Middlemarch

J'abandonne et pourtant je me suis battue ... Arrêté au bout de 234 pages, ce roman m'a semblé pompeux, lourd, avec des tournures de phrases alambiquées.,.

Un exemple?

" A Lydgate de telles formes d'inspiration paraissaient un peu vulgaires et avinées, comparées à l'imagination qui révèle d'infimes actions inaccessibles à n'importe quelle lentille, mais que l'on poursuit dans les ténèbres extérieures tout au long d'enchaînements logiques, grâce à cette lumière intérieure qui est l'ultime raffinement de l'Energie, capable de baigner jusqu'aux atomes éthérés dans son espace idéalement illuminé."

Oufff! Et ce n'est qu'un exemple! Je n'arriverais pas à connaître le fin mot de l'histoire et je laisse Miss Brooke, Rosamond, Mary, ... à leurs aventures, qui, je l'espère, seront plus digestes que le style.

Je suis toujours déçue quand un roman anglais du XIXème siècle ne me passionne pas car j'ai une nette préférence pour ces derniers.
Je passe mon tour cette fois-ci.