Astérix, tome 38 : La Fille de Vercingétorix

Le village d'irréductibles gaulois reçoit la visite de deux chefs Arvernes accompagnant la fille de Vercingetorix. Ils entendent la cacher de César dans sa fuite pour la grande île de Bretagne. Mais attention, car elle a tendance à fuguer.

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La Transitalique n'était déjà pas fameuse, mais là on touche le fond. On nous vante une histoire girl-power avec cette héroïne hors dubcommun, mais finalement une autre bécasse de plus qui finira dans les bras d'un sauveur glabre et musclé.
Ajoutez à cela des blagues dignes de tonton René à Noël avec trois verres de rouge dans le pif, des raccourcis et des facilités à faire pâlir les plus grands nanars d'ici et d'ailleurs, et des jeux de mots laids (moi aussi je pourrai écrire un Asterix, on dirait) et des péripéties idiotes et sans intérêt.
Bref, c'est une grande déception que cette baisse considérable de qualité. le public a peut-être changé, mais je ne pensais pas qu'il soit tombé si bas.

Déçue par cet opus que j'ai trouvé particulièrement plat. On perçoit l'approche par les auteurs et l'éditeur d'une nouvelle génération de lecteurs, adolescente, mais l'essai est peu probant de mon point de vue.

Astérix et Obélix ne tiennent pas une place centrale ni même importante dans cet album qui est très sédentaire : tout se déroule dans le village des Irréductibles. Peu de dépaysement, quelques rares échauffourées avec les garnisons romaines alentours et les pirates familiers. Des jeux de mots lourdingues, sans aucune subtilité qui font à peine redresser les lèvres vers une ébauche de sourire.

Pour moi qui vis à 3km du site d'Alésia, en Côte-d'Or, j'attendais peut-être trop, en tout cas autre chose, ce serait-ce qu'un minimum de souffle aventurier et humoristique. C'est loupé.

Avis assez mitigé pour ce dernier album...
C'est agréable à lire, il y a certains jeux de mots assez rigolos, Astérix et Obélix sont fidèles à eux-mêmes. Mais malgré tout, je n'ai pas vraiment accroché à l'histoire. le côté "rebelle" des adolescents du village n'est pas spécialement intéressant, même si c'est le sujet central de cet album (ce qui explique peut-être pourquoi je ne suis pas plus passionnée que ça). Quant à centrer une histoire sur la descendance hypothétique de Vercingétorix, il était peut-être possible de faire quelque chose de plus passionnant, avec une héroïne plus intéressante.

La Fille de Vercingétorix (Asérix Album N°38) Goscinny et Uderzo - 48 pages

Jouant sur Babelio à un jeu de l'oie, j'étais sur une case où je devais lire une B D.
J'ai passé un agréable moment à regarder ces images et me replonger bien des années en arrière où j'ai découvert pour la première fois Astérix et Obélix.
Je n'ai pas retrouvé les mêmes surprises, les clins d'oeil malicieux de ces années passées mais cela m'a amusé d'apprendre (hum ! ) que Vercingétorix avait une fille style gothique nommée Adrénaline.
Gentille petite histoire où nous retrouvons nos héros préférés.
Bonne lecture
Mireine

Toutes les reprises ne sont pas mauvaises, certains Astérix de Ferri et Conrad sont meilleurs que cet album. Ce que je reproche à celui ci, est qu'il souffre trop de la comparaison avec ses illustres prédécesseurs. le dessin des premières pages n'est pas aussi rond que celui d'Uderzo. Cela s'améliore ensuite. Le scénario général, mis à part l'idée de base, est plutôt vide. Les gags ou jeux de mots sont parfois bons. Mais l'ensemble, s'il se lit sans déplaisir, laisse peu de traces ... En résumé : fans d'Uderzo et Goscinny vous ne manquez rien si vous faites l'impasse. Fans de Ferri et Conrad, non plus d’ailleurs.

Après avoir lu le dernier tome d'Uderzo qu'il avait lui-même sabordé, voici la première BD d'Astérix non réalisé par Uderzo que je découvre.
Alors, tout n'est pas à jeter mais il manque clairement d'humour ; on a quelques jeux de mots mais c'est assez poussif.
L'histoire reste assez fade également, on se demande pourquoi la fille de Vercingétorix est laissé au village alors que cela aurait une meilleure idée (et sûrement une meilleure histoire) de l'envoyer à Londres escorté par les deux héros.
D'ailleurs la fin est à l'image du récit… fade.
À part l'apparition des enfants de quelques gaulois qui est une bonne idée et renouvelle la série, il manque vraiment un scénario plus trépidant à cet album d'Astérix et Obélix.

Un tome assez plat. Je cherche encore le sujet principal de l'histoire : une ado en crise qui fugue ? Un peu léger pour Astérix.
Il ne se passe vraiment pas grand chose, à part des crises d'adolescents dans tous les sens. Les gags sont déjà un peu vus...
Pas emballée. J'ai dû m'y reprendre à deux fois pour terminer ce tome.
Même la conclusion de l'histoire n'est pas claire...
La prochaine fois j'emprunterai le nouveau tome à la bibliothèque plutôt que de l'acheter...

J'espérais que ce volume d'Astérix soit un peu plus réussi que le précédent que j'avais trouvé poussif mais non. Il y a bien quelques réparties un peu drôles mais globalement, c'est bien moins drôle que les tomes du canal historique. le dessin est très fidèle mais la scénarisation et les dialogues me paraissent plus téléphonés. Ou alors c'est moi qui ne suis plus sensible à la drôlerie d'Astérix... C'est possible.

Un album qui permet de passer un bon moment. Un graphisme à la hauteur mais un scénario trop simple et des répliques que j'ai trouvé hors propos (il n'a jamais été question de qualifier Obélix d'"obèse" auquel je préférais la simplicité du mot"gros" qui allait mieux au personnage d'après moi). Bref, des détails me direz vous mais cet album est justement plus une accumulation d'anecdotes et de détails qu'une réelle aventure de nos héros favoris. Tout n'est pas à jeter mais peut mieux faire donc.

Produire du Astérix sans véritable concept, c'est visiblement possible.
On choisit un topo, ici l'adolescente clichée un chouïa rebelle, et on met la dose de gags attendus, de « jesuispasgros », de pirates, de batailles et de poissons et de sangliers.
Bref, c'est (encore) raté.
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