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Peneloppe Tredwell est non seulement un célèbre auteur d'histoires à faire peur, publiées sous le nom de "Montgomery Flinch" mais elle est aussi la propriétaire du magazine en vogue, le Frisson illustré. Seul problème, elle n'est encore qu'une toute jeune fille dans le Londres menaçant de 1899. Elle utilise donc un prête-nom dont elle affirme être la nièce afin de pouvoir mieux le diriger.
Seulement cet homme se révèle être alcoolique et couard et tout se complique lorsque Montgomery est appelé en raison de ses capacités de déduction et de réflexion à comprendre pourquoi, tous les pensionnaires de l'asile de fou de la ville, se lèvent tous les soirs, douze minutes avant minuit pour écrire d'étranges phrases...

Cette étrange enquête policière dans l'Angleterre de la fin du 19ème siècle se double d'une refléxion sur la relation qui peut exister entre l'auteur et ses lecteurs. Dans une atmosphère sombre et angoissante, la courageuse héroïne va devoir découvrir l'origine de la folie intense qui peu à peu se répand dans les rues de Londres, au soir du réveillon, à la veille du changement de siècle. Nous croisons dans ce texte riche en intertextualité, Conan Doyle, H.G. Wells ou encore Rudyard Kipling, en prises avec le pouvoir des mots et de l'imagination... Suivons-les...
Lien : http://0z.fr/s_ZXJ
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Penelope Tredwell a 13 ans : elle est toutefois propriétaire du magazine le Frisson illustré, et écrit également des histoires sous le pseudonyme de Montgomery Flinch.
Et oui, on ne fait pas ce qu'on veut quand on est une jeune fille, en 1899... Mais Montgomery Flinch, rattrapé par son succès, attise la curiosité... Penelope se voit donc contrainte d'embaucher un acteur, assez minable il faut bien l'avouer, pour jouer le rôle de l'auteur.
L'aide de Montgomery est un jour demandé par le directeur de Bedlam, un asile de fous, car il s'y passe de drôles de choses, 12 minutes avant minuit : certains malades se mettent à écrire frénétiquement, des choses apparemment incompréhensibles. La jeune héroïne décide de mener l'enquête, avec l'aide (ou non) du faux Montgomery...
L'enquête est menée tambour battant, entre suspense, aventures et frisson (brrr de vraies sales bêtes, ces araignées).
J'ai trouvé la trame du récit très originale, mêlant habilement le mystère du Londres fin de siècle au futur XXe siècle.
Une jolie découverte.
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Pénélope est propriétaire d'un journal, elle écrit les récits qui font frissonner le Royaume-Uni tout entier, tant ils sont effrayants et brillamment écrit. Elle a même eu l'idée d'embaucher un acteur pour tenir le rôle de l'auteur Montgomery Finch – impossible, n'est-ce pas, dans la société victorienne, ou même dans la société tout court, de présenter une adolescente comme un auteur génial, une enquêtrice hors pair, n'est-ce pas ? Pourtant, après ce coup de génie publicitaire, il faut se rendre à l'évidence : les services de Monty sont demandés d'urgence, et pas par n'importe qui, par le directeur de Bedlam, le célèbre asile de fous londoniens. Et l'acteur, qui tient pourtant le rôle de sa vie – pour ne pas dire le rôle de toute une vie – n'est pas vraiment à la hauteur, tant il est peureux et porté sur la dive bouteille. A sa décharge, il est quand même plus confortable de boire, bien au chaud dans son club, que d'enquêter sur les délires des aliénés.
Et c'est là, après une centaine de pages, que l'enquête devient véritablement intéressante, à mi-chemin entre le policier et le fantastique. S'il est bien un thème essentiel dans ce roman, c'est le pouvoir créatif de l'écriture. Quel emprise peut avoir un texte sur ses lecteurs ? Quel est le lien entre l'auteur et ses personnages, a fortiori quand l'auteur se crée un double qu'il doit chaperonner ? Un auteur peut-il rester prisonnier de son propre univers créatif, au point de ne plus pouvoir en sortir ?
Le second thème est celui de la folie. Qui l'est véritablement dans ce livre ? Il suffit de voir (mais ce n'est pas nouveau) la facilité avec laquelle une personne peut être internée, ou la facilité avec laquelle il est possible de basculer dans l'aliénation mentale. Certains motifs sont plus admissibles que d'autres, et la frontière est vraiment ténue entre la dépression et la folie proprement dite – si ce n'est que certains fous (de pouvoir, de puissance) savent très bien donner le change.
Douze minutes avant minuit est un roman de littérature jeunesse que je recommande sans problème, sauf à ceux qui ont la phobie des araignées. Les chères petites ont un rôle à jouer dans cette intrigue, et gare à ceux qui veulent leur nuire.
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Le 19è siècle est sur le point de s'achever en cette fin décembre 1899 et le tout Londres n'a qu'un nom en tête : Montgomery Flinch ! L'homme est mystérieux, personne ne le connait ni ne sait à quoi il ressemble, il fait pourtant les beaux jours du Frisson Illustré, un magazine au bord de la banqueroute avant que cet homme providentiel n'arrive. Ses histoires terrifiantes font le bonheur de ses lecteurs au grand dam des autres périodiques. C'est d'ailleurs lui qui ouvre le récit avec sa première apparition publique à l'occasion d'une lecture de son conte de Noël paru bien évidemment dans le Frisson Illustré et qui bat des records d'impression, avec un million d'exemplaires écoulés, un tirage, qui terrasse tous ses adversaires. Mais le célèbre et adulé Montgomery Flinch n'existe pas, c'est un personnage inventé de toutes pièces par Penelope Tredwell, une jeune fille de 13 ans, qui est l'éditrice, la rédactrice en chef et la véritable auteure du Frisson Illustré ! Depuis la mort accidentelle de ses parents, c'est elle et son tuteur M. Wigram, le meilleur ami de son défunt père, qui ont réussi hisser ce magazine de l'ombre à la lumière pour en faire le magazine le plus célèbre de Londres. Alors qui est cet homme sur l'estrade en train de captiver son auditoire ? Monty Maples, un acteur totalement inconnu, rarement à jeun, à qui incombe la délicate charge d'incarner l'auteur à la mode du moment.
Un homme qui rencontre de tels succès a un lectorat forcément nombreux et fidèle qui l'abreuve de lettres et parmi celles-ci, l'une retient l'attention de Penelope, celle du docteur Morris, le directeur sanitaire de Bedlam, le célèbre asile de fous. Ce dernier requiert l'aide du grand Montgomery Flinch car il se passe de bien étranges choses chaque nuit, douze minutes avant minuit : tous les patients se réveillent et sont pris d'une frénésie d'écriture impossible à contenir et à tarir, ils sont comme possédés, comme victimes d'un enchantement. Ils écrivent sur tout ce qu'il leur tombe sous la main, sur le papier bien sûr mais aussi sur les murs, les cuvettes et sur eux-mêmes, lorsque c'est le seul support à leur disposition. Ces écrits de minuit que Penelope brûle de lire, ressemblent un peu aux prophéties de Nostradamus (je vous rassure en langage très clair) puisqu'ils traitent de faits qui n'auront lieu qu'au 20è siècle, voire au 21è. Malheureusement pour notre héroïne, tous les écrits se sont volatilisés comme par magie et elle va devoir les retrouver d'urgence. le peureux Monty Maples n'a qu'une hâte, partir au plus vite et retrouver son club et son verre de whiskie mais Penelope ne l'entend pas de cette oreille et compte bien percer ce mystère, pour en faire une histoire à sensation et glacer une nouvelle fois ses lecteurs de peur.
Douze minutes avant minuit est une véritable plongée dans un Londres victorien très mystérieux et dont l'atmosphère, gothique à souhait, est très réussie. L'auteur connait bien la période et nous offre des balades nocturnes plutôt angoissantes, entre les bas fonds, la maison de la Veuve Noire, le muséum d'histoire naturelle et l'asile de Bedlam. C'est une lecture étonnante et singulière, destinée à un jeune public à partir de 12 ans, qui m'a pourtant beaucoup plu et que j'ai dévoré, je compte d'ailleur la faire lire aux garçons lorsqu'ils auront l'âge, car bien que le héros de cette histoire soit une fille, elle n'en est pas moins une figure forte, indépendante et intelligente, qui pourra leur plaire. Christopher Edge nous livre un récit créatif, mélange de polar, d'horreur et de fantastique, idéal pour la période d'Halloween et une bonne introduction pour faire découvrir aux jeunes lecteurs ces différents genres littéraires. L'auteur en profite aussi pour mettre en scène deux grandes plumes de cette fin de siècle : H.G Wells et sir Arthur Conan Doyle, une bonne façon là aussi de présenter de grands auteurs sous un jour plus familier et abordable et qui donnent envie de les lire à leur tour.
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Il s'agit du premier tome d'une série jeunesse. Et pour tout vous dire, j'ai vraiment accroché et je me suis prise au jeu de cette enquête victorienne. En effet, dès les premières pages nous sommes plongés dans le fin du XIXe siècle et son ambiance parfois sombre et peu rassurante. L'auteur donne le ton en prenant comme point de départ de son intrigue un asile. Une atmosphère gothique est vite décelable par bien des aspects et permet de rendre cette histoire bien mystérieuse dès le début. Pour un roman jeunesse, je trouve que l'intrigue est vraiment bien ficelée. L'auteur a su la faire rebondir et nous emmener encore plus loin dans l'histoire.

Nous avons sous les yeux la classique dualité gentils VS méchants. Cependant, les personnages machiavéliques sont originaux et usent de stratagèmes assez effrayants. Par contre, je n'ai pas vraiment su apprécier ni m'attacher à l'héroïne (Penelope) qui m'a paru distante du lecteur malgré son fort caractère. J'aurais aimé en apprendre plus sur elle. Les personnages dits « gentils » secondaires m'ont, au contraire, beaucoup plu.

Ce roman est vraiment bien écrit. Il permet notamment au jeune public d'apprendre des choses et du vocabulaire varié à propos de cette époque mais aussi de mieux appréhender les convenances et la société anglaise dans sa globalité. le XIXe siècle y est donc bien représenté et particulièrement par sa scène littéraire foisonnante d'écrivains connus. Ainsi, nous avons l'occasion de croiser Rudyard Kipling et même de passer quelque moment et discussion avec Arthur Conan Doyle en personne.

Pour moi, voilà une lecture vraiment agréable. J'ai passé un bon moment en compagnie de cette panoplie de personnages, de cette intrigue bien menée et de cette plongée au coeur du Londres victorien. Je serais au rendez-vous pour la suite qui, j'espère, ne tardera pas trop.
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Une superbe plongée dans les derniers jours du 19° siècle !
Des personnages charismatiques, une enquête haletante et surprenante ! Mais je ne vous en dirais pas plus sur les personnages croisés et l'intrigue pour ne pas vous gâcher les surprises.
Un livre intelligent. J'attend la suite avec impatience !
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Londres, 1899.
Penelope Tredwell, 13 ans, devient propriétaire au décès de son père du célèbre magazine le Frisson illustré. Elle est également l'auteur d'histoires terrifiantes qui remportent un franc succès auprès des lecteurs. Seul problème, une jeune fille écrivain et journaliste, c'est impensable ! Pénélope met donc sur le devant de la scène un homme, Montgomery, pour répondre aux questions des journalistes et des lecteurs ; elle se fait passer pour sa nièce.
Seulement cet homme se révèle être un alcoolique et un lâche et tout se complique lorsque Montgomery est appelé pour résoudre une énigme.
Tous les soirs, douze minutes avant minuit, un phénomène inquiétant frappe un hôpital psychiatrique : les patients se mettent à écrire frénétiquement d'étranges messages sur des papiers, des murs, et même leur peau. Pénélope décide donc de mener l'enquête.

Si l'intrigue est intéressante, l'histoire manque cependant d'originalité. On aurait également aimé être imprégné par l'atmosphère de Londres du XIXe siècle, ce qui n'est pas le cas.
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Douze minutes avant minuit est une intrigue pleine de suspense et de rebondissements, qui revisite habilement les codes du roman gothique. Sur fond de récits prophétiques et de complot vénéneux, Christopher Edge entraîne le lecteur dans une aventure palpitante au coeur de Londres.

A seulement treize ans, la jeune Penelope Tredwell est déjà un écrivain et un rédacteur en chef accomplie. Elle dirige d'une main experte le magazine le Frisson illustré dont elle a hérité à la mort de ses parents. Les histoires terrifiantes qu'elle y publie sous le pseudonyme de Montgomery Flinch rencontrent un grand succès. Après une lecture publique, lors de laquelle sa dernière histoire fait sensation, Penelope reçoit une lettre énigmatique de la part du directeur d'un hôpital psychiatrique qui lui réclame son aide. Intriguée, elle se rend alors sur place et constate de ses propres yeux le phénomène inquiétant et inexpliqué qui s'empare des patients, chaque nuit, douze minutes avant minuit... Tirés de leur sommeil, ceux-ci se mettent à écrire d'étranges messages sur des papiers, des murs, et même leur peau. de quel mal souffrent-ils ? Qu'est-ce qui peut bien les pousser à écrire partout et avec frénésie ces messages dont le sens semble défier toute logique ? Lorsqu'elle accepte de mener l'enquête, l'intrépide Penelope se retrouve plongée au coeur d'une aventure qui pourrait fort bien lui coûter la vie et la raison...

Action, suspense, ambiance crépusculaire et visions apocalyptiques envoûtantes... Tout est réuni autour d'une intrigue efficace et habilement construite. L'ambiance, digne des meilleurs romans fantastiques du XIXème siècle, est sombre et mystérieuse à souhait ! J'ai particulièrement apprécié le duo de personnages constitué de Penelope, curieuse, intrépide, impertinente et déterminée, et de Monty Maples (alias Montgomery Flinch), qui se révèle être un acolyte pleutre et alcoolique notoire. Entre ces deux-là, les répliques ne manquent pas de piquant ! Rien à redire non plus de la mise en scène, que l'auteur a impeccablement soignée ! L'enquête est menée tambour battant, sans aucun temps mort, et l'intrigue, savant mélange de policier et de fantastique, attire et fascine de la première à la dernière page... Christopher Edge fait durer le suspense et ça marche !

Douze minutes avant minuit est le premier tome d'une série dont on n'a pas fini d'entendre parler ! Un thriller ensorcelant et déroutant qui devrait plaire à tous les amateurs de fantastique ! A partir de 12 ans.
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Une ambiance victorienne, un adversaire terrifiant, une énigme insoluble ?
J'ai découvert avec grand plaisir les aventures étonnantes de Penelope Tredwell dans "Douze minutes avant minuit" de Christopher Edge.
Lien : http://yanasaule.canalblog.c..
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Douze minutes avant minuit est un roman de littérature jeunesse qui raconte l'histoire de Penelope Tredwell, auteur à succès d'histoires d'horreur qui se dissimule sous le pseudonyme de Montgomery Flinch. Lors des apparitions publiques de l'écrivain, c'est un acteur qui endosse son rôle, et il ne tarde pas à être convoqué pour résoudre l'étrange affaire qui se déroule dans un asile.

Le livre commence plutôt bien, avec une écriture fluide, le secret de l'héroïne à protéger et surtout une énigme à résoudre. le seul point qui m'a dérangée dès le début, c'est l'âge de Pénélope. Comment, à treize ans, peut-on être à la fois éditrice, rédactrice-en-chef et surtout écrire des histoires qui feraient pâlir Arthur Conan Doyle (qui est également un personnage du livre) ? Sans parler du talent qu'elle dévoile plus tard, celui d'être aussi une experte en dissection. C'est trop gros pour être crédible.

En dépit de cela, j'ai apprécié que son jeune âge mette en avant la condescendance des adultes, qui l'ignorent la moitié du temps et se montrent odieux avec elle l'autre moitié. Il a va de même avec Alfie, alors que ce sont eux qui, en dépit des obstacles, vont littéralement démêler la toile dans laquelle Londres est engluée.

Le scénario en lui-même est relativement addictif, mais malheureusement très prévisible. On sent venir chaque rebondissement à l'avance, si bien que pour le suspens, on repassera. L'histoire se lit malgré tout, du moins jusqu'à la fin, qui part complètement en quenouille.

Si, jusqu'à un certain point, l'explication concernant la folie des patients de Bedlam pouvait paraître crédible, le dernier rebondissement est complètement tiré par les cheveux (ou par le fil de la toile), et fait perdre tout réalisme à l'histoire.

Attention, spoilers ! Déjà, pourquoi Penny n'a-t-elle pas réagi au moment où le champagne a été servi ? À défaut de convaincre les autres de ne pas boire, elle aurait pu en persuader Monty et son tuteur. Ensuite, que la Veuve Noire soit capable d'hypnotiser toute une foule à l'aide de son poison, c'est une chose, mais que cette foule soit ensuite capable d'envoûter le reste de la ville à travers leurs écrits, cela me semble peu cohérent. Enfin, la connexion plus ou moins télépathique qui relie toutes les victimes du complot me semble également abracadabrante.

D'ailleurs, comment se fait-il que Barrett ait échappé à la folie ? En tant que journaliste, et ne serait-ce même que par curiosité, il aurait dû lire l'un des magazines en même temps que le reste des habitants de Londres. Quant à la défaite de la Veuve Noire, elle est beaucoup trop rapide et facile à mon goût. Fin des spoilers !

Enfin, il est difficile de s'attacher aux personnages. Penny est une Mary-Sue en puissance : elle sait tout, comprend tout et est douée dans tout ce qu'elle entreprend. Même Barrett, qui aurait pu se révéler intéressant, redevient un parfait crétin dans les dernières pages (d'ailleurs, en ce qui le concerne, le hasard fait bien les choses...). Seuls Alfie et Monty sont un peu plus sympathiques que les autres.

Douze minutes avant minuit est donc un roman qui commence bien, mais qui s'enfonce au fil des chapitres dans un scénario de plus en plus moyen et décevant. J'ai vu qu'il y avait une suite, mais à cause de cela, je ne suis pas tentée de la lire.
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