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Famille Macand : BCBG et aisés, catholiques pratiquants, parents cardiologues, trois fils de 5 à 9 ans, un oncle fantaisiste. le père - vaguement alcoolique - vit dans l'ombre et aux pieds de la mère autoritaire et glaciale. Madec, sept ans, est au coeur de l'intrigue. C'est un petit garçon lunaire, introverti et imaginatif, au mieux délaissé, au pire harcelé par ses frères. La famille part en vacances sur la côte toscane, où des amis doivent les rejoindre. Concours de circonstances malheureuses et tout bascule...

Quel roman étrange ! J'ai avant tout été déroutée par le style, a fortiori lorsque j'ai appris l'âge de l'auteur (26 ans). Une plume affectée, qui m'a paru désuète, un cadre et des personnages caricaturaux - personnages que l'écrivain semble en outre regarder avec condescendance. Aucun d'eux ne m'a d'ailleurs paru suffisamment convaincant pour que je m'y attache ou ressente à son égard un minimum d'empathie, et donc de compréhension. Il m'est difficile dans ce cas d'adhérer à un texte...

******* SPOILER : Lorsque l'intrigue prend un tournant inattendu après le premier tiers, on peut se demander si on ne vient pas de changer de livre, on tombe dans un tout autre registre et l'affaire semble directement inspirée du fait divers tragique autour de la disparition de la petite fille britannique, Maddie (cf. prénom de la victime, étrangement ressemblant, battage médiatique, parents médecins...). Je n'apprécie pas, en général, les fictions autour de drames réels. *******

Bref, malgré la fluidité de lecture et l'impatience que j'ai pu ressentir pour connaître la fin, ce livre m'a déplu, tant sur la forme que sur le fond - trop dérangeant…
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Lorsque je finis pas un livre, j'ai la modestie de prendre à mon compte les raisons, préférant ne pas adhérer à un style, ou à une histoire plutôt que de juger arbitrairement la qualité littéraire d'un ouvrage. Je ne me reconnais pas la légitimité de le faire.
Pour ce qui concerne ce livre, je ne prendrai pas ces précautions-là. Ce livre est mauvais, tant dans l'écriture (banale, quelconque), le synopsis (un goût douteux de prendre appui sur une affaire de disparition d'enfant), les personnages tellement caricaturaux), quand dans le style même.
Gallimard qui publie Proust, Camus, De Beauvoir, et nombre de nos plus grands écrivains ( et d'ailleurs aussi) aurait pu passer son chemin cette fois !!!

Lien : http://leblogdemimipinson.bl..
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Mal à l'aise et pas inspirée par ce livre, je me demande bien pourquoi je me lance dans cette critique.
Je n'ai pas aimé.
Le surf sur la vague de Maddie, la froideur et les réactions invraisemblables de la maman, la fadeur du père, le flic italien à qui on colle une histoire d'amour et une réflexion aussi profonde que rapide sur la question d'avoir ou non des enfants (histoire de meubler un peu le livre ?), ça m'a laissée de marbre.
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Comment ne pas se souvenir de l'affaire de la petite Maddie il y cinq ans, et de l'abbatage médiatique qui a suivi ? La fillette britannique alors âgée de quatre ans était en vacances avec ses parents au Portugal. Après avoir dîner à l'extérieur - sans leurs enfants - avec des amis, monsieur et madame Mc Cann rentrent dans leur appartement et découvre le lit de leur fille, vide. Maddie a disparu. Affaire de pédophilie ? Culpabilité des parents ? A ce jour, l'enquête n'est toujours pas élucidée.
Arthur Dreyfus s'empare de ce fait divers en empruntant le canevas de l'affaire. Seulement, il privilégie une piste, celle des parents. Il dessine les personnages à sa guise en créant de toutes pièces pour chacun d'eux une personnalité et une psychologie. Sous sa plume, la famille anglaise devient française et la disparition a lieu en Toscane. Madec endosse le rôle de Maddie. Ce petit garçon lunaire a sept ans et est le second enfant d'une fratrie de trois. Différent de ses frères, plutôt chahuteurs, Madec se met volontairement en retrait. Laurence et Stéphane Macand, ses parents, sont tous les deux médecins, issus de la bourgeoisie et catholiques. Ils vivent à Granville.
le tableau de famille semble parfait, mais si on gratte un peu, le vernis se craquelle. La mère est froide, distante et sévère, le père a depuis longtemps lâcher prise, envahi par une déprime qui le ronge. Il sombre doucement dans l'alcoolisme.
le lecteur sent le drame se profiler – je ne dévoilerai évidemment pas le noeud de l'affaire – et se sent de plus en plus mal à l'aise au fur et à mesure que sa lecture avance. Il plonge lentement dans l'indicible, l'innommable, la médiocrité humaine. le ton impertinent et le cynisme de l'auteur amplifient le côté glauque de l'histoire. le déchaînement médiatique fait froid dans le dos – sûrement proche de la réalité pourtant –. Et que dire de cette mère glaciale, insensible, engluée dans un mensonge qui la dépasse... Un roman dur, sombre et troublant.
Lien : http://lesmotsdelafin.wordpr..
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Belle famille - Arthur Dreyfus – nrf- Gallimard

Inspiré d'un sombre fait divers ( la disparition au Portugal de Maddie,petite anglaise âgée de 4 ans), Arthur Dreyfus a su le maquiller, le modeler et très vite s'en éloigner grâce à son imagination inventive et polymorphe pour le métamorphoser en oeuvre littéraire. Comme le préconisait Maupassant, l'auteur a choisi de sacrifier la vérité sur l'autel de la vraisemblance. Démarche développée dans le préambule.Mais la fiction ne déteint-elle pas sur la réalité et vice-versa?
L'auteur met en scène la famille Macand, flanquée de trois garçons, dont Madec (7ans) qui surprend par sa différence et semble attirer la malédiction. Les parents, médecins très impliqués dans leur vie professionnelle, laissent parfois leur progéniture seule. Ce qui soulève la responsabilité parentale.
On s'attache d'autant plus à Madec (enfant marginal, solitaire, curieux de tout,d'où ses escapades )qu'il semble souffrir de carence affective. Hélas, le destin nous l'arrache lors de vacances familiales en Toscane. Madec, évaporé, introuvable, aurait-il fugué? Serait-il victime d'un pédophile?
Arthur Dreyfus noue une complicité avec le lecteur, témoin oculaire du drame, ce qui lui donne un ascendant sur les autres personnages. le rythme s'accélère avec l'enquête judiciaire. Une atmosphère anxiogène s'installe,oppressante, à la Hitchcock. La psychose se propage.
Suite à des interrogatoires infructueux,les soupçons se reportent d'un individu à l'autre pour finir sur la mère, la presse à scandale s'en mêlant.
Si Laurence est «  dépourvue de psychologie », Arthur Dreyfus sidère par sa capacité à se couler dans la peau de ses protagonistes, et à pénétrer leur intériorité, tel le caméléon de Madec.
Il autopsie la relation du couple dont les sentiments se délitent: des époux qui ne se comprennent plus, ne communiquent plus, font chambre à part , en arrivent même à la violence.
Il explore les liens : mère/fils, père/fils avec beaucoup d'acuité, soulignant que les parents ont tort de croire « que les enfants sont dupes de leur mensonge ».
Arthur Dreyfus darde ses projecteurs sur Laurence, cette maîtresse femme, capitaine du navire familial, intransigeante, n'hésitant pas à mentir à ses enfants. N'est-elle pas capable de « stratégie torve »? Si la complicité du père avec Madec est tangible, la mère se montre avare en câlineries.
Les réactions de Laurence ( malaise, coup de folie, évanouissement) face à cette absence de Madec déconcertent son entourage. Ne se débat-elle pas avec les affres de la culpabilité? , tiraillée entre deux certitudes: « Je ne l'ai pas tué » et « Son fils s'était tué par elle ».) Son indicible douleur est-elle feinte ou réelle? Son aveu final , bien que resté enfoui, a quelque de glaçant.
La galerie de personnages secondaires irriguent la deuxième partie de la narration en une arborescence de digressions. L'auteur focalise notre attention sur Tony, l'oncle de Madec. Déterminé à remuer ciel et terre, n'hésitant pas à solliciter des sommités, il déchaîne une horde médiatique.
Les paparazzi s'intéressent aussi à Ron, suspect potentiel en raison de son passé interlope.

Arthur Dreyfus a distillé une pléthore de séquences burlesques, quasi théâtrales ( dialogue de sourd et quiproquo entre Laurence et le chef cuisinier), à faire se dérober le tragique. Les préparatifs de départ en vacances de la famille Macand font songer aux vacances de Monsieur Hulot. D'autres scènes relèvent d'un comique à la Benny Hill: Stéphane, « agenouillé en silence » « priant sous un crucifix », le prêtre sursautant quand Laurence se laqua les cheveux, les feuilles de menthe du cocktail de Ron se répandant dans la piscine ne sont que quelques exemples. La démesure est à son apogée avec le cimetière de Granville en passe de devenir une réplique du Facteur Cheval, avec la voiture customisée 'Exoticar'. L'audition papale tourne au vaudeville, le raout au pugilat.
Il ose l'humour noir quand il imagine Simone Cazzi au volant d' « une voiture futuriste carburant aux nimbus »! ou restitue des détails les plus horribles. Il frise la caricature dans certains portraits.

L'auteur entrecroise plusieurs thématiques: influence néfaste des jeux vidéo ou de lectures (mal adaptées à l'âge), les dérives de la presse, l'emballement médiatique, les carences de la justice.
Il insère des réflexions philosophiques: « Fallait-il forcer le bonheur? », et une multitude d'interrogations sur la vie, l'enfance, la famille,l'amour( la déliquescence sentimentale) et la mort.


Arthur Dreyfus impressionne par sa facilité à déployer une riche variation de niveaux de langue.
Il décline le parler rustre de Garrec ( le vieux fermier); le parler enfantin de Madec («T'inquiète! ») ou des garçons; le vocabulaire relâché de Fabien et Tony ( touristes en vacances) contrastant avec celui de Laurence ou du narrateur plus châtié; le commentaire d'un blogueur (style texto).
On songe à Jules Renard en lisant la description du caméléon, « ce cadeau détestable » de l'oncle.
Il nous offre même une incursion du côté de l'anglais et de l'italien, jusqu'au « niet » russe.
A ce vaste panel, s'ajoute la voix du narrateur dans ses envolées poétiques: « Les épineux ondulaient placidement », « les poudrins »assaillent Laurence ; empreinte d'humour: «mastiquant sans joie le goût de la santé ».Sans oublier son sens de la formule: « un coup n'était rien d'autre qu'une caresse très accélérée. Ou bien qu'une caresse était un coup au ralenti » ou « Le soleil s'était appliqué », ce qui permet d'admirer la falaise qui «  ne faiblissait pas à sa réputation dorée ».L'auteur sait nous surgir la scène: « Une confluence de regards escortait son caddie ».

Arthur Dreyfus signe un second roman ample,très maitrisé, désespérément divertissant, servi par une écriture cinématographique, foisonnant de références littéraires, musicales, artistiques.
Le talent du romancier repose dans sa façon de conduire l'enquête, tel un thriller; de décrypter les émotions de la mère mettant en relief ses pensées intérieures et gestes. Au lecteur de juger.
Il campe ses protagonistes dans des lieux dépeints avec minutie: Granville « la Monaco du Nord ».
Quant à la résidence en Toscane, elle s'avéra n'être qu' « un amas de bungalows industriels ».

En tricotant subtilement les épisodes grotesques, hilarants et le registre dramatique, Arthur Dreyfus réussit à décrisper nos zygomatiques et à nous maintenir en haleine par une intrigue effroyable, prenante, enfilant les rebondissements en cascades jusqu'au coup de théâtre final.
Il nous offre un récit multi facettes à son image, qui nous possède encore, le livre refermé.
Un bel éventail d'atouts en faveur de Belle Famille, ce « page turner » qui bouscule et lacère.
A lire d'une traite pour en apprécier encore plus le tempo.
Drôlerie, humour, tendresse sont au rendez-vous, mais aussi suspense, effroi et tension.
On serait tenté de changer le titre Belle famille en Satanée famille ou Maudite famille!
Une écriture dreyfusienne est née.
PS: Quant à Arthur Dreyfus, conseillons lui de réagir comme son narrateur, à savoir:
ne pas se demander pourquoi les gens aiment le lire. Juste le constater!
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A la lecture de Belle famille, j'ignorais qu'il s'agissait d'un roman tiré d'un fait divers. Point de départ pour Arthur Dreyfus de mettre en scène un couple bourgeois de Granville, parents de trois enfants, confronté au drame de la disparition du cadet, Madec.
L'auteur s'en éloigne assez vite pour ancrer son histoire dans une réalité sordide. Les portraits de Laurence, la mère, Stéphane, le mari et Tony, le frère de Laurence sont particulièrement corrosifs. Le ton est résolument ironique et cynique. Laurence ne subit pas le drame, elle le provoque, le met en scène, le manipule jusqu'à l'écoeurement.
De Malec, le fils disparu on retiendra le peu de place qu'il occupait dans cette famille.

Belle famille est un roman dérangeant qui pointe du doigt des réactions et comportements poussés à leur paroxysme. Aussi dérangeant certainement que suivre ce genre de faits divers dans les journaux dont se régalent certains médias et certains publics en mal de sensations. Le style, tranchant est vif, l'écriture entraînante contribuent sans nul doute à poursuivre la lecture jusqu'au dénouement, sombre et accablant.
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Première impression : langage excessivement pompeux, venant entraver l'imagination du lecture. On ressent tout l'effort mis par l'auteur pour rendre (essentiellement) les premières pages parfaites dans le choix des mots. Ca gâche la fluidité du récit. Cette impression finit toutefois par se disperser au fil de la lecture, l'auteur s'étant probablement plus laissé porté par l'histoire que son travail d'écriture en tant que tel (c'est l'impression que j'en ai eu).
Autre chose, je suis extrêmement mal à l'aise quant à l'idée globale du récit.

Je ne conçois pas qu'on puisse écrire une telle histoire, inculpant les parents, alors que le lien avec la petite Maddie est plus qu'évident. Je trouve ça très irrespectueux vis-à-vis de la famille, et ne vois pas l'intérêt de s'être autant inspiré de l'histoire réelle de cette enfant. le livre aurait eu un aspect beaucoup moins malsain à mes yeux s'il s'était présenté comme une pure fiction totalement détachée de l'histoire de Maddie.

Je nuancerais mes propos en pointant notamment le fait que l'intrigue est plutôt bien menée à mon goût, et j'ai bien apprécié l'entremêlement des différents portraits.

Je pense également que l'auteur a sur rendre certains passages intéressants en mêlant diverses connaissances, de l'histoire de l'art, histoire politique, géographiques etc.. Parfois un peu trop, donnant une impression d'étalage de connaissances par moment.

Enfin, il s'agit à mes yeux d'un récit plus personnel qu'adressé à un public divers.L'enfance et l'environnement familial ressort indéniablement au travers des personnages j'ai trouvé, et c'est ce qui m'a le plus fasciné dans ce livre à vrai dire...
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Les Macand, couple bourgeois de Granville, tous deux cardiologues partent avec leurs trois enfants en Italie pour les vacances. Si Vladimir et Antoine sont enclins aux jeux, Madec âgé de sept ans est un enfant plutôt solitaire et sensible. Sa mère Laurence, froide et autoritaire, a du mal à cerner son fils. A peine arrivés à destination, un dramatique accident survient et Madec meurt. Laurence Macand va dissimuler le corps et Madec est porté disparu.

Arthur Dreyfus s'est inspiré comme point de départ de l'affaire Maddie MacCann, une enfant de quatre ans disparue au Portugal durant des vacances familiales. Et la comparaison s'arrête là. Des le début du roman, la psychologie est mise en avant et l'auteur dissèque ce couple bourgeois. Sous le vernis, la réalité est moins reluisante. Stéphane Macand fervent catholique, porté sur la boisson est considéré son épouse comme un bon à rien. Laurence Macand dirige et régente tout. Supérieure hiérarchique de son mari, elle montre peu d'amour maternel envers ses trois enfants. D'un sang-froid absolu, elle possède une grande maîtrise d'elle-même. Et quand elle découvre le corps sans vie de son fils, elle décide de le dissimuler et de ne rien dire.

la suite sur :
http://fibromaman.blogspot.fr/2012/08/arthur-dreyfus-belle-famille.html
Lien : http://fibromaman.blogspot.f..
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Politiquement incorrect, écrite dans un style vif et prenant, l'histoire de Madec et de sa famille saisit le lecteur dès la première page ... pour ne plus le lâcher !
Une famille "modèle" de la bourgeoisie française (les parents médecins, 3 enfants) part en vacances en Italie. Mais comment vit réellement cette petite communauté "bien sous tous rapports" ?... A quoi mène le quotidien quand on est hypocrite, médisant, fou (?), alcoolique, .... ???
De fil en aiguille, la disparition de Madec (puisque c'est de ça qu'il s'agit) va détruire un homme innocent, perturber les arcanes du pouvoir, tenter de faire réagir le Pape, mobiliser les médias, révéler les "talents" de coach d'un beau-frère sans scrupule ... Et c'est avec horreur et délectation que l'on se prende au jeu des comparaisons ... Comme dans "la vraie vie"! Génial !!!
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(...)
J'ai eu beaucoup de mal à lire ce livre... Cette histoire m'a dérangée, elle est malsaine. le titre se veut-il ironique ? Je suis gênée par l'ironie et le cynisme de l'auteur autour de ce fait divers douloureux et non résolu…

Le lecteur sait au bout d'une centaine de page, le sort de Madec imaginé par l'auteur car il assiste à la disparition de l'enfant et devient spectateur de ce qui se passe après... Ensuite, il suit en parallèle le quotidien des parents et de leurs proches, de l'enquêteur italien et du principal suspect comme dans un épisode de l'inspecteur Colombo...

Les personnages sont caricaturaux, la mère est machiavélique, le père démissionnaire et inconsistant, les frères insupportables. Tony, l'oncle de Madec est un personnage cynique, il s'est autoproclamé porte-parole de la famille Macant et débarque dans l'histoire après la disparition de Madec pour créer un buzz médiatique. Seuls le petit Madec, enfant incompris, fait pitié et Ron le principal suspect est touchant.
(...)
Lien : http://aproposdelivres.canal..
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