste de souhait de la Masse Critique d'octobre (et il y en avait du choix !), j'ai reçu ce livre. Je l'avais mis dans ma sélection, sans grande conviction, car j'avais déjà pu voir la première saison de la série éponyme. Série qui m'avait pas mal intrigué, bien jouée, malgré quelques longueurs.

Et là, pfiou ! Ceci est une biographie mais ça se lit comme un thriller sur des enquêtes menées par John Douglas, agent fédéral du Bureau et l'un des tous premiers profileurs au monde. Ce livre se laisse lire si facilement que c'en est à la fois très bon et très étrange au vu des faits qui nous sont relatés. C'est glauque, ça peut glacer les sangs, c'est froid et cruel… Et intéressant lorsqu'on suit les étapes de déduction !
John Douglas n'était pourtant pas parti pour faire ce genre de job dans sa jeunesse. Il pensait être véto (ce qui ravisait sa mère) mais ses études se sont mal passées, puis il a été dans l'armée où il a suivi des cours du soir sur la psychologie et pour, enfin, devenir agent du FBI où il a gravi les échelons. Et surtout il a intégré une cellule d'études de psychologie criminelle, toute nouvelle, où les agents se mettaient peu à peu à réfléchir comme les criminels (principalement des tueurs et/ou violeurs) qu'ils poursuivaient. En quelque sorte, pour le commun des mortels, cela revenait à agir comme des « sorciers » ! Car leurs déductions étaient (sont) souvent justes.

Et des crimes, en 25 ans, il en a suivi des centaines. Et il a permis d'en élucider des tas. John Douglas nous raconte alors plusieurs enquêtes qu'il a suivi, plusieurs criminels qu'il a aidé à placer derrière les barreaux et aussi les quelques serial killers qu'il a interrogé pour comprendre leur mode de fonctionnement. Car là est toute la méthode apprendre des tueurs eux-mêmes.
Il y a aussi quelque chose d'énorme dans la méthodologie des profileurs. Douglas et ses collègues pouvaient très bien ne pas avoir à se déplacer sur le terrain pour comprendre comment fonctionnait le criminel. En examinant des photos, en interrogeant les policiers en charge de l'affaire, ces profileurs pouvaient cerner le suspect sur son âge, sa vie sociale et professionnelle, sur ses activités, sa voiture. En gros, encore de la « magie ». En parlant voiture, à l'époque, dans les années 1970, il ne faisait pas bon avoir une Coccinelle !

Cependant, ce John Douglas n'est pas exempt de défauts. Malgré le fait d'être heureux en ménage, il a plutôt délaissé sa femme et ses enfants pour ses enquêtes. Et ça peut se comprendre, il veut retrouver des salopards pour probablement dormir l'esprit tranquille auprès de ceux qu'il aime. Mais bon… Aussi, cet homme est entièrement pour la peine de mort. Quand des mecs qu'il a pu faire arrêter se retrouvent avec cette sentence, il est assez « heureux » de la sentence finale.
Il a aussi mis en péril sa propre santé. Toujours en déplacement, en décalage horaire, sur le qui-vive, toujours en pleine tension, faisant peu de sport. Il se retrouve à faire une crise et à être dans le coma pendant plusieurs jours. Au point que l'on pensait qu'il n'aurait plus toutes ses facultés physiques et mentales. Mais il s'en remet bien.

Donc ce récit est prenant, particulièrement intéressant, sans non plus que ce soit trop scientifique ni technique (quoique cela soit un peu dommage). le découpage narratif est assez particulier mais il est aussi vivant : on a l'impression d'avoir face à soi une personne qui nous raconte sa vie et qui tout d'un coup se souvient d'un événement particulier, bifurque dans sa narration sur celui-ci, avant de revenir au sujet initial. C'est assez dynamique, même si on peut se perdre un peu dans les noms de tous les collègues et suspects.


Des petites remarques sur l'édition.
Une première en rapport avec la traduction (effectuée en 2017, j'ai vérifié). C'est trois fois rien mais cela m'a fait sortir de ma lecture. Dans le texte, on se retrouve avec une phrase suivante « a appelé le 17 ». Euh… mais pourquoi ne pas avoir laissé « 911 » ?! En tant que lecteur, on sait qu'on se trouve aux States. Avec un peu de culture, on est au courant que les ricains ne font pas le 17 (ou alors juste indiquer l'information par une note de bas de page). Donc voilà…Et dans une autre phrase le mot « franc » est utilisé en remplacement de « dollar ». Encore une fois, tout se déroule aux Etats-Unis donc autant se servir de la monnaie locale (même si le livre a été rédigé en 1995, que le franc avait encore cours)…
Ma deuxième remarque… le livre est divisé en chapitre avec des titres pour chacun d'entre eux (pas juste des numéros) mais aucun sommaire ! Ça, je dois avouer que ça m'énerve un tantinet à chaque fois qu'il y a cet « oubli » !

Merci à la Masse Critique de Babelio et aux éditions Points.
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John Douglas a travaillé 25 ans au sein du FBI en tant que profiler. Il a été l'un des pionniers dans le domaine du profilage criminel. Dans ce livre, Douglas nous partage son expérience et ses connaissances sur les tueurs en série. Il a eu l'occasion de discuter avec nombre d'entre eux : Ed Kemper, Charles Manson, Jerry Brudos, David Berkowitz, etc. Au fil des pages, il nous décrit les techniques qu'il a développées pour comprendre la psychologie des criminels et pour anticiper leurs comportements.

J'ai toujours adoré les histoires de crimes, de tueurs en série et de meurtres en tout genre. Alors quand la série « Mindhunter » est sortie sur Netflix, je me suis jetée dessus ! Après l'avoir terminé, je voulais absolument lire ce livre pour en apprendre davantage sur John Douglas. Ce roman retrace la vie de cet enquêteur devenu le premier profileur du FBI. Il nous raconte les nombreuses enquêtes effectuées tout au long de sa carrière mais également l'impact qu'elles ont eu sur sa vie personnelle. Sa connaissance des tueurs en série et de leur profil psychologique est immense. Ce livre est riche en dates, en noms, en détails. Néanmoins, cette accumulation d'anecdotes, bien que très intéressantes, créée une répétition et enlève tout dynamisme au livre. Les chapitres longs (une trentaine de pages à chaque fois) contribuent à ce ressenti. Ce livre reste très intéressant et je vous le conseille si vous souhaitez en apprendre plus sur le célèbre John Douglas.

Instagram: @encoreunthriller
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Mindhunter – Dans la tête d'un profileur - John E. Douglas & Mark Olshaker - 19 octobre 2017

Magistral cours de psychologie criminelle ! Ce livre mériterait sa (grande) place dans la rubrique science au rayon « psychologie criminelle » ! Finalement assez complexe, il ne s'agit pas d'un roman, et si effectivement, il est en lien avec l'excellente série, il ne la reflète pas réellement (ou le contraire !). John Edward Douglas nous raconte d'abord sa jeunesse, pour le moins agité, alors sur le coup, on peut se dire : mais en fait il nous raconte sa vie, quel rapport avec le profilage ? Et bien, il y en a un car au fur et à mesure qu'on se plonge dans son histoire et son travail, on comprend mieux pourquoi ce début : il aurait pu lui-même verser du côté des gens qu'ils recherchent, ça saute aux yeux ! Il a choisi le bon côté, et c'est peut-être pour ça aussi qu'on se demande parfois, mais aussi ses collègues, comment il peut arriver à « comprendre » aussi bien ses criminels ? L'écriture est simple, sans fioritures, c'est parfois un peu long, mais on sent bien qu'il n'a pas cherché à romancer, et la traductrice a su parfaitement capter ça et elle le rend super bien dans sa traduction (je vous le répète : il ne s'agit pas d'un roman de type thriller, mais quasiment d'un cours de psychologie criminelle (bis !). Certains passages sont durs et complexes au niveau psychologie, très, mais grâce à ça, on comprend beaucoup mieux à quel point ce métier est difficile psychologiquement, loin de l'image d'Épinal du cinéma. Sans n'en dévoiler plus, vous le comprendrez dès le début, ce n'est pas un travail neutre : il y a vraiment de quoi craquer ! C'est humain ! Au-delà du sujet extrêmement dur, Douglas nous fait plonger en nous-mêmes, et nous dévoile des méthodes, la méthode proactive, par exemple, qui peut servir, au-delà de la psychologie criminelle, en psychologie tout court. On ne ressort pas neutre de ce livre. Il y a même parfois des traits d'humour (si, si, je vous jure !), ça aide à encaisser les passages les plus durs, et on ne saura finalement jamais pourquoi ces tueurs en série aiment tous tant… les Volkswagen Coccinelle !

Esciença
Lien : https://escienca.blog
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L'ancien agent du FBI John Douglas raconte son parcours, comment il en est arrivé à essayer de se mettre dans la peau des personnes étant capables du pire. Il y a quelques longueurs, mais c'est intéressant de découvrir comment une enquête évolue et l'impact réel que de tels crimes ont sur les personnes y étant liées de près ou de loin.
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John Douglas est un agent du FBI et le premier profileur. Il est à l'origine de la création du département des sciences du comportement à Quantico.

Dans ce livre, l'auteur nous livre avec simplicité, efficacité et beaucoup de détails, grâce à ses souvenirs, une étude des plus célèbres Serial Killers.

Ce livre est réservé à un public averti, il est question de meurtres, de viols, d'agressions, de mutilations, de tortures Etc... Donc mieux vaut avoir le coeur bien accroché.

Malgré le sujet quelque peu grisant, c'est un livre vraiment très intéressant à lire, j'ai beaucoup appris durant ma lecture.

C'est un témoignage fort et percutant qui ravira toutes celles et ceux que le sujet intéresse ou passionne.
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