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Ce quatrième tome est le dernier du cycle 1. du coup, on finit sur une fin à suspense qui m'a bien donné l'envie de lire le cycle 2. J'ai beaucoup aimé ce tom plein de mystère. Nos personnages atteignent enfin le trésor mais ce n'est pas exactement ce qu'ils pensaient. de plus, c'est une bande-dessinée joliment historique je trouve.
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Malgré que Kim essaie de s'imposer dans ce volume, et avec elle, son histoire de nos jours, à mon ressenti, elle n'arrive pas à la cheville de Jade dont je préfère les aventures.
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Un nouveau tome qui met en scène Jade et surtout Kim face au fameux trésor. Pour le coup, la superposition temporelle est plus que judicieuse. D'un côté, on suit l'expédition menée par Jade et son issue fatale pour certains... de l'autre, on voit Kim , nouvelle djinn, confrontée à une sorte de banquier de Zurich magique qui lui propose un coffre. le moins que l'on puisse dire c'est que c'est la roulette russe avec ces coffres.. Et j'aime beaucoup la décision de Kim, surtout après la dernière planche qui intrigue suffisamment.

Pour le reste, j'apprécie la manière dont le contexte historique réel est mis en scène par les auteurs et surtout; l'image des oiseaux libérés des volières en même temps que les femmes du harem, jolie image qui signe la fin d'une époque


Ce que j'aime : le contexte historique plus présent, le mystère du coffre de Kim et le revers de médaille d'un autre coffre...


Ce que j'aime moins : j'ai l'impression qu'on arrive au bout de l'histoire de Jade, le fatalisme de Kim qui pense que le "djinnisme" est une malédiction (alors que bon... ok tout plaide dans ce sens pour l'instant mais c'est à voir)


En bref : Un tome dont l'intrigue gagne en épaisseur et donne une dimension historique à l'ensemble


Ma note


7/10
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Tout comme le tome 3, je n'ai pas été enthousiasmée par ce tome 4 comme je l'avais été par les 2 premiers. J'ai l'impression de ne pas avancer dans l'histoire, que cela traîne en longueur. Les dessins sont toujours aussi beaux mais le scénario se tire sans vraiment être exhaltant.

Lien : http://jenta3.blogs.dhnet.be..
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un tome pour rien, me suis-je dit en fermant celui-ci. C'est comme si sachant qu'un nouveau cycle s'ouvrant, pas la peine de s'embarrasser et faire avancer l'intrigue. Quel ennui ! Je vais lire le tome 5 pour voir, mais mon intérêt s'est perdu dans les sables du désert turc de ce volume... Il va falloir plus d'actions dans le tome 5 !
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Sur fond historique, Jean Dufaux laisse la part belle à une fiction à la limite du fantastique, où passé et présent se joignent habilement. Il arrive dans ce premier cycle très facilement à nous entraîner dans son histoire et ne perd pas un instant le fil de son récit, alors que l'alternance entre deux époques n'est pas toujours la voie de la facilité. Mais même si le scénario est original et réserve sa part d'onirisme, il a cependant manqué un je ne sais quoi pour m'emporter complètement, d'autant plus que de nombreux clichés sont présents (des personnages secondaires stéréotypés, aux prouesses sexuelles qui apportent le pouvoir). Et en dépit de l'envoûtement que peut susciter cet univers, peut-être est-il ici un peu trop marqué par un fantasme occidental qui rebutera, je pense, les amateurs de réalité historique.
Mais en s'attelant au monde des harems, les auteurs ont au moins réussi à ne pas tomber dans l'écueil de la vulgarité. Je pense qu'on ne peut en ça que louer le trait d'Ana Miralles. Fine, teintée de couleurs chaudes et d'une sensualité époustouflante, sa plume magnifie le corps des femmes sans tomber dans le sordide. Les scènes de harem, par exemple, entre tenues transparentes et vapeur des bains turcs, sont une ode à la langueur. Et au-delà de cette atmosphère érotique, mentionnons également les paysages de toute beauté, en particulier lorsqu'il s'agit de représentations d'Istanbul

Lien : http://livrementvotre.blogsp..
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Entre le verre et le cristal !


Ana Mirallès est une illustratrice et dessinatrice de BD espagnole née en 59, qui travaille régulièrement avec son compatriote et compagnon Emilio Ruiz. Ensemble ils ont signé l'album érotico-pornographique 'Corps à corps' (1991), après quoi elle a fait paraître durant ces mêmes années 90, la trilogie 'Eva Medusa' avec la collaboration d'Antonio Segura, puis à nouveau avec son compagnon Emilio Ruiz, le triptyque 'A la recherche de la licorne'. Mais ce n'est qu'en 2001 que celle qui sait si bien éveiller et entretenir nos fantasmes, et pour une fois les femmes devraient y trouver leur compte, a vraiment cartonné grâce à la formidable série 'Djinn' scénarisée par le Français Jean Dufaux. Et tout en continuant de travailler sur 'Djinn', elle a lancé en 2011 une toute nouvelle série, avec Emilio Ruiz, 'Murraqqa'', dont l'action se déroule à la cour de l'empereur moghol Jahangir au XVII° siècle.


'Djinn' est une saga qui comprend, à l'heure actuelle, 3 cycles :


- le cycle ottoman de 4 volumes + 1 artbook


- le cycle africain de 5 volumes + 1 artbook


- le cycle indien qui comprend pour le moment 1 volume


Ce coffret en très épais carton, qui nous vaut sur la couverture, le dos et le quatrième de couverture une superbe fresque érotique, comprend le tome 4 du premier cycle + 1 artbook + une double page cartonnée noire avec deux dessins pleine page en couleur à l'intérieur (extraits de l'artbook) + 1 port-folio qui se présente sous la forme d'une enveloppe blanche en carton épais contenant 6 splendides aquarelles érotiques sur un beau papier blanc d'une certaine épaisseur.


De nos jours (plus ou moins), une jeune britannique, Kim Nelson, se rend à Istanbul dans l'espoir de pouvoir s'y informer sur sa grand-mère, Jade, qu'elle n'a pas connue, mais qui fut la favorite du Sultan Murati dans les années qui précédèrent la première guerre mondiale. A partir de là, nous avons droit en parallèle à l'histoire de Kim comme à celle de Jade :


Au départ à Istanbul en 1912, le Sultan Murati donne carte blanche à sa favorite, la superbe Jade, aussi cruelle que splendide, pour qu'elle s'emploie à séduire Lord Nelson, un attaché de l'ambassade de la Couronne britannique. Dans un premier temps, Jade s'applique à enjôler la jeune et naïve Lady Nelson et en fait son esclave sexuelle...


Dans le deuxième tome, Jade fait subir à Lady Nelson le supplice des 30 clochettes qui devrait mener celle-ci dans les bras du Sultan ; mais l'époux de la belle Lady veille, pénètre dans le harem et tente de faire s'en échapper sa femme...


Dans le troisième tome, Jade se retrouve dans les bras de Lord Nelson : comme le Sultan a enlevé à celui-ci son épouse, que le dit Anglais n'a su retrouver dans le dédale du gynécée du Sultan, Lord Nelson a finalement enlevé la favorite du maître des lieux et s'est enfui avec elle...


Dans le quatrième et dernier tome, c'est la fin de l'Empire : le Sultan noir libère ses oiseaux et ses femmes (dans cet ordre-là !) ; Jade, qui lui était revenue, après le décès des Nelson, s'est vue confier une dernière mission : conduire les Allemands, les nouveaux alliés du Sultan, jusqu'à son mythique trésor, enfoui quelque part dans les sables du désert...


Au départ également et à Istanbul toujours, mais de nos jours, un homme d'affaires ruiné, Amin Doman, se greffe sur les recherches qu'effectue Kim ; il tient absolument à s'emparer du trésor caché et jamais retrouvé du Sultan noir (le surnom de Murati). Heureusement pour Kim, un jeune et bel ange gardien, Ibram Malek, veille sur elle...


Dans le deuxième tome, Kim réussit, avec l'aide de Malek, à arriver, quelque part dans les montagnes, jusqu'au nid d'aigle d'Ebu Sarki, le seul homme qui puisse lui en apprendre plus sur sa grand-mère ; mais elle aussi doit subir l'épreuve des 30 clochettes avant que de pouvoir approcher l'homme qui, dans sa forteresse de Morta Sala, perpétue l'ancienne tradition des harems et y reçoit, à l'occasion, de très riches clients, qui paient des fortunes pour venir assouvir leurs fantasmes les plus secrets dans son gynécée...


Dans le troisième tome, Kim, pour sauver Malek, fait prisonnier et mis à mal par Ebru Sarki, accepte de se donner aux invités de celui-ci...


Dans le quatrième et dernier tome, Kim, possédée par l'esprit -le djinn- de sa grand-mère, conduit à son tour Amin Doman et ses hommes sur les traces du trésor jamais retrouvé du Sultan noir...


Plus l'artbook qui conclut le premier cycle : un texte de Jean Dufaux qui raconte la genèse et l'évolution de la saga illustré de nombreux croquis et autres crayonnés, dessins préparatoires et magnifiques aquarelles finales en N&B et en couleur pour prolonger le plaisir.


'Djinn - le premier cycle' est une fresque sur la fin d'une époque, celle des derniers Sultans et de leurs mythiques harems, qui furent autant des lieux de complots, voire de crimes que de séduction. Et c'est bien sûr aussi une réflexion sur les jeux de pouvoir : qui, du maître ou de l'esclave le détient : le corps de la Femme restera toujours le pouvoir suprême devant lequel l'Homme ne pourra s'empêcher de plier. 'Djinn' est une porte ouverte sur les fantasmes, un caillou dans les eaux dormantes de nos libidos. Et si vous preniez un peu de ce puissant aphrodisiaque ?
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La fin du cycle ottoman de Djinn. Je n'ai au final que modérément apprécié cette série érotique au coeur des harems turcs. Malgré quelques bonnes idées comme celle de lier les destins de Kim et de Jade à des époques différentes et malgré tout le talent de la dessinatrice dont j'aime particulièrement le travail, je pense qu'il me sera difficile de continuer à suivre les aventures des Djinns. La faute à une histoire un peu fade qui ne m'a pas vraiment emballé. Ce quatrième tome et à mon avis d'ailleurs, le moins bon de la série.
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Une BD tout simplement merveilleuse ! Pourquoi avoir mis le T.4 dans ma bibliohèque et pas le tome 1 ? Car cette couverture est de loin la plus belle. Des couleurs flamboyantes et un scénario bien construit, que demander de plus ?
Le premier cycle en Turquie m'a cependant davantage plu que le 2ème en Afrique à cause de ses couleurs certainement, de son atmostphère, mais l'intrigue reste toujours aussi captivante.
Un vrai plaisir des yeux !
Lien : http://yacours.wordpress.com..
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Quatrième tome de Djinn et dernier du Cycle ottoman, cet album termine l'histoire entreprise par Miss Nelson sur son aïeule en quête d'un trésor qu'elle souhaite retrouver. La recherche dans le désert est violente pour les personnages qui tournent autour du personnage principal pour finalement nous rendre compte qu'il ne se trouve peut-être pas là où on le pense. L'histoire paraît un peu nébuleuse et certaines scènes sont complètement chaotiques. le scénario est bizarrement fait au détriment d'une compréhension générale. Seule la chute paraît irréelle, Miss Nelson s'étant obliger à parcourir l'univers du harem pour pas grand chose et qui lui serait arrivé presque avec autant de facilité.
Le graphisme retrace toujours aussi bien l'ambiance du désert, de la politique du siècle dernier, et des coucheries, mais il faut reconnaître que le niveau n'est pas à la hauteur de la couverture qui en revanche elle est franchement magnifique. L'art de ces albums résident dans leur apparence extérieure. C'est beau, envoûtant, sensuel…
En somme, ce tome est assez décevant et l'ensemble de ce premier cycle ne semble pas à la hauteur du succès de cette série.
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