Le grand vertige

Mais où est donc la magie, le souffle épique déroulés dans "Eroïca". Déjà, "L'invention des corps" m'avait laissé l'impression d'un empilement d'extravagances délirantes. Ici, sur un thème "bateau", l'auteur a assez d'imagination pour noircir près de 360 pages. Mon sentiment, à la lecture, est un vertige qui donne le tournis avec des personnages et des voyages à n'en plus finir, qui, ni les uns ni les autres ne suscitent le moindre intérêt. Sans doute que des adolescents, seront sensibles au côté puzzle- défense de l'environnement-sauvons la planète. Moi, je me suis lassé. (simple opinion)

Tout d'abord je ne comprenais rien à ce livre, par la suite quelques morceaux ce sont rassemblés pour faire un épouvantail.
Je suis complètement perdu par ce livre qui n'apporte rien, est brouillon au possible.
Fable écologique ? Je ne suis pas sûr d'avoir le même concept de l'écologie.

Livre abandonné au bout de 100 pages. Je n'ai pas adhéré aux récits de ces envoyés au quatre coins de la terre pour en faire un bilan écologique. L'écriture m'a dérangé, je n'aime pas l'accumulation de synonyme à la queue leu leu pour décrire un même mot et cela revenait de façon un peu trop systématique pour moi.
Deuxième livre lu (ou mi-lu) de cet auteur et les deux ne m'ont pas convaincus.

Rien ne tient la route dans ce roman foutraque. Ni le projet initial censé apporter des solutions innovantes à la crise environnementale, ni la suite. On ne peut en effet guère qualifier le terrorisme d'idée créatrice. Les missions confiées aux membres du groupe frisent l'absurdité totale. Quant aux solutions innovantes, elles sont finalement trouvées, mais elles relèvent du miracle plutôt que de la science. le style est assez prenant au début mais on s'en lasse vite.