Opium

1838. Charles Stowe est un gentleman anglais amateur de cigares, de whisky et de thé comme le veut la tradition de son milieu et de ses origines. Il n'est pas peu fier de détenir une maison de thés et d'épices réputée dans la haute société londonienne, "Les mille parfums du thé". Cette passion pour le thé lui vient de son enfance et plus particulièrement de son père - Robert Stowe -, créateur de la maison d'import - export et grand spécialiste du thé. Depuis cette période de sa vie, Charles Stowe n'a qu'un seul et unique désir : percer le secret de la fabrication des trois thés, le bleu, le vert et le blanc.
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Je ne saurais dire ce qui m'a laissé sur ma faim (ou ma soif, si l'on parle de thé), mais le plaisir de la lecture s'est estompé au fil des pages, malgré un début prometteur empli de somptueux paysages et d'un panel olfactif formidable.

Quoi qu'il en soit, ce fut une lecture agréable, rapide, et instructive.

Bof, pas super emballée

Charles Stowe, passionné par la culture du thé décide de faire route vers la Chine afin de découvrir le procéder de fabrication du thé. Il y découvrira aussi les effets pervers de l'opium… Un bon livre pour une transition qui prend le temps d'expliquer les origines du thé, même si tous les trafics liées a ce marché ne sont pas creusé, comment pourraient-ils l'être en 150 pages. Malgré tout cela se lit bien.

Charles Stowe avait la passion du commerce et le goût du thé.
En 1838 il décide d'embarquer pour la Chine afin d'y découvrir les secrets de fabrication des meilleurs thés au monde et faire la renommée de l'entreprise familiale.
Le voilà sur la fameuse route du thé.
Mais depuis une vingtaine d'années, l'Angleterre inonde la Chine d'opium en contrepartie au commerce du thé, et les relations entre les deux pays s'enveniment.
C'est dans ce climat hostile aux étrangers, en particulier aux sujets britanniques que Stowe débarque à Shangaï.

C'est une route aux mille parfums, aux mille périls aussi : celle qui, partant de Londres pour atteindre les Indes, se perd irrémédiablement dans l'Empire de la Chine. Un périple que l'on nomme la route du thé.
Pour la première fois en 1838, un homme va s'y aventurer, décidé à percer le secret des thés verts, bleu et blancs, inconnus en Angleterre.
Au fil de son voyage, il va rencontrer Pearle, un riche négociant irlandais, Wang, le gardien de la vallée sacrée, Lu Chen, l'invisible empereur du thé, et Loan, une Chinoise aux yeux verts qui porte, tatouée sur son épaule, une fleur de pavot.
Au terme de sa quête, l'Opium. Un amour que l'on ne choisit pas.






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"Opium" est un petit livre très court, à peine 184 pages écrites très gros, qui, lu en une seule fois permet de passer un très bon moment et de se reposer l'esprit. [...]
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