Maître de la matière

En cours de lecture, ce livre m'impressionne tout d'abord par les deux personnages principaux, Hiroshi et Charlotte. On pourrait croire qu'il existe une simple histoire d'amour entre eux. Erreur!! Il y a plus que cela. Dès le début du récit je ressens que quelque chose de plus complexe les lie.
Pour l'instant, j'avance pas à pas en savourant chacune des pages.. Pourvu que ça dure...

Bon... j'ai fini le livre mais je me trouve vraiment ennuyée.....
Les premières pages du livres m'ont fait espérer une histoire pleine de rebondissements, additionné à une dose de mystère. Je me suis alors dit en mon for intérieur : "super, je vais me délecter de bout en bout!"
Mais quelle déception!!!
Les pages qui défilaient devant mes yeux me donnaient à lire une histoire d'amour jamais concrétisée entre Hiroshi et Charlotte, une réflexion scientifique sur l'avenir de la planète si la richesse n'existe plus grâce aux robots pleine de détails techniques auxquels je n'ai rien compris (et oui, je suis littéraire!!!!!) adressés à des initiés.
J'ai terminé ce livre au pas de charge, en tournant vite les pages pour le terminer le plus rapidement possible.

Je conseillerai néanmoins ce livre aux lecteurs scientifiques qui ont du temps pour lire de manière plus continue que je ne l'ai fait (ah la vie active est parfois cruelle!) un livre dense .

Que de bons moment passé à lire ce gros pavé qui a mes yeux est une pure réussite de science fiction.
Les protagonistes,l amour impossible entre nos deux héros, l'histoire, ce ne sera'sans doute pas le dernier d Andreas Eschbach qui nous offre un magnifique roman.
Gros coup de coeur pour ma part.

Un garçon et une fille se rencontrent au fil de leurs vies, à chaque fois comme poussés par leur destin.
Le garçon s'intéresse au futur.

La fille s'intéresse au passé.

Pourtant leurs intérêts vont se rejoindre.
Hiroshi, fils d'un blanchisseuse japonaise et d'un américain inconnu, bricole une poupée cassée dans sa chambre. Il réussit à la réparer et la rend à sa propriétaire. Passionné par les robots, il souhaite effacer la pauvreté de la planète. Il étudiera au MIT à Boston. Il tend vers le génie et ses capacités sont bientôt remarquées et mises à profit, d'un pays à l'autre. Les micros, puis nanorobots seront l'oeuvre de sa vie. Qui est guidée par un fil rouge : Charlotte.
Charlotte, depuis toute petite, est passionnée par les objets du passé. Elle y perçoit tout ce qu'ont vécu leurs propriétaires. Elle devient naturellement paléoanthropologue, persuadée que les hommes vivaient sur Terre il y a bien plus longtemps que ce que nos manuels le disent. Sa vie la mènera aux 4 coins du globe, à suivre des amis ou des amants, à retrouver Hiroshi. Jusqu'à l'île du Diable, qui abrite bien pire que l'ange déchu... Ou bien plus ! L'avenir ? ou le passé ?

Un roman de 638 pages lues d'une traite (ne faites pas comme moi). Je ne dirais pas mieux que la quatrième de couverture : "Thriller économique et écologique, confrontation entre l'humanisme et l'évolution technologique, recours au fantastique spéculatif, voyages et archéologie, Maître de la matière reprend avec bonheur les grands thèmes d'Andreas Eschbach, dans la lignée de Jésus vidéo et d'En panne sèche."
Une histoire ni trépidante (si, parfois) ni légère (parfois aussi), mais parfaitement addictive !
Heureuse découverte.

Assez décevant ce nouveau roman. On pourrait penser à un livre pour ados, mais quelques scènes un peu hard font rapidement hésiter le parent moyen à prêter le livre à ses bambins.

Le début est prometteur, mais rapidement l'histoire s'embourbe malgré de bonnes idées.

On parle de robotique, d'anthropologie, de nanotechnologie et de pauvreté, deux personnages dont les destins se croisent sans vraiment nous convaincre, on est très loin de Jesus Video ou d'Un Milliard de Tapis de Cheveux.

Tout commence par une belle amitié entre Charlotte, la fille de l'ambassadeur de France au Japon, et Hiroshi, le fils de la blanchisseuse qui travaille à cette ambassade. Charlotte a un don, celui de ressentir, au travers des objets qu'elle touche, la vie des personnes qui les ont utilisés. Hiroshi, passionné de physique, rêve de construire un monde meilleur grâce à la robotique, un monde où les hommes n'auraient plus besoin de s'escrimer pour survivre. Ces deux enfants vont grandir, se perdre, se retrouver, jusqu'à la découverte, dans une île de l'Arctique, d'un drôle de phénomène.
Du Japon à l'Océan Arctique, j'ai partagé avec l'auteur l'existence de ces deux personnages, leurs doutes et leurs atermoiements. J'ai aimé l'entêtement d'Hiroshi face aux holdings, sa persuasion de créer un monde sans argent, et où les hommes ne s'épuiseraient plus à la tâche pour une misère. Bref, un nouvel Eschbach excellent, à la fois saga et science-fiction.

Je ne m'attendais pas à ce foisonnement d'idées, de lieux, de retournements… une belle surprise !

Au départ, une promesse comme dans un conte, la fille de l'ambassadeur et le fils de la femme de ménage deviennent amis. Charlotte et Hiroshi le resteront-ils grâce à – ou malgré – leurs promesses réciproques : la suppression des inégalités entre riches et pauvres et l'accès à l'histoire ante diluvienne des objets ?

Puis, dans ce roman d'initiation avec un soupçon de fantastique, on passe par les étapes : campus novel, échouage sur une île déserte, romantisme britannique, course poursuite, on flirte avec l'épouvante et on aurait pu frôler le space opera. J'appellerais cela un roman baroque, il y aurait une B.O. avec Queen, les Sparks et les Rita Mitsouko.

Le don de Charlotte donne l'impulsion de l'intrigue, et ouvre sur des possibilités multiples. Mais ce don a un effet effrayant ou kaléidoscopique sur elle : malgré les histoires multiples, un humain a toujours sa dose de bonheurs et de malheurs. Avec elle on remonte le temps comme une avenue : Trente pas de plus. ils se trouvaient à présent sous l'arche de la Johnston Gate « Onze mille ans avant Jésus-Christ, annonça Charlotte en baissant le doigt. Quelques traces indiquent la présences de cultures céréalières en Mésopotamie. Jerf el Ahmar et Göbekli Tepe, les sites de peuplement les plus anciens connus de l'humanité, datent de cette époque. »
Lien : https://linumer.wordpress.co..

J'avais adoré "Un milliard de tapis de cheveux" puis moins les autres romans d'Andreas Eschbach jusqu'à ce roman. J'ai été happée par l'histoire et fascinée par ses personnages. J'ai besoin qu'une lecture soit, avant tout, divertissante et me fasse comme du cinéma dans ma tête. Quand, en plus, elle me donne à réfléchir de façon accessible et intelligente, je suis comblée !

À mon avis, une référence dans le genre.
Fluide et intelligent, j'ai dévoré.

Charlotte et Hiroshi ont 10 ans, lui est le fils d'une blanchisseuse japonaise et elle, est la fille de l'ambassadeur de France au Japon. Tout les sépare, l'éducation, le milieu social. Hiroshi, scientifique dans l'âme croit avoir l'idée pour que la pauvreté disparaisse dans le monde. Quant à Charlotte, elle a un don particulier, elle peut lire dans chaque objet, son histoire. Au fil des années, ils vont par hasard se croiser et se perdre de vue mais un lien indéfinissable existe entre eux.

Roman de science-fiction proche du roman d'anticipation, où la nanotechnologie a le "beau" rôle. Histoire qui commence doucement pour s'accélérer tout le long du roman, on suit l'évolution des deux protagonistes jusqu'à un final grandiose. du grand Eschbach !
Lien : http://les-lectures-du-maki...

Un roman addictif. On tourne les pages pour connaître la suite des histoires de Charlotte, et d'Hiroshi. Amis, amants... Qui peut vraiment répondre?

Les découvertes faites dans ce roman sont terrifiantes. J'ai été passionnée, mais effrayée. Pourvu que rien de tout cela n'arrive un jour.

La Fin complètement loufoque est "capillo tractrice".

Ce roman est assez réussi, construit habilement, avec des périodes de vie.

Bonne lecture, comme le sont souvent les romans de Andreas ESCHBACH.