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3,69

sur 257 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ellory m'a souvent transporté et notamment avec Vendetta, son roman sur la mafia. Et là, que vois je ? un nouveau roman sur la mafia , bingo !
Alors tout d'abord, ce n'est pas un nouveau roman , mais une traduction d'un de ses premiers romans de 2006. et ensuite, le seul truc qui a été transporté , c'est ce pavé , du canapé au transat.
Alors ce n'est pas désagréable : Un des chefs de la mafia New Yorkaise se fait tirer dessus et plonge vers la mort. Les caïds locaux font revenir son fils de Miami car se prépare un gros coup avec la bande rivale.
Mais tout ça est vraiment tiré par les cheveux, notamment le rôle fait jouer au fils , qui croyait son père mort et que l'on veut faire passer pour un mafieux de Floride alors qu'il est journaliste.
Et puis, le style est un peu lourd. L'Omerta , c'est sympa mais quand elle s'étend sur des dizaines de pages dans un dialogue de sourd entre le fameux fils et différents protagonistes, cela devient lassant.
Après, c'est rythmé, la fin se tient et répond bien aux questions que l'on se trainent depuis 400 pages.
J'ai lu beaucoup mieux de cet auteur., vendetta, mauvaises étoiles...
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Impossible de résister au dernier Ellory ! En plus, l'auteur avait pris la mafia pour sujet principal, ce qui me tentait encore plus. En commençant ma lecture, je me suis demandée pour quelle raison l'auteur situait l'action en 2004. Il devait y avoir une raison…

Puis, en mettant à jour sa fiche sur Livraddict, je me suis rendue compte que le roman datait de 2006… Ok, ce n'était pas un nouveau roman, mais un ancien que l'on publiait en français seulement maintenant, et là, j'ai compris pourquoi l'écriture de l'auteur me semblait différente.

Désolée, mais dès le départ, je n'ai pas accroché du tout ! Ni au récit, ni aux personnages, ni à l'ambiance. Ou la malédiction des lectures foirées recommence (vu le nombre, je suis prête à le croire), ou bien il manquait un truc dans ce premier roman de l'auteur.

Après avoir lu un cinquième de ce roman, il ne se passait toujours rien dans ma vie de lectrice : pas d'émotions, de l'ennui, l'envie d'envoyer bouler les personnages, notamment la virulente tante Evelyne (avant qu'elle ne remonte dans mon estime lorsque j'en ai appris plus sur elle et compris sa colère) et ce pauvre John Harper qui ne savait pas où il venait de foutre les pieds, vu qu'il n'avait pas eu accès, comme moi, au résumé du quatrième de couverture.

Cette lecture m'a donné l'impression que ce n'était pas la plume d' Ellory que je lisais. Mon ressenti était comme lorsque j'entends des chansons qui ne sont pas les originales, mais interprétées par d'autres chanteurs, des absolument pas connus.

Lorsque j'entends une telle horreur dans un magasin (ils paient moins de droits, je pense), je me dis toujours que si j'avais entendu telle quelle la première version, jamais je n'aurais aimé la chanson. Ben ici, ce fut pareil.

Même les dialogues m'ont semblé surfaits, mal joués, comme dans une série B. L'échange qu'aura John Harper avec les autres mafiosi était génial, mais peu réaliste, vu qu'il n'avait rien d'un acteur ou d'un mec au sang-froid exceptionnel.

Alors que les autres romans de l'auteur m'ont toujours fait vibrer ou apporté du plaisir de lecture, celui-ci m'a laissé de marbre, sauf dans son final, explosif, qui était jouissif, je l'avoue. Tout s'enchaîne, tout s'explique, les secrets de famille tombent, laissant entrevoir une vérité bien plus horrible que celle que je pensais.

Hélas, je me suis ennuyée ferme durant plus de la moitié des 580 pages, ce qui a plombé toute cette lecture. Heureusement que je n'ai pas commencé ma découverte de l'auteur avec ce roman. Heureusement pour moi, j'ai eu assez de coup de coeur avec ses autres romans que pour être rassasiée, mais je n'aurais pas dit non à une fois de plus.

J'attendrai le vrai nouveau roman de 2023, avec impatience.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Un roman qui nous plonge au coeur de la mafia Newyorkaise !
J'ai eu beaucoup de mal a accrocher à l'histoire. J'aurais aimé plus d'action et de mystère. Les personnages sont bien détaillés mais ils ne m'ont pas touché plus que cela. J'ai même trouvé que le personnage principal était un peu trop niai...
Je n'ai pas ressenti beaucoup d'émotions. Juste de l'ennui et une envie de finir au plus vite pour passer à autre chose.
C'est bien écrit heureusement et avec du recul je dirai que le style se rapproche d'un roman noir d'une vieille époque où les dialogues priment sur le reste mais avec un manque de profondeur.
La révélation inattendue sur l'un des personnages à la fin m'a agréablement surprise mais du coup, je trouve que ça tombe un peu comme un cheveu sur la soupe....
Bref, je n'en garderai pas un grand souvenir.

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John Harper, journaliste au Miami Herald, est un trentenaire tranquille. Ses articles couvrent l'événement annuel : la pêche au gros des nantis locaux.
Il s'est tout de même essayé à l'écriture d'un livre il y a quelques années mais, depuis, l'inspiration lui manque.
Jusqu'au jour où sa routine est bousculée par un appel de New York. Sa tante maternelle lui demande de venir de toute urgence, alors qu'ils ne sont sont ni vus ni parlés de longue date.
Il hésite mais devant son insistance, se rend dans la Grosse Pomme.
Et y découvre que le père qu'il n'a pas connu et soit disant mort, est à l'hôpital entre la vie et la mort.
Et les jours passant, au fil desquels il apprend des vérités par les uns, aussitôt contestées par les autres.
Son père serait le big chef de la pègre locale.
Difficile à encaisser !

Un long, très long, trop long récit sur les clans new yorkais, qui se battent pour leurs territoires respectifs. Qui parlent pendant des pages et des pages. Avec même parfois des états d'âme !
C'est du pur Ellory mais trop lent pour moi.
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Après nous avoir plongé au coeur d'une troupe de forains et d'une enquête autour d'une mort mystérieuse avec le carnaval des ombres paru en 2021, R. J. Ellory renoue cette fois avec l'univers de la mafia déjà traité notamment dans Vendetta (Sonatine, 2009). Avec Omerta (paru initialement en 2006 sous le titre City of Lies, mais qui n'avait jamais été traduit), il traite de la la mafia new-yorkaise avec, au centre du récit, un journaliste de Miami qui va se retrouver au coeur d'une incroyable histoire de famille de laquelle il ne va pas sortir indemne.

Car rien ne laissait présager que John Harper, obscur journaliste de faits divers, écrivain de seconde zone et auteur d'un roman écrit il y a plusieurs années, allait voir sa vie bouleversée le jour où il allait apprendre que son père, sensé être mort depuis 30 ans, était en réalité toujours de ce monde, alité dans un hôpital new-yorkais, entre la vie et la mort, victime collatérale d'un braquage qui a mal tourné.
Et voilà notre journaliste prié de quitter sa ville de Miami pour rejoindre au plus vite New York, pour renouer son passé, sa famille, les personnes qui l'ont entouré lorsqu'il était enfant. Mais très vite, John Harper va se rendre compte que les choses sont beaucoup plus compliquées qu'elles n'y paraissent, et que des secrets de famille jusqu'alors bien enfouis vont commencer à resurgir.

Ce nouveau roman n'est sans doute pas le plus aisé et le plus fluide que l'on ait pu lire de la part de l'auteur britannique R. J. Ellory. Omerta est un livre qui se mérite, assez peu descriptif au final, constitué essentiellement de longs passages dialogués entre les différents protagonistes de cette histoire au coeur de laquelle on trouve Évelyne, la tante de John, qui lui a demandé de revenir le plus vite possible à New York, Lenny Bernstein, le père, objet de toutes les attentions sur son lit d'hôpital, Walt, bras droit et ami de toujours de ce père mais qui semble jouer un double jeu avec sa comparse, Cathy Hollander, une femme dont le charme va très vite faire son effet sur John, ou encore Frank Duchaunak, un flic déterminé à faire la lumière sur cette affaire et qui, lui aussi, a des comptes à régler avec cette mafia new-yorkaise.

Tout ce petit monde se trouve réuni au centre d'un récit extrêmement dense, qui avance lentement, par moment même trop lentement, pour lequel faudra s'armer de patience, avant que tout s'accélére dans la dernière partie avec quelques rebondissements et révélations à la clé.
Omerta est un livre qui parle de la mafia new-yorkaise, mais aussi de la famille, des mensonges, des faux-semblants des fantômes du passé, des tromperies et des trahisons. Un roman noir, à l'ancienne ou presque, où les enjeux sont avant tout humains.


Lien : https://www.benzinemag.net/2..
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Le trentenaire John Harper, obscur plumitif, va devoir quitter son havre miaméen pour retourner à New York qu'il a quitté près de vingt ans plus tôt pour fuir une vie délétère et une tante qui l'a élevé et qu'il tient pour folle.
C'est celle-ci qui l'appelle pour qu'il revienne dans sa ville natale où il apprend que son père est bien vivant mais qu'il se trouve entre la vie et la mort à l'hôpital à la suite d'une balle prise lors d'un braquage.
Cette surprise est de taille car John pensait que son géniteur était mort. Sa proche parente le lui avait affirmé. Pour son bien dit-elle...
D'autres découvertes tout aussi extraordinaires vont ponctuer son parcours initiatique, dont le plus incroyable est que le moribond est un chef de la pègre.
Chaperonné par le numéro 2 du dirigeant mafieux et une jeune femme énigmatique qui ne le laisse pas indifférent, John va tomber de Charybde en Scylla. Manipulés, il aura bien du mal à démêler le vrai du faux.
Quatorze ans après le très réussi « Vendetta », R. J. Ellory continue de sonder la criminalité organisée dont les membres, obsédés par l'argent, font de la violence un art de vivre et de l'existence humaine un obstacle à éliminer.
Malheureusement cette fois-ci, la mayonnaise a du mal à prendre. Des dialogues à n'en plus finir et des redondances sur les états d'âme du personnage principal nuisent au rythme du récit.
Dommage !

Lien : http://papivore.net/litterat..
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un roman honnête écrit par un écrivain talentueux. R J ELLORY. Avec un début tonique et un style agréable il sait nous intéresser à la vie de John HARPER, écrivain - journaliste, frappé par un drame qui va transformer son mode de vie.
Mais, contrairement à d'autres romans, après un début nerveux, celui-ci perd peu à peu de son intensité. Malgré sa plongée dans un monde mafieux et des personnages forts mais caricaturaux, et des éléments psychologiques intenses, l'intrigue s'étiole. Trop de retours en arrière, trop de répétitions, même si le style est agréable, c'est lassant.
A force de revenir sur les mêmes considérations, j'ai eu le sentiment qu'il y avait trop de pages dans ce roman.
Même si le final est tonique et intéressant, il manque un peu de suspense eet cela ne rattrape pas les petits moments de léger ennui ressentis au milieu du roman.
Lien : https://lucien.berre@orange.fr
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RJ Ellory est un auteur qui sait nous faire entrer dans ses romans grâce à un style simple. le thème de la filiation est abordé sous un angle intéressant mais incomplet. Je reste déçu après avoir apprécié le très bon Vendetta. Beaucoup de non-dit que l on devine et la naïveté du personnage principal est agaçante. A croire qu'il n'a jamais entendu parler de la mafia.
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