L'honneur, c'est comme la virginité, ça ne sert qu'une fois.
Ne craignez jamais de vous faire des ennemis : si vous n'en avez pas, c'est que vous n'avez rien fait.
[...] Les rapports se fabriquent, c'est comme les réputations, on ne peut jamais leur accorder toute notre confiance...
- Le gouvernement de la République a pour mission de faire que les bons citoyens soient tranquilles, que les mauvais ne le soient pas.
- Ben tiens, et c’est toujours les pauvres qui sont les mauvais, hein ?
- Parce que vous pensez que la royauté, c’est mieux ?
- Nan ! Ni dieu, ni maître, ni roi ! Vos banquiers continuent de s’en mettre plein les fouilles et les loquedus de crever la faim, ça ne m’intéresse pas, vos histoires !
[Clémenceau] Avez-vous idée de ce qui s’est passé depuis 1914 ?
[Bonnot] Les banquiers et les capitalistes ont déclenché la guerre et vous l’avez perdue ?
[Clémenceau] C’est un bon début…
- Comment s’appelle-t-il déjà celui-là ?
- Josip Broz Tito, déserteur de l’armée austro-hongroise, un Croate ou un Serbe, je ne me souviens jamais, mais c’est une des meilleures lames que je connaisse…
[Jules Bonnot au Château d’If] Je ne suis pas un numéro !
- La soif d’apprendre, Blondin, c’est une caractéristique des anarchos, depuis Elisée Reclus.
1917 : Après la capitulation française, Clemenceau prépare la revanche sur l'occupant allemand.
La police a tué plus d’ouvriers que le contraire.