Astérix, tome 38 : La Fille de Vercingétorix

César ayant décidé de « romaniser » Adrénaline la fille de Vercingétorix, les deux chefs arvernes, chargés de sa protection depuis la défaite d'Alésia sollicitent l'aide d'Abraracourcix.

Astérix et Obélix sont devoir veiller sur la jeune fille le temps pour ses protecteurs d'aller affréter un bateau qui leur permettra de rejoindre Londonium.

Petit hic… Adrénaline n'est plus une enfant! Elle a du caractère, ne veut pas que l'on décide pour elle et donc fugue dès que possible.

Après le fils d'Astérix, voici un second album mettant en scène des enfants de… l'histoire est gentille, Astérix ne nous emmène pas dans des contrées éloignées, mais l'humour est présent tout comme les jeux de mots.

Assurément pas le meilleur ni le plus dépaysant mais un album restant plaisant à lire.

J'ai lu quelques Asterix dans ma jeunesse, mais je ne suis pas un spécialiste. Celui-ci ne m'a pas convaincu, j'ai trouvé le scénario très plat et insipide. Quand aux dialogues, trop compliqués, trop de jeux de mots qui ne m'ont pas emballés. J'espère que les autres volumes empruntés à la bibliothèque seront meilleurs !

Beaucoup de jeux de mots, une version plus ado, c'était drôle même si ce n'est pas mon préféré, je l'ai peut-être trouvé un peu plus lourd que les autres, mais la bataille est toujours là et on se prend toujours au jeu même si la fin était un peu prévisible.

Si j'ai pour habitude de défendre Jean-Yves Ferry et Didier Conrad sur leur reprise des aventures d'Astérix, pour cet album, je ne suis pas vraiment conquis...

Si offrir une fille à Vercingétorix, que les romains cherchent à débusquer et sur qui nos chers moustachus vont devoir veiller était une idée qui me plaisait, la réalisation me plait beaucoup moins.

Si on peut noter quelques bons points avec l'humour et les jeux de mots toujours présents, ou encore une caricature d'Aznavour ayant rejoint les pirates, je trouve au final l'histoire banale, trop rapide, et le contenu un peu vide.

Simple, divertissant mais sans plus.
De toutes les nouvelles aventures écrites par les nouveaux auteurs, c'est certainement celle qui m'a le moins amusée. Il y a pourtant de bons jeux de mots et les dessins sont toujours aussi bien réalisés mais l'histoire un peu trop banal avec parfois une sensation qu'il manque des cases font que j'ai passé un simple bon moment mais sans grande émotion.

Salut Jean-Yves,
Je t'appelle Jean-Yves parce que nous avons partagé les bancs du même collège en 3ème à Albi en un temps lointain !
Je reconnais que prendre la place de Goscinny n'est pas une mince affaire mais je t'avoue que je n'ai pas été emballé par ton scénario. Je n'avais pas lu d'album d'Astérix depuis des lustres, j'ai trouvé les dessins de Didier Conrad dans la lignée d'Uderzo, j'ai passé un bon moment de lecture cependant mais il y a quelque chose qui cloche à mettre en avant les ados du fameux village gaulois, ça ne sonne pas juste pour moi.

Cela fait un moment que je n'avais pas lu un album d'Astérix et Obelix. Ce dernier album ecrit par Jean-Yves Ferri et dessiné par Didier Conrad reprend bien la base des albums originaux.
Une mission pour Asterix et Obélix : veiller sur la fille de Vercingétorix qui a tendance à la fugue.
Quelques combats avec des romains et des pirates.
Un Happy-end avec un banquet.
J'ai apprécié le regard porté sur l'adolescence.
Le scénario est sympathique, le dessin ne trahit pas l'original.
Un bon moment de lecture à partager en famille.

Dernier tome en date, il introduit la descendance de Vercingérotix, incarnation gauloise de la rébellion face à César. Adrénaline, fille dudit Vercingérotix, incarne la possibilité d'un nouveau soulèvement, chose que César ne peut accepter, bien qu'il tolère, malgré lui, les irréductibles gaulois d'Armorique. Pour contrecarrer ce risque, il souhaite la capturer afin qu'elle assimile la culture romaine.

Ce tome s'intéresse à la nouvelle génération. du coup, les adolescents tendent à émerger façon boutons d'acné tant ils ne sont présents que pour les besoins du scénario. Cette impression d'artificialité passe difficilement mais ne gâche pas la lecture, isolée du reste de la série.

L'insertion d'Adrénaline pioche dans l'air du temps avec une héroïne centrale au caractère bien trempé qui cherche à affirmer son identité alors que le poids de son héritage et des attentes de ses alliés comme de ses ennemis tend à l'écraser. de même, c'est une adolescente orpheline avec deux « papas », autrement dit elle n'a pas grandie dans la cellule familiale classiquement établie. Un bon point pour participer au déplacement de la norme. Dommage que le tout soit gommer par des clichés persistants…

Un tome où l'humour a ses hauts et ses bas. Agréable parce que prolongeant les aventures d'un village qu'on aime depuis des décennies mais dont le niveau n'égalera jamais l'âge d'or des Astérix et Obélix.

Difficile pour moi de donner mon avis car j'ai dû lire un ou deux titres dans ma jeunesse mais je n'en garde pas vraiment de souvenirs et ce n'était pas une de mes bandes dessinées favorites. J'ai rapidement lu ce tome, j'ai trouvé quelques répliques et jeux de mots amusants. Mais l'histoire m'a semblé plate avec une adolescente plutôt en crise qu'avec un vrai caractère "rebelle". le duo Astérix-Obélix n'a pas pris une ride.
J'ai également remarqué que certaines répliques ne sont surement pas comprises par de jeunes lecteurs de par leur sous-entendu, et on notera l'absence d'Assurancetourix.

Challenge Multi-Défis 2021

L'histoire d'une fille qu'on protège pour son nom, et dont on espère qu'elle cristallisera la future vengeance. Mais lui a-t-on demandé son avis ?!
Un récit assez actuel, qui m'a diverti mais sans gros coup de coeur.