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Je suis conquise par le Bossu, vraiment, malgré des passages qui ont été difficiles pour moi (notamment la description du Palais-Royal).
La plume est très belle toutefois !
Elle nous rend amoureux de Lagardère !

Ce livre est empli de rebondissements qui nous font frémir du début jusqu'à la fin et je dirais même surtout à la fin où on ne cesse de trembler !
On pense la situation finie mais non ! Un rebondissement inverse tout !
Le duc de Nevers va-t-il être enfin vengé ? Capédédiou !!!

Les personnages sont tous attachants, les gentils comme les méchants.
J'ai adoré principalement Lagardère, le pauvre chevalier, qui se bat contre les nobles méchants !
Mais aussi le marquis de Chevery, la princesse de Gonzague, Gonzague lui-même, Peyrolles, les deux compères Passepoil et Concordasse, Mlle de Nevers...
Je les ai tous aimés pour ma part même si j'ai une grande préférence pour le héros !
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Encore un livre que j’ai lu alors que j’étais encore très jeune. En apparence, c’est un roman de cape et d’épée, avec un héros fidèle et courageux (Lagardère), un prince noble mais malchanceux (Ph. de Nevers), un autre prince rusé et sans scrupule (Ph. de Gonzague) et une jeune héritière menacée par le méchant (Aurore). Et, bien sûr, des duels, des machinations, des guet-apens, un justicier audacieux, une vengeance à accomplir, des retournements de situations… Sans parler de la devise, devenue proverbiale: " Si tu ne vas pas à Lagardère, Lagardère ira à toi ". Tous les ingrédients du roman d’aventures pour la jeunesse sont donc présents.
Toutefois en relisant ce livre quelques décennies après l’avoir découvert, je me suis rendu compte qu’il est plus complexe que l’on pourrait le croire de prime abord. D’abord, il est relativement long et les personnages sont assez "travaillés" (notamment Ph. de Gonzague). Mais surtout le contexte historique (la régence de Philippe d’Orléans et le système de Law) joue un grand rôle. Enfin, pour atteindre ses buts, Lagardère ne se contente pas d’utiliser son épée, il est obligé d’emprunter des chemins détournés - son principal artifice étant sa transformation en bossu. Pour couronner le tout, une touche quasi "incestueuse" est ajoutée par l’auteur: au dénouement, Lagardère va épouser la belle jeune fille qu’est devenue le bébé qu'il a sauvé au début du roman.
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Quel divertissement, capédédiou ! J'étais déjà grand fan de ce genre de roman, clairement dans le même registre que les grands romans de Dumas, y compris le côté historique. Féval n'a rien à envier à ce dernier et avec son style qui lui est propre, il nous embarque gaiement dans cette suite de péripéties variées et géniales. L'humour est omniprésent et va parfois jusqu'à être carrément décapant !

Le bossu possède une riche distribution de personnages drôles et attachants. Tout d'abord Lagardère, le héros résolu et d'une grande audace. le bossu, qui tour à tour amuse, mystifie et inquiète ses auditeurs. Gonzague le magouilleur machiavélique. Les inimitables Cocardasse et Passepoil (Pécaïré, ma caillou !). Chaverny, le petit marquis cynique et dissipé et dont la vertu s'affirme au cours de l'histoire. Et ainsi de suite.

Je suis bien content d'être initié à cet auteur et je me réjouis que, tout comme Dumas, il ait une très volumineuse production dans laquelle je pourrai puiser pour de futures lectures.
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Un pavé de lecture : tous les livres concernant Lagardère sont là, de sa jeunesse à sa mort ; papier ultrafin, police serrée… il faut dire que Paul Féval écrivait à la feuille ; et que son fils a continué son oeuvre. Et ils les ont bien remplies, de rebondissements en péripéties, il n'y a pas un seul temps mort dans la vie du chevalier. Qu'il s'agisse de la partie bien connue grâce à Jean Marais ou de son enfance, le destin de cet homme a été extraordinaire. Flanqué de ses deux acolytes qui lui ont servi de maitre d'armes, il sera toujours un défenseur du bon droit et de l'honneur.
Rangés dans l'ordre chronologique du roman, il est impossible de lâcher ces aventures. Un des meilleurs romans de cape et d'épée que je n'ai jamais lu.
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Ingéniosité de l'intrique, un roman de cape et d'épée digne d'un Alexandre Dumas ,un livre qui m'a accompagné adolescente à l'esprit romanesque!

La botte de Nevers! Vive l'escrime! Vive Lagardère ! superbement adapté au cinéma avec Danièle Auteuil!
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Après "Les Trois Mousquetaires", "Vingt ans après" et "Capitaine Fracasse", j'ai décidé de m'attaquer à cet autre classique du roman de cape et d'épée. J'avais vu l'adaptation en film il y a plusieurs années, et j'avais beaucoup aimé l'histoire. Et c'est grâce à ça que j'ai réussi, tant bien que mal, à atteindre la fin du "Bossu".
Si l'intrigue est toujours aussi intéressante, les personnages clichés à souhait et bien dépeints, le texte est terriblement long, ponctué de pages entières qui décrivent un lieu, des personnages ou des faits qui n'ont aucun rapport direct avec l'histoire. Autant vous dire que ces passages, j'ai fini par les passer complètement. C'est dommage car ils noient des scènes clés et de nombreux rebondissements (parfois difficiles à suivre d'ailleurs). Au minimum, on pourrait réduire le livre d'un tiers.
En bref, cette lecture a été pour moi laborieuse mais je suis contente de connaître plus en détail l'histoire du "Bossu".
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Voici une histoire de cap et d'épée écrit pendant le second empire et qui relate une vengeance déguisée. Nous voilà dans cette époque près révolutionnaire, auprès de la population noble. Un mariage prévu attise les convoitises et motive un complot pour s'emparer d'une petite fortune, ainsi que l'amour. Mais tout ne se passe pas comme prévu grâce à ce cher Henri Lagardère qui va à son tour vengeance.
Ce pavé (c'est la sensation que ça m'a fait quand j'ai du le lire pour faire la présentation auprès ma ma classe de quatrième) il m'avait parut compliqué. Mais ma deuxième lecture m'a fait changé d'avis, surtout après avoir lu le comte de Monte Cristo.
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J'ai connu Lagardère avant que de connaître Paul Féval ; il faut dire que son personnage est célèbre et que j'ai regardé de nombreuses fois le film avec des étoiles plein des yeux, lorsque j'étais petite.

Le roman m'a paru plus complexe et, de ce point de vue, plus intéressant que le film. Mon seul regret concerne les descriptions. Je ne suis habituellement pas rebutée par les descriptions, surtout dans les romans de cape et d'épée qui nous plongent dans un univers historique ! Pourtant, je les ai trouvées mal insérées dans le récit, voire complètement indigestes. Dommage
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Fin du 17e siècle. le règne de Louis XIV touche à sa fin. Non loin des Pyrénées, à Caylus-Tarrides, Henri de Lagardère, jeune soldat écervelé mais virtuose de l'épée découvre un complot visant à attirer le duc Philippe de Nevers dans un traquenard et à le tuer ainsi que la fille qu'il a eue avec Aurore de Caylus, fille du seigneur local. Lagardère se range aux côtés de Nevers mais il ne peut empêcher un mystérieux individu masqué de frapper le duc à mort. Il réussit cependant à sauver la petite fille et s'enfuit en Espagne. Vingt ans plus tard, Lagardère est de retour à Paris, bien décidé à venger Nevers et à rendre à sa fille son nom et sa position dans le monde. L'assassin de Nevers, Philippe de Gonzague, est devenu un seigneur puissant et prêt à tout pour mettre la main sur l'héritage de Nevers. Il est entouré d'une cour d'hommes dévoués corps et âmes, dont un bossu bien énigmatique.
L'oeuvre la plus connue de Féval est un pur roman de cape et d'épée empli de grands sentiments et d'actions chevaleresques, servi avec le style plein d'ironie et une galerie de personnages secondaires dont les pitreries donnent une vraie tonalité humoristique au récit.

Illustration : Épée de la salle militaire au musée saint Rémi, photo de G. Garitan (licence Cc-By-Sa-3.0).
> Écouter un extrait : Chapitre 01.

..: Voir la page complète de ce livre audio :..
Lien : http://www.litteratureaudio...
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Duels, poursuites, enlèvements : un grand roman de cape et d'épée.....
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