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A la fin, tout le monde est mort
Résumé :
Raphaël Fayolle a eu la sagesse d'attendre l'âge quasi canonique de trente-neuf ans pour nous livrer ces sept histoires polychromes aux antipodes de l'autofiction. Dans La Maison rose, Jean Pranard, paysan auvergnat, se demande s'il est mort ou pas. Le Cerveau blanc est la notice nécrologique d'un personnage illustre n'ayant peut-être jamais existé. Le Châle orange décrit de façon méticuleuse l'épouvantabl... >Voir plus