Pour elle, c'est le hasard qui donne à la vie tout son sel. Pour lui, à l'inverse, il ne faut surtout pas compter dessus. " Il peut même parfois être dangereux. Tu devrais plutôt t'en méfier", lui a conseillé ce père pragmatique. Fervent croyant de surcroît, il répète inlassablement que " tout est écrit".
Leur rencontre est-elle un fruit du destin? Une chose est sure : pour Stephanie, elle tient de la malchance.
sans un extraordinaire concours de circonstances qui remonte bien au delà du pass Navigo de Vincent qui lui a fait rater le train précédent, et d'elle qui a quitté son boulot d'hôtesse d'accueil avant l'heure ou de l'intervention de la brute avinée, ils n'auraient jamais dû se croiser ce soir-là sur la ligne 1.
Il lui donne rendez-vous, mais ne s'y rend jamais.
Ce n'est pas par timidité, par crainte d'une déception, non, il veut seulement s'amuser, et penser que la fille l'aura attendu en vain suffit à son plaisir.
Rencontre et naissance d'une idylle dans le métro au fil des stations de la ligne1,mais le beau et charmant Pierre est un sérial killer...un bon thriller,court mais original sur le destin,le hasard et les coïncidences.
Cette femme ne constitue qu’un bref instant de divertissement. En réalité, Vincent s’intéresse à bien autre chose. Ce qui retient son attention, exclusivement, c’est la finesse du cou de la jeune voyageuse. Si attirant, avec une peau qu’il imagine douce et soyeuse. À l’extrémité de la délicate chaîne, un cœur minuscule orné d’éclats de diamant, qui se perd dans l’échancrure de son décolleté. Il devine sous son strict chemisier blanc la naissance d’un soutien-gorge en dentelle claire.
À la station Tuileries, les deux jeunes gens parlent maintenant de musique. Ils se tutoient depuis le début. À leur âge, le vouvoiement serait de trop.
Très bon suspense avec une fin explosive qui se lit d'une traite un très bon roman a lire absolument.
Alors qu'il se remet à peine de la frayeur qu'il vient de vivre à la station Porte-de-Vincennes, Vincent glisse la main dans la poche de son pantalon et caresse le tranchant d'acier de sa lame.
C'est le jour de ses deux ans qu'elle raconta l'histoire à son fils pour le première fois. Elle y revint ensuite souvent, avec une implacable régularité et en y ajoutant des détails toujours plus sordides, comme si son gamin était l'exutoire à son malheur, à sa haine.