Longtemps après la lecture du Nom de la Rose et du Pendule de Foucault,
Horus Fonck goûta du dernier roman d'
Umberto Eco.
Désabusé mais toujours malicieux, l'immense auteur emmenait son lecteur conquis dans le tourbillon d'un journal en création.
Démons de l'histoire et actualité glauque forment un nouveau labyrinthe pour le visiteur tâtonnant et halluciné... Avec Mussolini comme obsession ultime.
Mais tout cela en vaut-il la peine?
La fin est proche pour le magicien d'italie qui livre ses dernières pétillances.
Puis, le voila parti rejoindre
Collodi,
Calvino,
Manganelli,
Fellini et toute la parade du génie transalpin.
Merci, encore et toujours merci, Monsieur Eco de qui j'ai encore tant à lire et à m'émerveiller!